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La suite de réflexions que je vous propose ci-dessous, s’est imposée à moi lorsque j’ai (enfin) pris conscience que la Chandeleur et la Fête des Morts, entretenaient une sorte d’exacte symétrie : l’une tombe le 2 février, l’autre le 2 novembre.
Rapportées au langage astrologique ou pourrait dire (même si ce n’est pas tout à fait exact sur le plan strictement technique) qu’elles sont « au carré » (angle de 90°) l’une de l’autre. Or, le carré en astrologie, si on veut bien dépasser son aspect conflictuel apparent, évoque avant tout, la production d’une énergie indispensable à toute forme d’action, de création ou de production.
Certes, à travers ces deux fêtes chrétiennes – car c’est avant tout en Chrétien que j’écris tous mes articles – et leur rapport obligé, nous sommes interrogés sur le sens de la mort (Scorpion) et sur celui de la renaissance (Verseau). Le risque étant de poser ce rapport comme la contradiction de deux absolus ou, pire, comme deux moments qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Ce qui serait absurde, puisque le Zodiaque ne symbolise qu’une seule et unique énergie en ses douze métamorphoses : celle de la Vie.
Suite à notre précédente correspondance, M. X… m’a fait parvenir le commentaire suivant :
Cher Monsieur,
Je vous remercie pour votre réponse; je viens de lire votre article. J’ai été impressionné par les études astrologiques que vous donnez. Bien sûr, c’est assez difficile à suivre, mais je me rassure en pensant que je ne dois pas être le seul dans ce cas. Cela doit être très intéressant de pouvoir « accéder » à un thème tant aisance, mais ce n’est pas donné à tout le monde.
Pour ce qui est de l’aspect « sexuel » de Mauriac, il est possible que cela « se montre » dans les relations des parents du Guillou, pas de lui. Je me trompe certainement, mais je ne suis pas sûr que la définition de Wikipédia du sagouin puisse lui correspondre (pauvre gosse), mais ‘est celle que l’on a voulu lui coller. D’après ma mémoire, je crois que c’était un enfant « attardé », donc dans l’impossibilité de se défendre. Il a été un souffre-douleur, un martyr, au point de se suicider, vers l’âge de 10 ans, suivi par son père, pour mettre fin ensemble à leur malheur. De mémoire (toujours), c’est son instituteur qui l’éveille à la « confiance », à un peu de bonheur. Quant à Drogo, sa vie se résume peut être à une quête vaine, toujours recommencée, comme celle de l’étoile de Don Quichotte de Jacques Brel.
Seule, peut être, la rencontre avec une personnalité hors norme, comme sœur Thérésa par exemple (Yalla), aurait pu infléchir leur destinée. Parce que là se trouve la compassion et la confiance absolue. Mais dans la majorité des cas, il faut se débrouiller avec les moyens du bord.
Merci encore pour votre réponse.
X…Y…
PS: Votre analyse sur l’homosexualité « cachée » de Mauriac, m’a fait penser à un de vos articles sur Hitler, qui aurait été dans la même situation et que peu de biographes évoquent (si je ne me trompe pas). Hadès évoque un cas similaire en la personne de Conan Doyle; ce que les biographies n’évoquent sans doute pas. Mais dans l’Angleterre de cette époque, on comprend qu’il ait préféré se cacher. Surtout si l’on se remémore, qu’encore en 1954, Alan Turing, génie des mathématiques, a été poussé au suicide.