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Or donc, le Prince qui nous gouverne et dont la brillante lignée remonte probablement à Œdipe et Jocaste (à moins que ce ne soit à Henri II, micheton de Diane de Poitiers), ne s’intéressant à la famille que pour la crucifier un peu plus en gravant un Droit Inaliénable à l’Avortement dans les Tables de la Loi[1], notre divin Prince donc, a nommé un nouveau gouvernement. Et il a bien fait les choses car son équipe à immédiatement montré combien elle était à la hauteur de sa tâche.

Son ministre de l’Éducation dite Nationale (en fait Ministère du Formatage des Jeunes Âmes à la doxa  woko-progressiste) a débuté sa brillante carrière en se mettant tout son personnel à dos (soient plus d’un million de personnes !) en disant tout haut ce que tous les Français ayant des enfants en âge scolaire, finissent par penser un jour ou l’autre.

Quant à son ministre des Affaires (qui lui sont) Étrangères, celui qui occupe le fauteuil de Richelieu, Mazarin, Colbert de Croissy, Colbert de Torcy, de l’illustre Vergennes, du rusé Talleyrand-Périgord, du vicomte de Chateaubriand, et de quelques autres de moindre envergure, il est tout à fait dans l’air du temps. Titulaire d’un « double master » en Droit [2], il ne peut pas aligner deux phrases sans commettre une faute de français. Dyslexie nous dit-on. D’accord mais pourquoi nommer un dyslexique aux Affaires Étrangères, certainement  le ministère ou la maîtrise de la langue constitue la condition sine qua non pour pouvoir faire face aux lourdes responsabilités qui s’attachent à la diplomatie ? C’est pas moi qui décidera ou encore il faut en revenir à tous les principes fondamentals, sont deux des perles dont notre sémillant ministre a assaisonné ses discours dès sa prise de fonction et qui ont fait s’esbaudir toutes les chancelleries du monde.
Quand on constate, de plus, que ce charmant bipède est le plus jeune ministre que la France ait jamais eu à ce poste depuis sans doute Hugues Capet (voire Clovis !) ; qu’il ne possède donc – et pour cause – aucune compétence ou expérience diplomatique ; qu’il n’est même jamais passé faire un petit stage dans une ambassade ou dans un service du ministère des Affaires Étrangères ; qu’il s’est contenté, jusqu’alors, de « conseiller » notre président (comment conseiller quelqu’un quand on n’a aucune compétence véritable pour y prétendre ? Sauf, peut-être, dans le domaine intime qui nous échappe totalement ici) ; quand on constate combien cet ensemble de données, rend cette nomination abracadabrante, on se demande vraiment quelle aberration mentale (ou quel machiavélisme) a conduit cet olibrius au poste de Ministre des Affaires Étrangères ? Alors qu’il y a certainement  trois ou quatre personnalités en France qui justifieraient, par leur formation, par leur expérience et par leurs qualités intellectuelles et morales, qu’on les nommât à sa place.  Mystère.

Je me suis dit qu’il fallait peut-être chercher l’explication en dehors de la chose politique. J’ai ainsi pensé que, tordu comme il est, à toujours préférer les solutions les plus contraires aux intérêts des Français et de la France historique à celles qui pourraient nous sauver de la disparition corps et biens dans l’égout progresso-islamo-wokiste européen, ce Fondé de Pouvoir de la Liquidation mis en place à l’Élysée, a voulu, une fois de plus, montrer combien il se souciait de la famille à condition qu’elle soit dysfonctionnelle comme la sienne. Façon astucieuse de mieux souligner le mépris dans lequel il tient la famille traditionnelle héritée de deux mille ans de civilisation chrétienne.
En effet, je ne vois dans ces nominations insolites que la volonté de rapprocher un couple de ses plus proches collaborateurs actuellement en crise, paraît-il. Dans sa grande bienveillance et sa paternelle affection il a voulu faire en sorte que Zaza Napoli et Renato retrouvent le feu de leur ancienne passion en s’attelant à l’ouvrage commun, qui n’est rien moins que le gouvernement de la France. Bien sûr, comme tout ce qui se joue dans cette Cage aux Folles qu’apparaît quelquefois imiter notre classe politique, ce n’est qu’illusion. Il est bien entendu que Zaza ne fera que jouer le rôle de Premier Ministre (en moins viril sans doute, que son immédiat prédécesseur, Elisabeth Borne,) tandis que Renato ne fera que jouer le rôle de Ministre des Affaires à Matignon où il créera les conditions d’une bonne humeur permanente, à chaque fois qu’il ouvrira la bouche. Ce sera encore plus désopilant que « Madame Sans Gêne » à la cour de Napoléon, vue par Victorien Sardou !

Mais il est bien entendu que derrière ce théâtre de Guignol et l’agitation de nos froufroutantes excellences, il y a quelqu’un qui tirera toujours les ficelles : notre Laurent Mourguet[3] élyséen lui-même, pour le compte de ses commanditaires. 

Certes, il semble que Renato ait la bougeotte : trois voyages en trois jours[4] pour délivrer, dans son sabir de prédilection, le nec plus ultra de la pensée élyséenne … dont personne n’a rien à cirer, comme me l’affirmait un de mes correspondants appartenant au haut personnel administratif d’un important ministère. Il n’y avait qu’à voir la tête des autorités ukrainiennes subissant le discours de notre ministre pour comprendre que « Séjourné » pour eux semble signifier « Demeuré ».

Charmante paire d’avatars ou de clones, dont chaque partenaire – faut-il le rappeler ? -, est né sinon avec une cuiller en argent dans la bouche, du moins dans un environnement tel, qu’il est difficile de croire  qu’il connaisse et puisse prendre en compte les besoins réels de ces « beaufs » de Français moyens, comme vous et moi, tout justes bons à cracher au bassinet pour financer les forfaitures et les absurdités d’une république pourrissante[5]. Quant à assurer la pérennité de notre identité, on peut toujours rêver : ils ont été mis en place par le pieuvre de Bruxelles pour faire exactement le contraire.

Pour en revenir au sort de nos deux tourtereaux en crise, on peut penser que les retrouvailles pendant le week-end ou lors de déplacements communs, favoriseront l’échange de mille et un câlins … sans pour autant redresser la courbe de notre natalité qui n’a jamais été aussi catastrophique. Mais il ne faut pas trop en demander …

Quand je dis Zaza à Matignon et Renato au palais d’Orsay, je ne fais que supputer, car il est possible que les rôles soient inversés puisque l’inversion – quand ce n’est pas la perversion – règne en maîtresse absolue sur nos institutions contemporaines : université et église comprises. Mais il est vrai aussi que dans une période où cette perversion généralisée est devenue l’Alpha et l’Omega de notre société française – du moins celle du microcosme parisien -, on ne sait plus très bien qui est qui et surtout qui fait quoi, avec qui et comment : « sans devant-derrière et sens dessus dessous » chantait l’inénarrable Catherine Sauvage dans trois disques consacrés à une véritable anthologie de la chanson grivoise (pour le moins) française. La théorie dite du « genre » autorisant toutes les disjonctions mentales et sexuelles. Celles qui, il n’y a pas si longtemps, vous conduisait à Sainte Anne ou à la Petite Roquette.

Bref, après que cette chère Élisabeth dite Borne, suivant les traces de Marlène Dietrich et Marthe Hanau, ait tenté de faire de Matignon un nouveau cabaret Le Monocle des années folles, Gabriel et Stéphane, eux, nous offrent un remake de la remarquable pièce de Jean Poiret mise en scène par Pierre Mondy. Mais en plus vrai que vrai.

Je ne suis pas sûr que Jean Poiret et son complice pourraient, aujourd’hui, renouveler leur exploit de 1973 ! Bien que la pièce puis le film aient toujours autant de succès, Jean Poiret et Pierre Mondy, tous deux décédés, s’ils voulaient récidiver, se verraient sans doute cloués au pilori pour « homophobie[6] », assignés en justice par quelque collectif d’agités du bocal[7] (ou plutôt du croupion en l’occurrence), condamnés et exclus de la grande famille des médias et du monde du spectacle par les soins de la secte LGBT qui veille sur la Défense et la Promotion de toutes les Turpitudes, aussi farouchement que Moïse sur les Tables de la Loi à lui remises par Yahvé sur le Mont Sinaï.

Il est un fait que les périodes aux mœurs les plus dissolues, provoquent, par ricochet, un reflexe puritain borné des plus insupportables mais fort commode puisqu’il permet de céder à toutes les turpitudes, tout en sauvant les apparences extérieures. En revanche je pense que c’est la première fois dans l’Histoire (quoique je ne sois ni historien, ni anthropologue, ni sociologue) que la puritanisme se range officiellement sous la bannière de la perversion pour mieux la défendre ; les vices et la perversion étant devenus les normes à défendre et la morale traditionnelle, la flétrissure à dénoncer.  

Signe des temps lucifériens ?

Je serai assez enclin à le croire même si le grand chef, sentant peut-être le vent tourner, ait cru devoir se séparer, – avec déchirement ? -, de quelques turbulentes Excellences qui pourront se consoler en invités d’honneur de la prochaine Gay-Pride.
On dit que la cour de Louis XIV ne fut plus aussi joyeuse après que Monsieur, Frère du Roi, – « folle » d’anthologie et grand organisateur de ces spectacles et de ces fêtes dont Louis raffolait -, ait rendu son âme à Dieu.
J’espère que notre sémillant souverain actuel ne sombrera pas dans la mélancolie après ces changements ministériels qui le privent de ses personnages qui lui étaient ce que le Chevalier de Lorraine, le Marquis d’Effiat, le prince de Condé, voire tonton d’Orléans étaient à Monsieur à la Cour du Grand Roi auquel notre sémillant Prince actuel aime à se comparer en secret.

Du moins aura-t-il son Premier Ministre et son ministre des Affaires Étrangères pour le distraire par leurs facéties politiques et lui remonter le moral en lui témoignant reconnaissance, bienveillance, et plus si affinités.

Sous le regard bienveillant de Granny Brigitte entre deux essayages de mini-jupes.

Dans un autre article je m’essaierai à vous donner quelques clés d’interprétation relatives au thème natal – intéressant à plus d’un titre – de Gabriel Attal… avant qu’il n’ait disparu de notre paysage politique.

Bien cordialement à tous et à toutes.

LSM

[1] Il ne s’agit certainement pas de celles transmises à Moïse sur le Mont Sinaï, mais bien plutôt d’une version concoctée dans les officines maçonniques et lucifériennes du GOF, spécialiste en la matière.

Les « maçons » s’étant fait une spécialité de la propagation de la « culture de mort » qu’ils appellent « culte de la liberté individuelle ». Celle de Lucifer et non celle du Christ.

[2] J’ai eu à lire la prose de quelques uns des « masterisés » contemporains et je sais quel  niveau est atteint – en grammaire, vocabulaire, style, profondeur littéraire – par nos jeunes diplômés dans nos Universités…

[3] Pour ceux qui ne le savent pas, Laurent Mourguet est l’inventeur de Guignol.

[4] Trois occasions de faire rire l’Europe du Nord au Sud et d’Est en Ouest ?

[5] J’entendais il y a peu, sur France Inter, le montant des salaires versés à certains fonctionnaires régionaux, dévolus à chanter les louanges d’un ex-futur candidat LR à la présidentielle (entre 5000 et 11000 € mensuels). Salaires versés aux dits personnages dont l’action reste pourtant totalement étrangère aux nécessités du Bien Commun. Sommes exorbitantes qui démontrent, à l’évidence, le mépris dans lequel notre personnel politique, présidentiable ou non, de droite, de gauche ou du centre, tient l’ensemble des petites gens qui constituent le tissu actif et productif de notre pays ! Qu’ils traitent comme des vaches à lait.

[6] Qualificatif le plus imbécile que le politiquement correct ait jamais inventé, quand on veut bien y réfléchir.

[7] On doit l’expression à Céline qualifiant notre cher Jean-Paul Sartre..

[On se souviendra peut-être que, le 05/08/2021, j’avais publié un petit article concernant l’anagramme qu’il est possible d’établir avec le nom et le prénom de celui qui sert de président à la république. Pour ce qui est de la France -, royaume des Lys placé sous l’autorité spirituelle de ND et de Son divin Fils – c’est tout autre chose. On ne saurait confondre, non plus le Roi – Sergent de Dieu, Lieutenant du Christ – avec Triboulet, son bouffon… ou sa caricature.
Cet anagramme, dont chacun peut vérifier la pertinence est celui-ci : « Mammon enculera ».
Un de mes lecteurs, enchanté par ma trouvaille a brodé une petite réflexion sur le sujet, que je ne résiste pas à vous communiquer, sans rien y changer.
Bonne lecture à vous]

Mammon est un mot à l’étymologie obscure qui désignait à l’origine les possessions matérielles, les trésors, l’argent, voire le bénéfice.
Il s’est vite trouvé personnifié en un des princes de l’Enfer.

C’est lui qui, en l’absence de Moïse, monté au Sinaï pour recevoir les tables de la Loi, aurait inspiré aux Hébreux l’adoration du Veau d’Or.
Les Évangiles ont donc sommé chacun de choisir clairement qui servir, Dieu ou Mammon :
Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon (Matthieu 6:24). »

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Une partie de ma carrière s’est déroulée dans le monde de l’industrie pharmaceutique, ce qui m’a permis d’approcher d’innombrables médecins et quelques grands noms de la médecine française de l’époque (années 60/70) lors de congrès et de dîners professionnels. Les discussions autour de la table tournaient souvent autour des sujets culturels (quelques « patrons » français étaient de grands mélomanes), bien plus rarement politiques, mais, la plupart du temps, abordaient les question de technique et/ou d’éthique médicale. Et j’ai ainsi pu constater que, lorsque les mots d’euthanasie et même d’avortement (on ne parlait pas encore de  « suicide  assisté » ou d’« IVG » – c’est à dire d’assassinat légalisés – affleuraient dans les conversations, ils soulevaient ipso facto une forme de réprobation unanime qui conduisait à parler d’autre chose.
O tempora, o mores !

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Foutriquet[1] suivant les circonstances, s’efforce de chausser les bottes de Louis XIV, de Napoléon ou de De Gaulle pour satisfaire son fantasme de grandeur et de toute puissance (caractéristique de ces pervers-polymorphes que sont les enfants – et les adultes qui n’ont pas grandi – d’après Freud).
Las, ces chaussures de géants n’étant pas faites pour lui, il claudique lamentablement à la poursuite d’un rêve de gloire dont il ne restera rien dans notre Histoire. Sinon le souvenir de sa trahison des intérêts de la France en faveur de la ploutocratie mondialiste agissant par Big Brother Maastrichien interposé.

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Bonjour à tous et à toutes,
J’ai le plaisir de vous informer que mon sixième ouvrage vient d’être édité.

Son titre se trouve en en-tête de cet article et il est dès maintenant disponible aux

ÉDITIONS DE L’AURIGE
5, rue des Alouettes
81200 AIGUEFONDE

Pour vous faciliter la lecture, je vous en reproduis – ci-dessous – la Quatrième de Couverture intégrale. Elle vous renseignera sur le contenu de cet Essai, qui se présente un peu comme une enquête que j’aurais menée auprès de quelques penseurs remarquables. Le propos consistant à analyser les conceptions que ces auteurs peuvent avoir sur le sens de la destinée humaine à la lumière de  la Sagesse Astrologique.
Je reste à la disposition de tous pour toute information complémentaire.

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Dans un article purement prospectif consacré à la présidentielle de 2022, je m’étais posé la question de savoir si la conjonction JUPITER-NEPTUNE qui semble scander les grands moments de nos différents régimes, quasiment depuis le XIXème siècle, et qui se reformait exactement au moment de la consultation électorale, allait jouer pleinement. Et, comme elle semblait bénéficier plus particulièrement à Xavier Bertrand, j’émettais l’hypothèse que, s’il était élu, nous aurions une sorte de confirmation supplémentaire d’un temps politique associé aux relations (conjonctions, oppositions, carrés ou trigones) de ces deux corps célestes.
Xavier Bertrand n’ayant pas été candidat n’a pas été élu (nous nous en consolerons facilement) mais on ne peut pas dire que Jupiter/Neptune n’aient pas joué leur rôle dans cette présidentielle 2022 car le thème de MACRON est fortement imprégné des leurs valeurs, quoique non dominantes.
Valeurs sans lesquelles sans lesquelles il n’est même pas question d’entreprendre une carrière politique de grande envergure en France.

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Voici la troisième et dernière partie de cette réflexion consacrée aux enjeux dramatiques de l’élection présidentielle du 24 avril. Par une certaine ironie du sort, l’élection définitive tombe le jour de Saint-Fidèle ! Comme pour nous rappeler qu’il nous faut choisir à quoi nous désirons rester fidèles : à notre patrie ou à nos fantasmes « progressistes » ?

Pour ce dernier opus j’ai choisi de vous faire connaître une œuvre magistrale mais difficile d’accès. Non qu’elle soit rédigée dans une langue différente de celle que nous utilisons tous les jours, mais c’est l’œuvre d’une grande spécialiste, docteur en droit de l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste du droit de l’entreprise, auteur d’une théorie juridique unifiée qualifiée d’« iconoclaste » de l’Entreprise. Il faut sans doute entendre par là que ses idées ne plaisent pas trop à ceux qui profitent du système actuel.

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