Mon ouvrage complet intitulé:

« Les deux  Langues de la Verticalité :
Philosophie & Astrologie »
penser hors de la « barbarie » scientiste
avec une

Préface du Pr Wolfgang SMITH

est enfin paru.

Ceux d’entre vous qui suivent mes travaux n’ignorent pas que le premier volume de cet ouvrage est paru le 31.12.2019 sous le titre :

« Dictionnaire Critique de la Langue Astrologique ».

Néanmoins, manquant d’une relecture véritable que la plupart des éditeurs n’assurent plus, cet ouvrage présentait de nombreuses imperfections – au nombre desquelles son prix exorbitant ! – qui m’ont amené à demander audit éditeur de le retirer de la vente et à décider d’en assumer la publication à mes frais.

Trois universitaires ont bien voulu assurer la relecture de l’ouvrage. L’erreur et la distraction font partie intégrante de la nature humaine, mais je pense pouvoir assurer que, désormais, cet ouvrage ne présente que peu ou pas du tout de coquilles, erreurs, fautes d’inattention…etc.

Enfin, je tiens à préciser que cet ouvrage est mis en vente à « prix coûtant » de 34 €, emballage et port compris. Mon projet, en écrivant, n’a jamais été de faire des affaires, voire même de tirer un bénéfice modeste de mes écrits, mais de transmettre et de partager mes convictions d’astrologue et de philosophe.
C’est ainsi que je propose à toutes les personnes qui auraient acheté le 1er volume du Dictionnaire Critique édité par L’Harmattan au prix de 55 € ! de me le renvoyer. Elles recevront les deux volumes de l’ouvrage complet gratuitement en retour.

Pour le reste, je ne saurais mieux faire pour vous présenter cet ouvrage que d’en reproduire la Quatrième de Couverture :

Dans ce quatrième ouvrage, Louis SAINT MARTIN, tente d’établir des passerelles entre les deux types de langage qui, dans la culture occidentale, se sont efforcé de nous indiquer les voies d’accès vers une certaine forme de transcendance (ce que Wolfgang Smith, préfacier de l’ouvrage, nomme Verticalité) : la Philosophie pour la voie exotérique qui ne se lasse pas de passer nos certitudes au filtre de la Raison ; et l’Astrologie pour la voie plus secrète et plus intime qui consiste à donner sens à nos destinées individuelles, grâce à sa lecture qualitative et analogique des mouvements célestes.

Celle-ci envisage le monde et l’univers non comme de simples données matérielles mesurables et quantifiables à merci, mais sous l’angle de leur nature iconique (Jean Borella). Le « grand livre de la nature » que Galilée, voulait réduire à la seule tyrannie de ses lois mathématiques retrouvant ainsi sa nature sémantique : celui d’une langue à décrypter qui a quelque chose d’essentiel à nous dire sur la place que nous pouvons occuper dans le grand opéra cosmique que représente la Création.

Pas de philosophie authentique qui ne débouche sur la question du sens de la vie – question métaphysique entre toutes – si cette activité de l’esprit veut rester fidèle  son exigence première.

Pas d’Astrologie qui puisse se dispenser de faire appel à la philosophie – et notamment à son travail sur mythes et symboles -, si elle veut approfondir les données qu’elle met en œuvre depuis trois mille ans.  Activité qui consiste à débrouiller l’écheveau de correspondances qui relient les divers plans de la réalité de manière souvent opaque pour notre esprit. Esprit qui n’a que trop tendance à dissocier, à simplifier et à lâcher la proie d’une connaissance authentique orientée vers la Sagesse, pour l’ombre de la réduction scientifique qui nous donne l’illusion d’être maîtres et possesseurs de la nature.

Cet ouvrage se présente comme un « dictionnaire » et passe en revue 148 notions qui me paraissent dignes d’intérêt. Mais outre qu’il ne prétend aucunement à l’exhaustivité, il ne prétend pas non plus épuiser la signification des concepts ainsi présentés, ni les multiples liens qui peuvent les associer les uns aux autres, mais simplement encourager le chercheur à accepter la nécessaire ascèse intellectuelle qu’exige le langage astrologique s’il veut éviter de tomber dans les significations toutes faites que nous offre l’ersatz souvent lamentable qui a remplacé l’Art Royal qui régnait sur les plus hautes intelligences (Honoré de Balzac) au temps où rationalisme, scientisme et mercantilisme ne les avaient pas encore corrompues.

Je reste à la disposition de tous ceux et celles qui désirent une information complémentaire.
Ces personnes pourront soit me contacter par l’intermédiaire du site, soit directement à mon adresse courriel : lsm@pronoia.fr

Il est aussi possible de commander directement ces deux tomes auprès de moi.
En effet, renonçant à ma collaboration avec L’Harmattan étant donnés les prix pratiqués par cette maison, j’ai décidé de faire imprimer et d’éditer ce très gros ouvrage moi-même et à prix coûtant :

34 € les deux volumes, emballage et port en »suivi » compris.
Je n’écris pas pour gagner de l’argent mais pour le bonheur de partager.

Par comparaison je rappelle que L’Harmattan a commercialisé le seul Premier des deux Tomes (sous un autre titre) au prix de 55 € !! Je l’ai d’ailleurs fait retirer de la vente et j’ai modifié le titre général de l’ouvrage de façon à éviter toutes confusions.
On pourra donc me régler la commande

  • soit par chèque : à l’adresse ci-dessous indiquée

  • soit par virement bancaire (me demander mon RIB à l’adresse courriel ci-dessus)

Bien cordialement à tous

Louis SAINT MARTIN
5, rue des Alouettes
81200 AIGUEFONDE
Tél : (33)5.63.97.92.40

 

 

 

 

11 réponses à to “AVIS DE NAISSANCE : « Les deux Langues de la Verticalité – Philosophie & Astrologie « ”

  • olivier TOMA:

    bravo 😉😉😉😉😉😉😉😉😉

  • Anne-Marie:

    Félicitations!!!!
    Je vous contacte la semiane prochaine pour le commander.
    Amicalement-AM

  • Maurin:

    Bonjour,
    Merci de me faire parvenir un RIB (pour commande dictionnaire).
    Cordialement,
    Michel Maurin

  • Maurin:

    Merci de me faire parvenir un RIB.
    Cordialement MM

    • Cher Monsieur,

      Je vous ai adressé deux ou trois messages accompagnés d’un RIB mais ils me sont revenus pour cause de « mauvaise adresse » ! Et pourtant j’ai reprise celle qui apparaît dans vos propres messages. Il y a donc quelque chose qui fonctionne mal dans votre messagerie.
      Je vais, néanmoins, retenter l’expérience et nous verrons bien.
      Cordialement à vous
      LSM

  • Maurin:

    Bonsoir
    Merci pour votre réponse.
    A noter qu’il n’y a pas d’espace entre le nom et le prénom.
    Bonne soirée.
    MM

  • J.M.:

    Cher Monsieur,
    Je viens de terminer vos deux volumes d’astrologie. C’est parfois ardu, quand vous convoquez Plotin, Kant, Descartes, Platon,Borella, etc.
    Voici quelques réflexions.
    -De ce que j’ai lu depuis un certain temps, je me demande si le problème de l’astrologie n’est pas essentiellement endogène, plus qu’externe (la science)? Tous ces courants, chapelles, écoles l’ont peut être rendue inaudible? Une sorte de tour de Babel.
    J’ai cru comprendre que Morin de Villefranche était un astrologue reconnu. Or, à son époque, il pratiquait avec les éléments connus. D’abord, concernant l’aspect pratique, il n’avait pas d’ordinateur, bien utile pour construire un thème. Peut être pas non plus d’éphéméride. A cela il faut ajouter la difficulté liée à l’obtention des renseignements d’état-civil. Mais surtout, il n’avait pas les transaturniennes, sans doute pas les nœuds lunaires, ni la Lune noire. Peut pas non plus les astéroïdes. Encore moins le karma, la réflexologie, la psychanalyse. Malgré cela, je me répète, il semble avoir été un bon astrologue. Là où je veux en venir, c’est qu’un astrologue « classique » (symbolisme, analogie) pourrait très bien créer et interpréter un thème dans les mêmes conditions que Morin de Villefranche. Mais un astrologue conditionnaliste pourrait il se passer du T du RET? Si la réponse est non, alors c’est embêtant, car « l’astrologie » doit être efficiente quelle que soit l’époque. Sauf à penser que tous ceux qui étaient antérieurs avaient tout faux. Pourquoi pas? Mais reste toujours de savoir si de nos jours le RET est viable sans le T.
    -J’ai vu sur Internet, des astrologues qui proposent des consultations classiques et des consultations karmiques. Cela m’a paru curieux. Je pensais que c’était l’un ou l’autre. Est ce cohérent? est ce l’équilibrisme?
    -Quant à l’aspect purement technique:
    1.Dans le cadre d’une fratrie, les significations du père ou de la mère devraient se retrouver chez tous les enfants. Par exemple, si le thème d’un enfant indique un père strict, sévère, « adjudant chef » (je grossis le trait), on devrait retrouver cela chez les autres enfants, alors qu’ils ont des thèmes différents. Je continue à chercher.
    2;Quant on voit, dans un thème, des « tensions » entre deux personnes, il reste une question importante pour le consultant: sa part de responsabilité. Là aussi je cherche.
    Cordialement.

    • Je reprends votre texte afin d’y réponde plus clairement.
      Cher Monsieur,
      Je viens de terminer vos deux volumes d’astrologie. C’est parfois ardu, quand vous convoquez Plotin, Kant, Descartes, Platon,Borella, etc.

      Sans doute, mais une de mes grandes orientations dans la défense et illustration de l’Astrologie est de lui faire réintégrer la famille dont elle n’aurait jamais dû être chassée : la Philosophie. Avant même la Psychologie
      Voici quelques réflexions.
      De ce que j’ai lu depuis un certain temps, je me demande si le problème de l’astrologie n’est pas essentiellement endogène, plus qu’externe (la science)? Tous ces courants, chapelles, écoles l’ont peut être rendue inaudible? Une sorte de tour de Babel.
      Sans doute. Mais de ce point de vue elle n’est pas différentes de tous les autres domaines de la connaissance – y compris de la « science » – qui, elles aussi se diversifient à l’extrême.
      J’ai cru comprendre que Morin de Villefranche était un astrologue reconnu. Or, à son époque, il pratiquait avec les éléments connus. D’abord, concernant l’aspect pratique, il n’avait pas d’ordinateur, bien utile pour construire un thème.
      Ce n’est pas un très gros problème. Personnellement je n’avais pas d’ordinateur au début de ma carrière et le calcul et le montage – ou le dessin – d’un thème (y compris la recherche des aspects et configurations) me prenait vingt minutes montre en main.
      Peut être pas non plus d’éphéméride.
      En tout cas pas aussi perfectionnée que les nôtres.

      A cela il faut ajouter la difficulté liée à l’obtention des renseignements d’état-civil.
      Pas de problème : il ne travaillait que pour des gens assez importants pour qu’on ait soigneusement noté la date et l’heure de naissance.
      Mais surtout, il n’avait pas les transsaturniennes, sans doute pas les nœuds lunaires, ni la Lune noire. Peut pas non plus les astéroïdes.
      Sans doute. Reste à savoir si ces éléments sont indispensables pour aller à l’essentiel dans un thème.
      Encore moins le karma, la réflexologie, la psychanalyse. Malgré cela, je me répète, il semble avoir été un bon astrologue. Là où je veux en venir, c’est qu’un astrologue « classique » (symbolisme, analogie) pourrait très bien créer et interpréter un thème dans les mêmes conditions que Morin de Villefranche.
      Je suis tout à fait de votre avis. Bien des astrologues s’encombrent de toutes sortes de données superfétatoires alors même qu’ils ont le plus grand mal à saisir le sens profond d’un thème, faute d’une culture qui puisse éclairer le sens profond des symboles qu’ils multiplient à l’envi. En quelque sorte la sauce vient noyer le poisson.
      Mais un astrologue conditionnaliste pourrait il se passer du T du RET? Si la réponse est non, alors c’est embêtant, car « l’astrologie » doit être efficiente quelle que soit l’époque. Sauf à penser que tous ceux qui étaient antérieurs avaient tout faux. Pourquoi pas? Mais reste toujours de savoir si de nos jours le RET est viable sans le T.
      L’Astrologie Conditionnaliste est l’exemple-type d’une connaissance qui se constitue en adoptant les critères d’une autre science et qui, bien entendu, finit par se nier elle-même.Ockham avait fait de même avec la métaphysique qu’il voulait absolument faire passer sous les fources caudines de la logique; Descartes fit de même en confondant philosophie et mathématiques; Kant en inféodant la philosophie à la physique, Comte au positivisme; et de nos jours certains « philosophes » se sentiraient frustrés qu’ils ne pouvaient invoquer Freud ou Marx (quoique…). L’Astrologie conditionnaliste, elle, a décidé de se constituer sous la férule du photopériodisme mâtiné de neurophysiologie (plus ou moins marxiste d’ailleurs) et à voulu remplacer les analogies et correspondances acausales de l’Astrologie classique, par des « signaux » de nature cosmique (donc physique) affectant la fibre nerveuse…C’est son choix. Ce n’est pas le mien.
      Quant au problème de la « transcendance » – le niveau T – que vous soulevez à juste raison, il me paraît fort mal nommé. On peut accepter un niveau « transcendant » dans le cadre d’une philosophie ou d’une astrologie spiritualiste; le « transcendant » en fait, correspondant à l' »intelligible » c’est à dire à cette partie de la philosophie (la métaphysique) qui s’intéresse à ce qui existe au-delà de l’univers sensible et à ce qu’il manifeste (les fameux universaux et transcendantaux de la philosophie médiévale par exemple… sans oublier Dieu bien sûr !). A la limite les conditionnalités pourraient-ils appeler leur niveau « T » « transcendantal » et le rapprocher ainsi de conditions de possibilité de la science chères à Kant, mais parler de « transcendance » au sujet d’une astrologie aussi matérialiste que la leur, me paraît fallacieux. Pour le moins

      -J’ai vu sur Internet, des astrologues qui proposent des consultations classiques et des consultations karmiques. Cela m’a paru curieux. Je pensais que c’était l’un ou l’autre. Est ce cohérent? est ce l’équilibrisme ?
      Ce n’est ni cohérent et surtout ce n’est pas honnête. L’astrologie est entièrement bâtie sur un réseau d’analogies et de correspondances qui peuvent être observées et vérifiées. C’est ce qui lui a permis, par exemple, en intégrant le vocabulaire psychologique, moral, littéraire, anthropologique, etc… de traduire des données purement symboliques, dans une langue compréhensible et acceptable par tous, parce que vérifiable par tous. Sur quels critères vérifiable, sur quelles expériences solides et valides peut bien se baser une « astrologique karmique » ? Sauf à se convertir à l’Hindouisme préalablement bien sûr.
      Quant à l’aspect purement technique:
      1.Dans le cadre d’une fratrie, les significations du père ou de la mère devraient se retrouver chez tous les enfants. Par exemple, si le thème d’un enfant indique un père strict, sévère, « adjudant chef » (je grossis le trait), on devrait retrouver cela chez les autres enfants, alors qu’ils ont des thèmes différents. Je continue à chercher.
      Votre vision ici est trop « mécanique », trop « simplificatrice » si je puis dire. Avoir une même origine n’implique pas d’avoir une même destinée. Avoir les mêmes parents n’implique pas d’avoir les mêmes relations avec eux, ni de puiser aux mêmes ressources transgénéalogiques, aux mêmes « mémoires » en un mot. De plus, un père peut fort bien se montrer sévère et punitif avec son aîné, puis évoluer au cours de son existence et se montrer quasi-laxiste avec le petit dernier. C’est tout à fait le cas d’un garçon que je connais très bien, deuxième d’une famille de quatre enfants, qui a reçu de son père des raclées telles qu’il s’en évanouissait, alors que son dernier frère – le « petit dernier » – a été élevé dans un laxisme tel qu’à trente ans il vit encore chez ses parents, incapable de rien faire de sa vie, plus ou moins alcoolique, incapable de garder un boulot ou une copine, et ayant maille avec la justice à plusieurs reprises. Le père qu’il a connu et subi n’était plus le même que celui de mon ami

      2;Quant on voit, dans un thème, des « tensions » entre deux personnes, il reste une question importante pour le consultant: sa part de responsabilité. Là aussi je cherche.
      Cordialement.

      Cher Monsieur, vous posez là la question essentielle de l’Astrologie. A quoi servirait-elle si, prenant acte des tensions que vous indiquez et dont elle nous donne une explication symbolique, elle ne servait pas à développer notre lucidité sur nous même et sur les relations que nous engageons avec les autres (entre autres possibilités) et, ainsi, éclairer notre responsabilité ? Je vous laisse y réfléchir.

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