Il y a neuf ans, les circonstances m’avaient amené à offrir à mes lecteurs, un florilège de déclarations sur l’Islam qui nous viennent de personnages parfaitement respectés, et même honorés, de notre Histoire culturelle, religieuse et politique, puisque de nombreuses rues portent leurs noms.
C’était un temps où les auteurs, les hommes politiques et même les sujets du roi de France (comme Voltaire par exemple) pouvaient encore s’exprimer sur tous les sujets sans risquer de se faire ostraciser, invectiver, condamner par la justice, ou pire…
C’était un temps où on ne connaissait ni la langue de bois, ni la langue de buis qui sont les deux langues communes adoptées par tous les lâches, les profiteurs et les transfuges de tous les régimes et de toutes les confessions, depuis que le monde est monde. On appelait un chat : un chat -, un terroriste : un ennemi du genre humain – un immigré officiel irrespectueux des lois du pays qui le nourrissait : un ennemi de la nation – un immigré entré illégalement sur le territoire national : un clandestin à renvoyer chez lui et non un « sans papier ».
Heureux temps où les mêmes règles – y compris celles du langage – s’imposaient à tous et où chacun devait s’efforcer de les respecter, au lieu de les contourner ou de les dévoyer, pour en tirer profit ou faire un mauvais coup.
Un de mes correspondants me fait parvenir la copie du dessin ci-dessus qui a enthousiasmé les Hollandais chez qui il reste encore quelque lueur de lucidité après des lustres de libéralisme économique et moral, vecteur de toutes les compromissions et dépravations possibles et imaginables.
Cet article sera publié en deux parties. La première pour présenter sommairement cette personnalité et surtout cet écrivain hors du commun, à tous les sens du terme, que fut Jean Raspail. La seconde, plus technique, pour vous proposer quelques commentaires sur son thème natal et sur les mouvements célestes qui ont accompagné sa disparition. Bonne lecture à toutes et à tous.
En 1960/61, alors que j’effectuais mes 28 mois de service militaire « pour rien » (puisque la décision d’abandonner l’Algérie aux mains de ses égorgeurs d’alors, était prise depuis longtemps par notre « homme providentiel« ) Lire la suite de cette entrée »
Gesticulations et jérémiades n’y feront rien : nous sommes attaqués mais notre responsabilité dans ce qui nous arrive est très lourde. Quand on méconnaît la loi naturelle ou qu’on la méprise, il faut s’attendre à en prendre plein la g….. Lire la suite de cette entrée »
La lâcheté, sinon des peuples, mais des « élites » politiques et médiatiques qui les gouvernent (et qui ne sont, la plupart du temps que les pantins de l’oligarchie financière qui domine l’occident depuis les années 50 et que certains appellent le « Système », d’autre » l’Empire », d’autres encore le N.O.M) a emprunté plusieurs oripeaux au cours des temps : Lire la suite de cette entrée »