En cette veille de Noël nous ne voulons penser qu’à ce qui est beau, saint, généreux et pur, c’est à dire à tout ce qui, de près ou de loin, communie avec l’Enfant de la Crèche. Lui seul peut nous arracher à ce monde « barbare » qui s’est livré corps et âme , depuis déjà trop longtemps, à cette « culture de mort » qui fait les délices de nos élites politiques, médiatiques, scientifiques et universitaires, à quelques heureuses exceptions près.