Foutriquet[1] suivant les circonstances, s’efforce de chausser les bottes de Louis XIV, de Napoléon ou de De Gaulle pour satisfaire son fantasme de grandeur et de toute puissance (caractéristique de ces pervers-polymorphes que sont les enfants – et les adultes qui n’ont pas grandi – d’après Freud).
Las, ces chaussures de géants n’étant pas faites pour lui, il claudique lamentablement à la poursuite d’un rêve de gloire dont il ne restera rien dans notre Histoire. Sinon le souvenir de sa trahison des intérêts de la France en faveur de la ploutocratie mondialiste agissant par Big Brother Maastrichien interposé.
Est-il illustration plus évidente de la profonde nocivité des « immortels principes de 89 » célébrés en grande pompe chaque année, que la mobilisation de 130.000 policiers, gendarmes, militaires[1] et pompiers pour « protéger » les Français des hordes de sauvages importés ?
Français qui pourtant, chaque année, expriment leur enthousiasme envers une doctrine et un régime qui – dès avant leur accès au pouvoir – avaient programmé la dissolution de leur nation dans le grand magmas mondialiste (à l’époque des « Lumières » on disait universel) ? Disparition préparée de très longue date par un certain prophétisme judéo-maçon ?
On ne peut pas comprendre cette folie qui consiste à encenser ce qui vous condamne à la disparition, si on oublie que, pour De Gaulle par exemple, notre peuple est un peuple de « veaux [qui] sont bons pour le massacre[2]. Ils n’ont que ce qu’ils méritent[3]
L’actualité de ces derniers jours a mobilisé l’attention de notre pauvre pays sur la question des réfugiés syriens, puis sur celle de Léonarda, cette jeune fille « rom » qu’un observateur inspiré des malheurs de notre patrie a qualifiée de » vitupérante agitatrice précoce bien formée….. orgueilleuse, sûre d’elle et dominatrice, [qui] affiche en effet sans une once de vergogne une barbare certitude tribale de ce que la France et les Français doivent se soumettre aux exigences de leur emprise, de leur empire rom conquérant » (fin de citation).
Le même chroniqueur, nous rappelle que les gogos et bobos émules de l’idéologie de Jean-Jacques Rousseau (que nous savons fort bien représentés dans la gente politique et médiatique) qui ont besoin, pour justifier leurs fantasmes, de « parer un mythique « bon sauvage » de toutes les vertus de « l’état de nature », se sont emparés du « « rom », pareillement idéalisé, à la plus grande extase de « la gauche actuelle et au premier rang les soi-disant écologistes« . Lire la suite de cette entrée »