Il serait peut-être utile de prendre quelques minutes à méditer sur cet article
– qu’on l’approuve ou le désapprouve –  avant d’aller voter le 9 juin !

DE NOTRE SANTE

La santé d’une nation, comme celle d’un organisme, se mesure à ses capacités de résister à toutes les formes de destruction et d’autodestruction pour « persévérer dans l’être » comme disait Spinoza.
Pour le second aspect des choses – l’organisme biologique – il s’agit de survivre aux attaques permanentes d’agents pathogènes hostiles à la vie. En première ligne, c’est le rôle des défenses immunitaires et des capacités d’auto-guérison propres au corps humain dont l’intelligence créatrice l’a dotés.
En seconde ligne, interviennent le rôle d’une morale et d’une culture attachées à promouvoir une hygiène globale et des mœurs propices à la vie, à sa conversation et à sa transmission dans les conditions de noblesse et de générosité dignes de nos origines divines.
Je ne les détaille pas, tout le monde devrait pouvoir les énumérer sans difficulté.

En ce qui concerne la nation, la santé me paraît tributaire d’abord et avant tout,  de solides assises ethno-biologiques qui en favorisent l’unité, d’un idéal spirituel commun sur le plan vertical (le catholicisme pour le France), d’un fort sentiment d’identité et de communauté de destinée sur le plan horizontal, d’une volonté de conserver, enrichir et perfectionner un immense héritage culturel reçu gratuitement à notre naissance, d’un attachement à un art de vivre qu’il faut s’efforcer d’entretenir et de renouveler, enfin – et peut-être surtout – d’une loyauté indestructible à une terre où la vie nous fut donnée et pour la conservation de laquelle un million cinq cent mille hommes donnèrent leur vie dans les tranchées de la Grande Guerre. Une terre bénie par le Seigneur où poussent le blé et la vigne qui nous entretiennent en vie et où reposent ceux qui nous ont tout légué.

Enfin la santé de la nation me paraît tributaire d’une grande figure atemporelle à laquelle se référer parce qu’elle s’y reconnaît pleinement. Autrefois c’était le Roi, sergent de Dieu, lieutenant du Christ, qui n’avait pas à se compromettre dans de sordides manœuvres mensongères pour être calife à la place du calife. Et quand on se réfère à nos trois derniers présidents de la république : le ouistiti, l’otarie et le foutriquet, on mesure pleinement l’état de notre déclin.
Le rôle du roi, soigneusement encadré par les lois fondamentales, sa charge, son autorité lui étaient fixés dès sa naissance et il ne devait se préoccuper que de les assumer du mieux possible, nonobstant ses goûts et tendances personnelles parfaitement naturelles. Il y était aidé par toutes sortes d’organes qui assuraient le lien avec le pays réel, au nombre desquels des Conseils, dont il était des plus rares qu’il ne suivît pas les avis. Sans oublier que les provinces du royaume pouvaient s’exprimer et décider des questions locales à travers les « pays d’états », les « pays d’élection » où les trois ordres du royaume étaient représentés, et les « pays d’imposition ». Le royaume de France était un organisme vigoureux au lieu que notre république n’est plus qu’une collection d’individus hétéroclites, une « femme sans tête » comme l’appelait Maurras où tout le monde veut décider et commander et où personne n’est plus responsable.

Les fidélités naturelles et le courage assez forts pour justifier, a posteriori, les sacrifices qu’une génération doit consentir au profit d’une permanence spirituelle, morale et matérielle confiée aux fils et aux filles qu’elle laisse derrière elle, me paraissent avoir disparu après 1945.
Sans aucunement se vouloir hostiles aux autres nations, cela exige que nous restions fidèles à notre « être-français » et que nous rejetions toutes tentatives extérieures – et plus encore intérieures – de nous dominer, de nous priver de notre identité pour faire de nous des « hommes nouveaux » à la sauce cosmopolite et mondialiste. Cette volonté aussi semble avoir disparu, sauf dans quelques poches de résistance bien isolées.

De toute façon, il apparaît que même si ces efforts pour rester nous-mêmes et nous maintenir dans l’être existaient, ils risqueraient d’être ruinés au profit d’une utopie politique qui n’a rien d’amical ou de généreux mais, tout au contraire, dévouée à une très sombre volonté de domination politique, économique, financière et asservissante. Une volonté qui se ramifie en plusieurs courants idéologiques mais tous de caractère luciférien, c’est à dire négatifs de la destinée spirituelle de l’homme et du rôle du Christ dans l’Histoire de nos nations.
Celle qui transforme les pires romans d’anticipation – comme « 1984 » d’Orwell par exemple -, en une description des plus réalistes de ce que nous vivons et sommes appelés à vivre dans les temps qui viennent.
Volonté d’asservissement politique, morale et économique dont l’Union Européenne, apatride, franc-maçonne, laïque (traduction : furieusement antichrétienne), ploutocratique, pro-immigrationiste, aussi soucieuse de « démocratie » que, pour ma part, je le suis du « culte de l’oignon », est en train obstinément de mettre en place. D’où la volonté, à peine dissimulée, d’entrée en guerre contre une Russie qui – quelle que soit ses tares actuelles – ne joue pas le jeu du « mondialisme » tel que vu par Mme van der Leyen, Joe Bident, Georges Soros et le Foutriquet de l’Elysée, ses principaux ministres et quelques autres « ir-responsables » soit-disant européens de moindre niveau.
L’Europe de Maastricht, celle que nous appelons Union Européenne, si elle arrivait à son terme, ressemblerait à la Grèce du XIVème au XIXème siècle : une simple province de l’Empire Ottoman. Sauf que le Sultan qui tente de nous asservir n’est qu’un conseil d’administration de ploutocrates depuis longtemps passés au service de Mammon.

Partant de ces quelques constatations bien pessimistes, cet article n’a d’autre but que de vous proposer une vision des choses qui, bien que nous venant du seizième siècle et même si elle ne nous rassure pas pour l’avenir immédiat, nous permet de cultiver l’Espérance pour l’Avenir et, peut-être, de le transformer.
Les signes, prédictions et avertissements ne manquent pas qui nous mettent en garder contre ce qui nous attend ; notamment du côté des apparitions mariales. Il suffit de bien vouloir les rechercher et les méditer pour être fixé. Ce que peu de gens font.
Mais il y en a d’autres tout aussi intéressantes et beaucoup plus explicites.
C’est à elles que nous allons nous intéresser maintenant.

CONSIDÉRATIONS GENERALES.

Pourquoi ces longues considérations d’un pessimisme parfaitement assumé et, je crois, parfaitement justifié ?
Pour introduire le sujet véritable de cet article qui consiste à vous livrer quelques prévisions qui permettront de vous repérer dans les temps que nous vivons.
En effet, du fait de mon statut d’Astrologue, de nombreux correspondants, très inquiets devant l’état de délabrement d’un pays trahi par ses « élites internationalistes », me demandent « Qu’est-ce qu’il va se passer ? Comment voyez-vous l’avenir pour notre pays ? ».

Ma première réaction consisterait à leur répondre :

  • Commencez par vous intéresser au présent ! Secouez-vous, chassez ces marchands du temple et ces métèques[1] que vous avez élus ou que vous supportez passivement alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes ou des intérêts qui nous sont étrangers, et reprenez vraiment en main l’avenir de notre nation en vous ralliant aux Institutions prérévolutionnaires qui ont fait la gloire et la force de notre pays ou en en inventant d’autres, plus saines. Mais, auparavant, « convertissez-vous » c’est à dire essayez d’adopter quelques principes de vie qui dépassent la simple satisfaction de vos besoins, voire de vos caprices : retrouvez le chemin des cathédrales et des bibliothèques, transformez vos inutiles défilés d’éternels « assistés-asservis » en pèlerinage vers les lieux les plus saint de notre nation si riche en vestiges de notre ancienne grandeur spirituelle : Chartres, Mont Saint Michel, Rocamadour, Reims, Tours (où est enterré mon saint modèle : Martin) Auray, et de nombreux autres encore dans toutes les provinces de France ; retrouvez les saines traditions familiales et nationales qui ont fait de nous une grande famille, au lieu de vous entasser dans les supermarchés comme un troupeau de moutons qui se bousculent à l’abreuvoir avant de rentrer au bercail et de s’affaler devant une télé entièrement conçue pour vous laver le cerveau et vous encourager dans vos pires laisser-aller.

  • La deuxième serait de leur rappeler que l’avenir nous est déjà parfaitement connu : d’abord en tirant les conclusions logiques des comportements criminels – désormais légaux – que nous approuvons et adoptons. Un simple exemple : comment la France pourrait-elle survivre et perdurer quand elle accueille des centaines de milliers d’extra-européens prolifiques d’un côté, et que, parallèlement, elle sacrifie tous les ans 230.000 enfants à naître en justifiant cet holocauste par une sophistique des plus tordues (qui ne trompe d’ailleurs que ceux qui veulent bien l’être) et qu’elle envisage même, désormais, la pratique de l’euthanasie dont l’Allemagne nazie lui a donné la nostalgie ? Le droit, et bientôt le devoir, de tuer celui ou celle qui nous encombre, comme idéal professionnel pour les médecins ! Quel merveilleux « progrès » !

Surtout si comparons l’état catastrophique de notre démographie française et européenne avec celle de l’Inde : un milliard quatre cents millions d’habitants ; celle d’une Chine tout aussi peuplée ; sans oublier l’immense « Oumma » musulmane dont les dirigeants répètent à l’envi qu’ils sont en train de conquérir l’occident avec le ventre de leurs femmes ; et sans oublier une poussée démographique africaine qui atteindra un milliard neuf cent millions de personnes en 2050 ! Dont une forte majorité de très jeunes gens, alors que nous ne fabriquons plus que des vieillards…

Plus encore que pour la défense d’une école libre en 1984, nous aurions dû assister à des cortèges de millions de personnes quand les lois iniques qui minent notre civilisation et la détruisent de l’intérieur, ont été adoptées sans même que nous ayons à nous exprimer la plupart du temps. Le refus obstiné de nos élites mondialisées (« anonymes et vagabondes » disait-on autrefois) d’organiser le referendum sur l’immigration auquel le peuple français a droit, en est la manifestation la plus emblématique.

  • La troisième raison qui justifie mon peu d’intérêt pour ces grandes « prévisions » collectives, c’est que le futur de l’humanité nous est connu pour l’essentiel, car, comme je l’ai rappelé plus haut, « le ciel » ne cesse de mettre en garde ceux dont l’intelligence n’est pas assez obtuse pour l’entendre. Dans ces deux derniers siècles nous avons eu La Salette, Lourdes, Pontmain, peut-être Medjugorje, et Fatima surtout, où la Vierge Marie n’a cessé de nous mettre en garde contre le sort qui nous attend si nous ne nous repentissons pas.

  • Or se repentir, c’est commencer par cesser de nous plaindre des maux qui nous affectent tout en continuant à chérir les causes qui les produisent et que nous ne songeons pas un instant à remettre en question ; comme il en serait des ivrognes qui ne cesseraient de se plaindre du sort injuste qui leur a « collé » une cirrhose et leur a fait perdre leur emploi, tout en continuant à boire leurs deux ou trois litrons ou leur douzaine de bières tous les jours. Sans oublier les alcools forts à l’occasion.

Vous avouerez qu’à notre époque et en nos lieux, on est loin de quelque repentir que ce soit, bien au contraire : nous ne cessons de nous poser en « victimes » ; jamais nous n’avons été aussi revendicateurs, et même envieux, mais aussi peu soucieux que possible de remettre en question un certain nombre de nos choix et de nos comportements, ceux qui, par les choix politiques que nous faisons, favorisent cet appauvrissement généralisé de toutes les classes productrices de la nation, pour le plus grand bonheur de l’entreprise mondialiste. Jamais notre mentalité française ne s’est montrée aussi braillarde, arrogante, transgressive et bornée, hédoniste jusqu’à l’écœurement, et, néanmoins, veule, passive et tellement aveugle à certaines réalités…

C’est pourquoi les agents du Malin[2] aux commandes de peuples autrefois chrétiens, sous la houlette de la Commission Européenne, peuvent s’acharner à promouvoir, démagogiquement, toutes les déviations, toutes les transgressions conduisant à une dégénérescence généralisée aboutissant à une  soumission qui facilite leur projet de déshumanisation. Comme Circé autrefois, répondant aux désirs profonds des marins d’Ulysse, les transforma en porcs. Seul Ulysse lui-même put résister à ses sortilèges ; peut-être parce qu’il avait le cœur mieux placé que ses marins, ou parce qu’il était plus malin.

Mais Macron et ses comparses européens et nationaux, ne sont pas Ulysse.
 Cela se saurait.

DES GUETTEURS ET DES VEILLEURS. 

Je citai les messages de la Vierge car il n’existe certainement pas d’informateur de l’humanité plus sage qu’Elle et surtout mieux disposé à notre égard : quand Elle intervient ce n’est jamais pour juger et condamner, mais pour prévenir et sauver.

Certes, les visiteurs qui fréquentent ce site, ne sont pas forcément catholiques ; beaucoup sont même des non-croyants[3] et les messages de la Vierge (même s’ils les connaissent) ne présentent pas grand intérêt pour eux.
Je me suis donc tourné vers un « laïc », à qui les athées voudront bien pardonner sa nature très pieuse et sa pureté de mœurs (ce qui est presque indécent à notre époque où toutes les déviances sont honorées et légalisées) pour écouter ce qu’il a à nous dire

NOSTRADAMUS

Cet homme c’est le Provençal Michel de Nostredame, plus connu sous le nom de Nostradamus, dont je suis persuadé qu’il avait la stature d’une sorte de prophète, voire de saint, laïque.

Mon intérêt pour lui naquit lorsque parurent les ouvrages de Jean-Charles de Fontbrune. Mais, pour de nombreuses raisons, ils ne me convainquirent pas ; sans doute parce que je jugeais leur auteur un peu trop exhibitionniste et avide de publicité.

Le comble du doute survint lorsque je fus invité à participer à une émission sur FR3-Île de France portant sur la parapsychologie (terme on ne peut plus fourre-tout), présentée par le regretté, charmant et fort sympathique Paul Wermus, producteur de l’émission. Je crois que celle-ci avait pour titre « Piques et Polémiques » et Jean-Charles de Fontbrune y était invité aussi. Y participait aussi Chantal Goya accompagnée d’une inénarrable « voyante » directement inspirée par la Vierge et qui, pour cette raison se faisait appeler Maria Madona (cela ne s’invente pas) ! Je me souviens encore de ses propos et de ses « visions » – et de l’approbation niaise de Chantal Goya qui buvait ses paroles comme du petit lait. Je me souviens tout particulièrement  de l’annonce des résultats de la « voyante » à une élection présidentielle – à une décimale près : 54,6% si mes souvenirs sont bons. Prévision qui ne s’est jamais vérifiée, comme vous vous en doutez puisque l’élection en question était celle de Jacques Chirac avec 80% au 2ème tour (19,88% au premier tour !). Et il m’arrive encore de rire tout seul, quand je repense à cette émission – fort bien organisée par ailleurs – qu’on puisse se montrer à la fois aussi bête et aussi sûr(e) de soi.

Quant à notre Jean-Charles de Fontbrune, je l’entendis – à ma grande stupéfaction – dénigrer vertement une Astrologie qui se mêlait de concurrencer un domaine dont Nostradamus était le seul maître … en oubliant que ce maître était lui-même un astrologue aguerri et que la datation de toutes ses prédictions s’appuie sur une connaissance extraordinaire des cycles planétaires. Comme on le verra à propos  de la grande éclipse de soleil d’août 1999 qu’il avait non seulement prédite trois siècles à l’avance mais dont il avait décrypté le sens d’une façon que je vous indiquerai plus avant et qui, certainement, vous surprendra.

Le vrai travail de décryptage de Nostradamus était donc toujours à accomplir malgré les affirmations brouillonnes et sensationnalistes de JC de Fontbrune (et de son père qui l’avait précédé dans cette recherche en publiant dès 1938 les Prophéties de Maistre Michel Nostradamus, expliquées et commentées).
Pour que cela fût rendu possible, il fallait qu’intervînt un homme doué d’un génie herméneutique peu commun doué d’une grande capacité de travail et d’une grande persévérance.
Ce personnage « le cosmique » – comme disent nos modernes et inconséquents panthéistes du New-âge – nous l’offrit. Et c’est lui que je vais maintenant vous présenter.

VLAICU IONESCU

Je découvris son existence par le biais de deux interviews publiés dans le plus grand hebdomadaire de France, et organisés par Marie-Thérèse De Brosses. Or j’accordais beaucoup d’estime à cette dame, formée à l’esprit critique par de solides études de philosophie, passionnée néanmoins par la(les) spiritualité(s), les philosophies orientales, le symbolisme et  l’ésotérisme … et grand-reporter à Paris-Match, ce qui ne gâtait rien !

Ces interviews étaient consacrés à un inconnu (de moi) jusque là : Vlaicu Ionescu, ésotériste roumain, peintre et musicologue, qui, parallèlement à ses activités artistiques, avait consacré sa vie à traduire les prévisions de Nostradamus à partir d’une méthode exégétique très performante qui – outre une parfaite intelligence de la pensée de Nostradamus – consiste à toujours prendre une base de départ contemporaine pour sonder l’avenir[4]. C’est en évitant de se fourvoyer dans des conjonctures téméraires (comme ne cessait de le faire Jean-Charles de Fontbrune à la même époque) que ce génial « traducteur » avait pu annoncer des années à l’avance, la chute de l’URSS pour 1991 et même, à la télé japonaise, la fin de la carrière de Gorbatchev pour l’été de cette même année 1991.

Réfugié aux USA depuis longtemps – pour fuir le délicieux régime de Ceausescu -, il s’était même payé le culot d’avertir le président Nixon qu’un scandale abrègerait son mandat. On imagine la tête de Tricky Dick[5] à la lecture de son message …

La formation de la journaliste, assez proche de la mienne, la pertinence des questions et des réponses qui apparaissait dans les deux articles, me mirent en confiance. J’avais affaire à d’authentiques chercheurs et non à ces olibrius en mal de reconnaissance qui, malheureusement, encombrent le domaine si délicat de cet immense domaine de connaissance qu’est le mien et qui n’a rien à voir aves la vision et les méthodes mises en place par une science réductrice du réel en l’amputant de tout ce qui pourrait nous distraire de son obsession : la domination, la production, la consommation et élever notre cœur, vers la contemplation de la Vérité. Bref.

La lecture des deux principaux ouvrages, que j’entrepris par la suite, me parut révéler combien les quatrains de Nostradamus éclairent, avec une acuité incroyable, les vicissitudes que la France (et l’Europe) a déjà traversées au cours des derniers siècles et balisent de manière très vraisemblable les temps qui viennent. A condition qu’on sût voir les choses à la lumière de ce que le prophète provençal avait déjà parfaitement, mais mystérieusement, annoncé. Ce qui était le cas de Vlaicu Ionescu.
C’est donc de ces temps qui viennent que nous allons nous préoccuper dans ce petit essai de décryptage. Nous ne reviendrons pas sur les preuves multiples de la perspicacité du prophète de Salon de Provence concernant ces événements du passé, parfaitement recensés, mais nous nous concentrerons sur ceux susceptibles de se manifester assez rapidement puisqu’ils intéressent plus particulièrement notre avenir … of course.

DE LA METHODE

D’abord un  mot sur la méthode de Ionescu : pour lui, il est plus important de trouver un seul quatrain se référant à l’avenir mais dont on peut préciser le temps, que d’amasser n’importe comment un grand nombre de quatrains sur un intervalle de temps arbitrairement choisi[6] (ce que font les autres prétendus exégètes du génial « prophète » – dont JC de Fontbrune – ce qui les amène à « prédire » des événements qui ne se produisent jamais).
Et d’expliquer : La Providence garde cachés ses desseins sur notre avenir. Si Nostradamus a été un porte-parole de cette Providence, il n’a pas divulgué ou vulgarisé ses écrits d’une manière démocratique. Comme il le déclare lui-même, ces derniers ne pourront être explicités qu’au fur et à mesure que l’Histoire se manifeste, et seulement pour le proche avenir [7].

[Ce qui amène tout naturellement à se poser la question de ce qui différencie la « prévision » (une des propriétés de l’Astrologie, mais pas la plus importante) et la « prédiction » qui est le domaine propre des « prophètes et des voyants » (les vrais bien sûr). Réflexion que nous ne pouvons entreprendre dans le cadre de ce travail.]

Ainsi doit-on garder en tête ce précieux conseil en abordant le décryptage que je vous propose en son nom ; le degré d’adhésion à ses thèses reposant directement sur la validité de toutes les confirmations que le temps a apporté au contenu des « prédictions » déjà réalisées et telles que « traduites » par Vlaicu Ionescu. Je l’ai déjà précisé, je n’y reviens pas.
Ce sont donc le prestige d’un hebdomadaire qualifié de « sérieux », l’estime que je portais à Marie-Thérèse de Brosses et la pertinence manifeste de son interlocuteur qui m’incitèrent à lire Vlaicu Ionescu d’un peu plus près. Et je ne fus pas déçu, non plus que par l’avant-propos de Marie-Thérèse de Brosses[8] dont ne faut pas négliger la lecture, pour bien apprécier la qualité, la rigueur et l’efficacité des analyses de l’auteur.
De ce fait, c’est en m’intéressant à son œuvre majeure[9] et, très précisément, en me consacrant au résumé de ses 44 dernières pages – celles qui concernent plus précisément l’époque dans laquelle nous entrons – que je vous proposerai quelques éléments de réflexion sur notre avenir commun.

Je parle de « résumé » car l’ouvrage se présente sous la forme d’un dialogue entre M-T de Brosses et V.I, avec de nombreux renvois aux quatrains de Nostradamus, leur décryptage et leur discussion. J’ai donc essayé d’en extraire la substantifique moëlle pour vous faciliter la tâche dans la mesure du possible ; d’autant plus que les thèmes – comme il en est dans le cadre de n’importe quelle discussion – s’entremêlent souvent ou sont repris, à l’occasion, pour de nouveaux développements. Ce  qui rend difficile un compte-rendu bien ordonné. Mais, si le cœur vous en dit, vous pourrez toujours vous tourner vers l’original (il en existe encore des exemplaires d’occasion sur différentes plateformes et à des prix très modiques) pour une rencontre plus approfondie avec cet auteur. Vous ne le regretterez sans doute pas. 

DE LA CRISE ACTUELLE DE L’ÉGLISE DENONCEE PAR NOSTRADAMUS

Commentant le quatrain V 92 portant sur la vie de l’Église, et à la demande de la journaliste (L.J) l’auteur (V.I) nous donne la traduction suivante :

Après qu’un des papes – il s’agit de Pie XI – aura tenu le Saint-Siège dix-sept ans … cinq papes se succèderont après ce terme final.
Ensuite, quand le sixième sera venu, un autre aussi sera élu en même temps qui ne ressemblera pas aux autres chefs de l’Église et ne respectera pas la tradition catholique.

Or, après Pie XI se sont succédé Pie XII, Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul 1er et Jean-Paul II : cela fait cinq papes. C’est donc le successeur de Jean-Paul II qui devait être confronté à un antipape !
Et V.I d’insister :
Si mon interprétation est correcte il se produira, après notre pape actuel [NA : Jean-Paul II en 1993], de grands bouleversements dans l’Église.
Et, un peu plus loin, le « prophète » nous annonce que cette époque troublée qui précèdera la naissance du Grand Pontife contemporain du Grand Monarque…connaîtra des schismes.

Rien qui puisse nous surprendre en cette période de relativisme et d’apostasie silencieuse de l’Église vaticane qui autorise la communion aux divorcés remariés, interdit au contraire la célébration de la Messe traditionnelle, bénit « individuellement » les couples homos, veut faire accéder les femmes à la prêtrise, et, bien plus inquiète de favoriser la submersion de l’Europe par les vagues islamistes ou de promouvoir une forme d’écologisme idéologique dévastateur, que de nous indiquer le chemin du salut, semble vouloir polluer la doctrine traditionnelle qu’on dit vouloir respecter[10], par une « pastorale » qui porte les miasmes son seulement du relativisme mais de l’apostasie tout court.

Mais l’allusion qui nous dit que deux papes seront élus en même temps, et que le pape sera libidineux ! me paraît des plus intéressantes.
Comment ne pas rapprocher cette prédiction de la démission (forcée, d’après certains observateurs) de Benoît XVI et de l’élection de François (très impliqué dans la théologie de la libération, en Amérique du Sud, et dans la théologie de la submersion immigrationiste d’une Europe qu’il a déjà passée par pertes et profits) ?
Être pape c’est comme être Roi ou être Père : on ne peut jamais démissionner de ces rôles que la Providence nous confie, sauf par des artifices de langage. Nous avons donc bien eu deux papes jusqu’à la mort de Benoît XVI le 31.12.2022, dont le second ne semble avoir de « catholique » que le nom. D’autant plus que Benoît XVI, tout en se montrant très discret, a déployé une pleine activité officieuse après sa démission, car il se considérait toujours « pape » et, s’habillait et s’exprimait en conséquence. Il s’activait en faveur de la tradition dans l’Église disent les uns, encourageait les entreprise de François, disent les autres. Ce qui ne peut surprendre de la part d’un pape Poissons, signe zodiacal dont l’ambiguïté, l’art du chèvre-chou et des compromissions bancales ne sont pas les moindres qualités.

DES SCANDALES PRÉVUS PAR NOSTRADAMUS

Quant au pape libidineux, je ne crois pas que cet adjectif puisse (à ma connaissance) qualifier Benoît XVI ou Bergoglio (même si son thème natal montre une nette tendance homosexuelle qui semble être restée à l’état potentiel, mais qui peut expliquer certaines de ses positions).
Il faut croire que Nostradamus discerne par ce mot de libidineux, les scandales sexuels, notamment pédophiles, dans l’Église, les partouzes du cardinal Mc Cormick avec ses séminaristes, les moeurs de quelques uns de nos prêtres et évêques, ou encore les ouvrages érotiques concoctés par le cardinal Victor Manuel Fernandez, gardien de la foi puisque chef de ce qui s’appela autrefois le « Saint Office ».
Il faudrait alors penser que le mot « pape » dans le quatrain désigne le personnel de l’Église plutôt que le pape lui-même. Encore que ledit pape n’a cessé de montrer les signes publics de la plus paternelle affection à des figures marquantes, notamment italiennes, de la transgression sexuelle dans l’Église, allant jusqu’à baiser la main d’un très célèbre prélat président d’une association «gay » ou faire mille politesses à une figure majeure de la propagande pro-avortement en Italie.

L’ÉGLISE CONCILIAIRE FACE A SES DÉMONS « LIBIDINEUX ».

La démission du pape Benoît XVI elle-même, serait-elle due, au problème explosif de l’homosexualité dans l’Église ? Peut-être.
C’est en effet le thème d’un article de Julie Rasplus, publié le 21 février 2016 pour le compte de France Télévisions et reprenant les informations du journal « La Repubblica » selon lesquelles c’est un « lobby gay » qui aurait poussé le pape à démissionner.

Elle cite alors l’article de « La Repubblica » :
Tout remonte au 17 décembre 2012. Ce jour-là, trois cardinaux à la retraite rendent au pape un rapport de deux tomes de 300 pages, « reliés en rouge », dans le cadre de de l’enquête ultraconfidentielle sur le scandale Vatileaks de 2012[11]. Le texte, marqué du sceau du secret pontifical, évoque noir sur blanc des réseaux et divisions apparus au sein de la Curie. Et parmi eux, l’existence d’un « réseau transversal uni par l’orientation sexuelle« .
Le quotidien affirme ainsi que des prélats ont l’habitude d’entretenir des liaisons homosexuelles. Selon un proche des cardinaux auteurs du rapport, « tout tourne autour des Sixième et Septième commandements ». Le premier enjoint de ne pas voler ; le second interdit l’adultère. Mais, selon le
Guardian (en anglais), il est aussi interprété par les catholiques comme une interdiction de l’homosexualité. D’après La Repubblica, ces liaisons se seraient déroulées dans « une villa hors de Rome, un sauna, un salon de beauté » mais aussi « les chambres du Vatican elles-mêmes« . Enfin, des laïcs menaceraient de les dénoncer, exerçant un chantage sur les prélats et des personnes haut placées au Vatican.
[….] « La Repubblica » le dit dès le titre de l’article : ces affaires de sexe et de chantage auraient poussé le pape à la démission. Pour le journal, cette goutte d’eau aurait en réalité fait déborder un vase déjà plein des scandales de 2012. Dans la foulée de ce rapport, Benoît XVI aurait donc décidé de lâcher son poste, confiant ses désirs à Peter Seewald, qui a co-écrit le livre d’entretiens Lumière du monde en 2011. Le Guardian raconte de son côté que le souverain pontife a pris soin d’enfermer le rapport explosif dans un coffre-fort et envisagerait de le transmettre à son successeur. 

Que répond le Vatican ?
Le porte-parole du Saint-Siège, Federico Lombardi, a immédiatement réagi à ces révélations, jugeant fantaisistes ou faux plusieurs points de l’article. Il a annoncé qu’il n’y aurait ni « démentis, ni commentaires, ni confirmations » sur les « affirmations et opinions » diffusées par la presse, alors que le conclave doit bientôt se réunir pour élire un nouveau pape. Dans ce contexte, les rumeurs vont bon train. Selon des experts des questions vaticanes, cités par l’AFP, les articles à sensation pourraient même se multiplier, certains acteurs cherchant à peser sur l’élection.
Peu après l’annonce de la démission de Benoît XVI, Federico Lombardi avait déjà indiqué que cette décision n’était due à aucune « dépression », ni à des motifs psychologiques, mais bien à son âge et à l’affaiblissement de ses forces. Reste qu’en octobre 2012, le pape évoquait déjà, dans un discours improvisé, « les mauvais poissons[12] » pêchés dans le filet de l’Église. Les inquiétudes se font encore plus pressantes depuis l’angélus du 17 février, lors duquel il a appelé « à repousser les tentations » et « l’esprit du mal[13]« .
(fin de citation)

Pardon pour cette très longue citation, mais elle s’avère tellement explicite dans le cadre de notre enquête que je n’ai pu résister à vous la communiquer.
J’insiste, de plus, sur le fait que le pape François s’il ne figure pas dans la liste des prélats incriminés, n’a rien fait pour restaurer une atmosphère un peu moins méphitique dans les allées du Vatican. Bien au contraire,  il semble vouloir les dédouaner, comme nous l’avons vu plus haut.

UN AUTRE SENS DU CARACTÈRE « LIBIDINEUX » : DÉCRYPTAGE

Mais voilà un développement inattendu et fort loin des galipettes vaticanesques.

  1. Ionescu nous rappelle que les mots comme libidineux, luxurieux, mérétriquer, chez Nostradamus, font toujours allusion à la Grande Prostituée, c’est à dire au Communisme: ce 2ème pape et antipape sera ou serait donc le complice des communistes!

Cet anachronisme apparent peut s’expliquer  si on considère que le communisme, quoiqu’étant officiellement mort en 1991 en URSS, est toujours très actif dans un certain nombre de pays : Chine (avec laquelle François entretient des liens très troubles), Viet-Nam, Corée, Cuba, Corée du Nord.

Mais je crois surtout que ce que dénonce Nostradamus, et que Ionescu traduit par communisme, représente le venin dont cette doctrine est porteuse, héritière des « immortels principes » de la révolution française. Ces principes, toujours actifs sous de nouvelles formes, inoculés dans la civilisation chrétienne depuis plusieurs siècles, consistent, comme le VIH pour le corps humain, à miner puis à éradiquer l’ordre chrétien, l’homme chrétien, le monde chrétien, pour imposer un ordre nouveau, une homme nouveau, une monde nouveau qui n’aient plus rien à voir avec le Christ, roi des Nations[14], mais tout à attendre d’une sorte de syncrétisme luciférien imposant sa dictature sur le monde.
C’est l’aboutissement de ce projet que nous a annoncé benoîtement, Klaus Schwab [15] pour 1930 sous l’appellation de « Grand Reset », lors du forum de Davos. Pandémonium qui réunit hommes de pouvoir et ploutocrates de la planète, poursuivant le rêve hégémonique de Hitler et de Trotsky – par d’autres moyens et d’autres justifications idéologiques – mais pour des attentes bien précises : sonnantes et trébuchantes.
De ce point de vue il est incontestable que Nostradamus, nonobstant l’extrême concision de son style qui oblige à de longs développements explicatifs, aura été un très grand visionnaire, annonçant la peste noire idéologique qui nous menace et qui trouve de fervents propagandistes dans notre propre pays. Il n’est qu’à observer les comportements criminels d’un certain nombre de mouvements politiques et de leurs dirigeants, qui se veulent tout aussi révolutionnaires et éradicateurs de nos valeurs historiques, que pouvaient l’être le léninisme, le trotskysme ou le stalinisme pour en être convaincus. En particulier celles qui ne craignent pas, pour mieux détruire le vieil édifice occidental et chrétien, de s’allier aux forces islamistes.

Pour en revenir au rapprochement que Nostradamus établit entre le problème de la papauté, la libidinosité et le communisme, on arrive à se demander s’il ne n’anticipe pas  la politique d’un pape, qui a toujours professé son soutien aux mouvements de « libération » en Amérique du Sud, comme sa complaisance suspecte à l’égard de la Chine (comme je l’ai évoqué plus haut), où il favorise l’Église officielle (contrôlée par le pouvoir marxiste) au lieu de soutenir les Catholiques persécutés pour leur fidélité à la doctrine d’une Église Occupée.
Quant à l’alliance « révolution-islam » elle ne peut que satisfaire les « fous d’Allah » tout aussi heureux de soutenir la poussée suicidaire à l’oeuvre en Europe aujourd’hui, qu’ils l’étaient hier quand le grand Muphti de Jérusalem, en 1941, était reçu par Ribbentrop, en présence de Fritz Grobba, diplomate allemand arabophile, pour apporter le soutien des pays arabes à l’Allemagne Nazie, éradicatrice des peuples européens, sur la base d’une déclaration préparée conjointement avec le gouvernement italien de Mussolini. Soutien confirmé ensuite au cours d’un entretien organisé avec Hitler en personne.

Mais ne perdons pas patience, les vicissitudes de l’Église du Christ sont loin d’être terminées ; à l’image de NS-JC Lui-même dont Elle maintient la présence « étendue et communiquée » sur Terre (Bossuet), nous savons qu’elle sera persécutée (mais aussi « trahie » de l’intérieur et « éclipsée ») tout au long de son parcours terrestre. Peut-être même, devons-nous nous attendre, lorsque François devra rendre compte à Dieu des « déviances » de son pontificat, d’un nouvel épisode où deux papes seraient élus dont l’un sera aussi schismatique que peut l’être François. Voire mieux si possible. Tous les possibles sont ouverts par les temps qui courent. Restons donc confiants mais vigilants.

DU « COMMUNISME » TEL QUE  VU PAR NOSTRADAMUS.

Si je puis me permettre un avis personnel et revenir sur le sens du mot communiste pour traduire la pensée d’un Nostradamus, qui ne pouvait, bien entendu, connaître tout l’arsenal offert par le vocabulaire idéologique mis actuellement à notre disposition par le « menteur homicide » pour mieux nous perdre, je pense que la signification de ce terme proposé par Vlaidu Ionescu pour traduire la Grande Prostituée, doit être élargi.
D’après moi, ce que dénonce Nostradamus, c’est l’irruption et la domination active, dans l’histoire de notre pays et de l’occident chrétien, du trio athéisme/matérialisme/nihilisme qui gouverne aussi bien la pensée marxiste que la pensée ultra-libérale. L’un et l’autre terme, en ignorant la nature spirituelle de l’homme, « créé à l’image et à la ressemblance d’un Dieu » qu’ils nient et à laquelle ils veulent se substituer, le ramènent à ses dimensions purement biologiques, animales, anonymes et fonctionnelles : une simple force de travail au sein de la fourmilière pour le premier, un simple consommateur chargé d’entretenir la ploutocratie mercantile pour le second, une sorte de modèle raté qu’il faut absolument « reconstruire » pour le troisième.
L’homme, méprisé et nié, orphelin de Dieu et privé des moyens du Salut, devient ainsi une « chose » à asservir et à exploiter, avant qu’elle ne se dissolve dans le néant.
Ce faisant, marxisme, libéralisme et nihilisme l’amputent de ce qui justement manifeste son origine divine : sa créativité, sa liberté, son inventivité, son esprit d’initiative et surtout son désir d’accomplissement, toutes qualités essentiellement morales et spirituelles – particulièrement encouragées en terres chrétiennes – qui lui permettent, sous l’inspiration de l’Esprit, de participer pleinement au projet entrepris par Dieu à travers la Création et de gagner ainsi le beau titre de cocréateur.
Sous cet éclairage, on comprend que la menace que dénonce Nostradamus, dépasse largement le communisme qui n’est qu’une des formes prises par le  nihilisme satanique pour une époque donnée.

A SUIVRE.

 

Après ce petit retour, très éloquent je crois, sur le passé récent, nous essaierons de comprendre les « prédictions » concernant les événements encore à venir

[1] Un métèque, du grec ancien μέτοικος, métoïkos, « qui a changé de résidence », est dans la Grèce antique, un statut intermédiaire entre celui de citoyen et d’étranger, réservé à des ressortissants grecs d’autres cités. Or, dans la composition de nos gouvernements, comme dans l’organisation de notre vie publique, le nombre de « métèques » – peut-être de bonne volonté – mais Français de trop fraiche date pour faire la loi dans notre pays, sont de plus en plus nombreux et peu soucieux de servir authentiquement la France.
[2] Il y aurait beaucoup à dire sur la façon dont ils se recrutent dans certains Cercles, Groupes, Amicales, ONG, très fermés. Il existe une très abondante documentation sur la nature sataniste de certains groupes de pression extrêmement puissants dans les cercles et organisations internationaux. Je vous engage à la rechercher et à la consulter … puis à observer les comportements de nos dirigeants avec un autre regard.
[3] Si tant est que cela existe car nous croyons tous à quelque chose qui donne sens et intérêt à notre existence. Même si souvent cela relève du dérisoire.
[4] Valicu Ionescu et Marie-Thérèse de Brosses – Les dernières victoires de Nostradamus – filipacchi, janvier 1993, 303 p., p. 211
[5] Tricky Dick : la crapule ou le roublard. Le premier n’allant pas sans le second, et le second n’aspirant qu’à rejoindre le premier.
[6] Op. cité p. 212
[7] Id.
[8] À l’ouvrage référencé dans la note suivante.
[9]Les Dernières Victoires de Nostradamus avec un Avant-Propos de Marie-Thérèse de Brosses – filipacchi – février 1993, 303 p, et
Nostradamus, histoire secrète du monde – Édition du Félin – 01.01.1987 – 550 p.
[10] supprimée.
[11] D’après Wikipédia, l’affaire des fuites au Vatican ou Vatileaks est un scandale touchant le Saint-Siège, qui a été porté au grand jour en mai 2012, à la suite de la diffusion de documents confidentiels révélant l’existence d’un large réseau de corruption, de népotisme et de favoritisme lié à des contrats signés à des prix gonflés avec des partenaires italiens [….] Des correspondances entre l’archevêque Carlo Maria Viganò, ancien numéro deux des services administratifs du Vatican, et le pape, sont diffusées par une chaîne italienne de télévision et synthétisés dans un ouvrage de l’auteur Gianluigi Nuzzi.
Les courriers montrent que l’archevêque Carlo Maria Viganò se plaint d’avoir été muté comme nonce apostolique (ambassadeur) à Washington pour, selon ses dires, avoir révélé l’existence d’affaires de corruption, népotisme et favoritisme entre le Vatican et des partenaires italiens. D’autres pièces évoquent des conflits internes concernant la supervision de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR, la Banque du Vatican), dont le président Ettore Gotti Tedeschi, accusé de « mauvaise gouvernance », a été limogé.
Ces documents font par ailleurs état de la situation fiscale de l’Église, des finances des instituts catholiques, de scandales sexuels chez les Légionnaires du Christ ou encore de négociations avec les intégristes … (fin de citation).
[12] C’est moi qui surligne ou sousligne dans tout l’article
[13] Idem
[14] Titre dont la Rome conciliaire et largement apostate, L’a dépouillé depuis longtemps.
[15] Eugen Schwab, père de Klaus, aurait été un grand industriel au service inconditionnel de la machine de guerre nazie jusqu’en 1945. Fabriquant de lance-flammes entre autres, il aurait employé de la main d’oeuvre concentrationnaire (c’est-à-dire des esclaves déshumanisés. Excellent modèle éducatif pour le « patron » de Davos.

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