Articles avec le tag ‘Charles de Foucauld’

Avertissement : L’article que vous allez lire ci-dessous fait partie du  » CHAP X : Missions et Destins » de l’ouvrage qui paraîtra cette année et que je compte intituler : « Un Astrologue en Quête de Sens … s’interroge sur la notion de Destin« .
C’est pourquoi ce texte fait allusion à certains éléments ou développements figurant dans la partie antérieure à ce chapitre. Ne vous en inquiétez pas, cette évocation ne nuit en rien à la bonne compréhension de l’article en lui-même.
Peut-être même vous incitera-t-il à lire l’ouvrage complet quand les Éditions de l’Aurige : https://sites.google.com/leseditionsdelaurige.com/site/accueil l’auront publié. Ce qui ne saurait tarder.

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1/ RAPPEL DES FAITS

Il y a neuf ans, les circonstances m’avaient amené à offrir à mes lecteurs, un florilège de déclarations sur l’Islam qui nous viennent de personnages parfaitement respectés, et même honorés, de notre Histoire culturelle, religieuse et politique, puisque de nombreuses rues portent leurs noms.
C’était un temps où les auteurs, les hommes politiques et même les sujets du roi de France (comme Voltaire par exemple) pouvaient encore s’exprimer sur tous les sujets sans risquer de se faire ostraciser, invectiver, condamner par la justice, ou pire…
C’était un temps où on ne connaissait ni la langue de bois, ni la langue de buis qui sont les deux langues communes adoptées par tous les lâches, les profiteurs et les transfuges de tous les régimes et de toutes les confessions, depuis que le monde est monde. On appelait un chat : un chat -, un terroriste : un ennemi du genre humain – un immigré officiel irrespectueux des lois du pays qui le nourrissait : un ennemi de la nation – un immigré entré illégalement sur le territoire national : un clandestin à renvoyer chez lui et non un « sans papier ».

Heureux temps où les mêmes règles – y compris celles du langage – s’imposaient à tous et où chacun devait s’efforcer de les respecter, au lieu de les contourner ou de les dévoyer, pour en tirer profit ou faire un mauvais coup.

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