Au sommet le président qui, non content d’avoir épousé une maman parfaite qui le borde dans son petit lit tous les soirs (maintenant que le méchant garde-du-corps est parti) s’évertue à obliger « la femme-sans-tête » (dixit Maurras) à tapiner pour le mondialisme apatride aux profits de quelques ploutocrates internationaux qui ont, depuis longtemps, vendu leurs âmes noires à Belzébuth et à ses suppôts qu’on trouve embusqués dans toutes les grandes institutions internationales et nationales.