J’aimerais tenter ici un petit exercice que le « hasard » qui fait si bien les choses, m’a inspiré tout récemment.
D’un côté je travaillais sur l’interprétation du thème de la petite fille (3 ans) d’un de mes consultants et ami, directeur du conservatoire d’une grande ville étrangère extra-européenne, et, de l’autre, j’avais entrepris la lecture d’une série d’articles que le bimensuel « L’Homme Nouveau » auquel je suis abonné depuis plus de dix ans, consacrait à la figure d’un de nos très grands écrivains, fort mal connu : Joseph Malègue.