D’abord peut-on vraiment parler d’une authentique Union Européenne ?

J’en doute fort, tant il apparaît au chercheur, que cette « Europe » qui semble avoir été conçue au départ sur des bases saines (Schuman, De Gasperi, Spaak, Adenauer) s’est vue très tôt pervertie dans son orientation par le sulfureux Jean Monnet, agent de la CIA, et ses acolytes, pour servir de bastion avancé aux intérêts américains et, plus largement, aux visées hégémoniques de la ploutocratie mondialiste.

C’est ainsi que l’Europe du « Marché Commun » « occupée[1] », vassalisée et détournée de ses objectifs est devenue l’Union Européenne du libre-échangisme, cheval de Troie ouvrant la voie à un futur Big Brother mondial.

Les ouvrages de Philippe de Villiers sont incontournables sur le sujet, je suggère au lecteur de s’y référer au plus vite pour bien comprendre ce qu’il est en train de se passer. En attendant il peut suivre le lien suivant https://www.youtube.com/watch?v=LRlWS4U1rQo pour se trouver édifié.

La notice de Wikipédia qui résume la deuxième partie du génial Seigneur des Anneaux de Tolkien, intitulée «  Les Deux Tours », nous apprend qu’à travers la terre du Milieu, Aragorn, Legolas et Gimli se rendent au royaume assiégé de Théoden. Cet ancien grand roi est désormais tombé sous la coupe du malfaisant Magicien.

Nous sommes dans le même cas de figure depuis le 1er Novembre 1993. L’Europe vraie, l’Europe des peuples et des nations, l’Europe chrétienne, l’Europe des âmes, des cœurs et des cultures, est assiégée par toutes les puissances mercantilo-messianiques qui ont intérêt à la voir disparaître en tant qu’incarnation de la civilisation helléno-chrétienne qui lui a donné naissance. Ses dirigeants sont des rois Théoden, non pas envoûtés à leur cœur défendant comme lui, mais consentants et complices de cette dissolution progressive dans le magma mondialiste via l’Europe de Bruxelles.

Ainsi, depuis Maastricht et la ratification officielle du Traité – 07.02.1992 – la France est dirigée par une série de Cono Ravirus ou de Conora Minus, au choix, – version moderne du roi Théoden – qui la liquident lentement mais sûrement en la  mettant sous sédation profonde (Macron se révélant maître anesthésiste de première force) sous la surveillance des divers commissaires politiques européens, tels Jean-Claude Junker – le roi de l’évasion fiscale – qui déclare, entre deux whiskies : Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens.

Voilà qui éclaire bien la nature hégémonique et totalitaire de la construction européenne, soit disant « démocratique ». Mais il y a mieux grâce la fausse droite, la plus veule du monde,  illustrée (entre autres Pinocchio) par le simiesque Sarkozy (qui n’a pas une seule goutte de sang français à se reprocher et qui déclarait ne pas se sentir totalement Français devant ses amis du B’nai Brith de New-York). Nicolas le petit qui, entre deux TOC, décide d’imposer, grâce au Traité de Lisbonne, les dispositions d’une Constitution Européenne concoctée par Giscard alias d’Estaing qui se voyait déjà chuintant sur le trôle de Bruxelles. Et, – pourquoi pas ? -, d’Aix La Chapelle…Une constitution on peut l’amender, mais – d’après Junker – on ne peut revenir sur un traité.

N’oublions non plus que la commande du dit Traité avait été passée par Jacques Chirac (soucieux de ne pas avoir un Giscard dans les pattes pour la présidentielle de 2002), grand admirateur, en son jeune temps, de la politique d’indépendance nationale incarnée par son prédécesseur, le grandiloquent général De Gaulle. Un Chirac qui s’avisa, après deux échecs à la présidentielle,  que pour être enfin Calife à la place du Calife il lui fallait l’onction des grands vizirs de « Bruxelles », et qui devint alors une des chevilles ouvrières de notre perte de souveraineté et de notre perte de prestige (cf. ses déclarations sur la « culpabilité de la France ») par cabinet noir européen interposé.

Comment les Français ont-ils pu se laisser piéger de la sorte ? Comment ont-ils pu voir leur culture et leur art de vivre effacés ? leur langue abâtardie par le prégnance du franglais vecteur du mercantilisme US ? leur tissu industriel se réduire en peau de chagrin ? Se vider leurs campagnes ? Disparaître leurs services publics ? Se remplir leurs banlieues et certaines de leurs villes d’une population absolument étrangère à leurs mœurs ? Accepter du supporter des communautés hostiles et réfractaires à toute forme d’assimilation alors même que dans leur plus grande majorité elles sont entretenues à ne rien faire, à nos frais ? Supporter sans broncher que se constituent de véritables foyers de guerre civile du fait d’un endoctrinement islamique qui potentialise les violences entraînées par la pratique intensive de tous les types de trafic possibles et imaginables du fait de bandes exogènes rien moins que françaises par le cœur et l’esprit ?   

Cela restera un de ces profonds mystères dont l’Histoire a le secret quant à l’attitude notre nation et à sa fascination pour l’autodestruction et ceux qui la favorisent.

En revanche, les causes de cet état de choses qui vide notre pays de sa substance vitale, corrompt son âme, efface son identité, détruit ses défenses (par immigration exponentielle imposée et dictature de Droits de l’Homme sans foi ni loi, sans feu ni lieu) sont parfaitement identifiables. Ce sont – au-delà d’un personnel politique d’une rare veulerie – les institutions européennes – notamment la CEDDH –  qui, je le répète, – en tant que relayant les grandes institutions internationales apatrides -, appliquent une politique qui n’a d’autre but que de dissoudre ce qui constitue les nations : familles composant la grande famille européenne dont on a commencé par exclure Celui qui en constituait le principe vital et le ciment : le Christ. 

Georges Soros, mais nous pourrions citer tous les grands magnats de la finance internationale, (les Rothschild, la Goldman Sachs,  la FED, le FMI) sans oublier les « clubs » plus ou moins opaques – SFR, Trilatérale, Bilderberg et la multiplicité des ONG pseudo-humanitaires aux ressources inépuisables – tout ce beau monde, placé sous l’autorité d’un Sauron qui a sans doute plusieurs visages de rechange, délèguent autant de magiciens que nécessaire pour circonvenir, acheter ou contraindre, tous les rois Théoden de la Terre et les réduire à l’état de loque. Sauf que les rois européens de ce début de deuxième millénaire, sont des rois consentants et non envoutés. Soit par conversion à une idéologie mondialiste dont ils espèrent tirer profit d’une manière ou d’une autre, soit parce qu’ils traînent quelque casserole et qu’ils s’appliquent à jouer les idiots utiles pour la faire oublier. Comment expliquer autrement l’accession au trône républicain, d’un Macron inconnu de l’ensemble des Français, deux ans avant son élection, ex larbin des Rothschild et ayant réussi à escamoter trois millions de revenus sous les yeux ébahis du fisc ?

Voilà pour le bref état des lieux.

Venons en maintenant à l’objet même de l’article : l’épreuve que s’apprête à subir Babylone du point de vue astrologique en sa vingt-septième année d’existence. Bien sûr il vaudrait mieux disposer de quelques connaissances dans le domaine astrologique pour mieux apprécier la démonstration. Mais j’essaierai de la rendre aussi claire que possible pour les non-initiés.

Voici le thème de naissance de l’Union Européenne façon ploutocratie/franc-maçonnerie conjuguées :

On remarque combien cette carte du ciel, considérée d’un même œil que celle d’un être vivant, apparaît comme contradictoire.

En effet l’Asc Lion, – force, vitalité, prestige -, reçoit en sextile de Vénus conjointe à Jupiter en Balance et en Maison III. Peut on rêver plus belle configuration dans un thème natal que celle qui associe les joies et bonheurs de la vie sociale et collective sur le terrain pacifique et harmonieux de la Balance ? Il s’agit d’un aspect qui, à mon avis, évoque la popularité, la faveur, le prestige que l’idée européenne a rencontré dans la majorité du public grâce aux couleurs idylliques dont on l’a revêtue pour la lui présenter. L’intense travail de communication (propre à la Maison III) entrepris par les gouvernements engagés dans cette construction : la presse, la radio, la télévision, et tous les autres médias, les milieux intellectuels, les responsables politiques et, sans doute jusqu’à  l’Éducation nationale, chacun y est allé de son couplet pour dépeindre les merveilles qui nous attendaient grâce à cette tentative historique de supranationalité qui allait enchanter nos vies…. et pour faire oublier le semi-échec de Maastricht qui ne fut évité que de justesse ; sans doute grâce à l’opération de la prostate dont Mitterrand sut si bien se servir pour attendrir l’électorat français qui s’apprêtait à voter NON.

L’astrologue féru d’Histoire n’oublie pas de quelle popularité avait joui Adolf Hitler, soixante ans plus tôt grâce au génie du responsable de sa communication : le sinistre Dr Goebbels. Or le thème natal d’Hitler présente une conjonction Lune-Jupiter en Maison III en Capricorne. L’emblème du pouvoir politique et de l’autorité suprême – le Capricorne – remplace, chez lui, celui de l’entente, de la diplomatie, des accords, contrats et traités associant des partenaires égaux – la Balance – dans le thème de l’empire[2] européen.

De plus cette conjonction Vénus, Jupiter est trigone à Saturne en Verseau (progrès, innovation, fraternité, idéal, utopie ?) en Maison VII. Celle-ci – analogique au 7ème signe de la Balance – en Astrologie dite Mondiale (ou politique) régit : les traités, les accords commerciaux, la diplomatie, la politique étrangère, les alliances, les relations internationales, les guerres. Le ministère de la justice, les procès.

Autant dire que cette face du thème natal de l’Union Européenne ressemble furieusement au conte de La Belle au Bois Dormant, dans lequel la ravissante petite princesse est dotée de toutes les perfections possibles et imaginables par les 7 fées-marraines (il y en a 12 dans le conte de Grimm)… avant que n’intervienne la méchante sorcière Carabosse, qui, ulcérée de n’avoir point été invitée au baptême,  condamne la princesse à mourir avant seize ans en se piquant le doigt avec son fuseau. Sortilège heureusement annulé en partie par la septième des 7 fées et remplacé par un sommeil de cent ans.

Regardez le thème et vous verrez que l’ensemble de cette structure si réjouissante d’aspect, est entièrement fondée sur une quadruple conjonction en Scorpion et en Maison IV. Le Scorpion évoquant les métamorphoses que tout organisme vivant doit accepter de traverser pour se maintenir en vie ; en commençant par la vie elle-même qui lui est transmise à travers les échanges sexuels de ses parents où chacun donne (sacrifie) un peu de lui-même ; et en terminant par la mort où le sujet est appelé à ensemencer (s’il y arrive) les générations futures de sa propre substance. Y compris par le retour du corps à la terre.

Au nombre des configurations qui animent plus particulièrement  cette Maison IV, nous observons une très destructrice opposition du trio Mercure (idées, opinion publique) Mars (conflits, violence, luttes) Pluton (destruction, transformation) à la Lune en Taureau : une expression quasi paradigmatique de la vie biologique, de la capacité donnée à un être (quel qu’il soit) de s’incarner, de vivre, de se développer et de durer… Sinistre présage qui n’augure pas d’une longue durée de vie, n’est-il pas ?

La même configuration extrêmement négative forme un carré à Saturne en Maison VII. Saturne, symboliquement, incarne la construction, la durée, la solidité, le maintien dans des structures solides, l’accomplissement… En Astrologie Mondiale commune on lui attribue les domaines suivants : les restrictions, les freins, les limitations, les blocages, la politique, le pouvoir exécutif, les grandes structures, les trains (transport), la tradition et le conservatisme.
Choisissez les qualificatifs qui vous paraissent correspondre à la situation que nous vivons

Quant à la Maison IV que j’ai évoquée mais que je n’ai pas définie, elle concerne : les opposants au gouvernement, la rébellion, la révolution. Les produits issus de l’agriculture ou du terroir. Le patrimoine historique du pays, le passé politique de la nation. Les guerres civiles, les invasions.
Si vous réfléchissez bien, vous vous apercevrez que cette liste correspond à tous les enjeux qui font débat actuellement, enjeux que la crise du coronavirus a permis de cristalliser et de sortir du placard où on les avait enfermés.

Vous ne trouvez pas hallucinante la façon dont la langue astrologique décrit, dès le départ, les maux par lesquels cette superstructure ploutocratique, maçonnique et technocratique qu’on nous a si habilement « vendue », est appelée à s’autodétruire après avoir profondément compromis la vie de peuples ?

J’ai dit que la Maison IV (le socle, les fondements de l’Union Européenne) s’enracinait dans le symbolisme du Scorpion. Or qu’est-ce-que pointe le Scorpion en Astrologie Mondiale ? Il souligne les maladies graves et les épidémies, la criminalité, les relations financières avec l’étranger et les problèmes politiques graves. Il nous renseigne également sur la prostitution, l’immoralité et la pollution. Sans oublier les scandales sexuels, ajouterai-je.

Alors que le Verseau, toujours en Astrologie Mondiale désigne : l’aspect réformateur… les organismes internationaux, scientifiques et météorologiques. Il nous renseigne sur l’exploration du cosmos, les actions sociales du gouvernement, les découvertes, les appuis donnés ou reçus.

Comment ne pas voir, dans le conflit entre Maison IV et Maison VII, entre Scorpion et Verseau, la contradiction criante entre l’apparence et la réalité, les buts avouées et la charge opaque et destructrice qui qualifie la nature profonde de cette construction ?

 Il faudrait être singulièrement aveugle pour ne pas découvrir, grâce à ce thème de naissance, les germes de mort qui affectent l’Union Européenne dès le premier jour de son fonctionnement et pour ne pas prévoir, sinon sa destruction irrémédiable, mais les profondes transformations, remises en question, épurations radicales, auxquelles elle aurait à faire face pour conserver quelque chance de renaître à elle-même ; pour retrouver la seule vocation qui doit être la sienne : maintenir et défendre l’identité foncière de l’Europe qui s’enracine à Athènes, à Nazareth et à Rome, seul moyen pour elle de durer et de favoriser le bonheur des nations et des peuples qui la composent, tous solidaires par la civilisation commune, mais tous reconnus et consolidés dans leur identité.

Ce thème natal est d’autant plus évocateur que la prise de conscience de l’inefficacité de l’Europe technocratique et ploutocratique de Bruxelles, se révèle enfin en pleine lumière « grâce » à une épidémie qui la frappe dans ses œuvres vives (Maison IV) puisque les maladies graves et les épidémies font partie intégrante de l’héritage Scorpion qui la fonde !

Je citais le Dr Goebbels un peu plus haut et son génie de la propagande pour circonvenir les Allemands et les convaincre d’adopter un régime qui leur promettait gloire, puissance et domination sur le monde, avant de les enfouir sous les décombres des bombardements alliés et de récolter le mépris universel en sus.

J’aurais pu citer aussi Martin Luther qui se servit du très réel besoin de réformer certaines mœurs ecclésiastiques pour imposer sa propre vision théologique et mettre le feu à cette Église qu’il prétendait réformer, alors qu’il était incapable de se réformer lui-même. Ce qui le conduisit, au-delà de l’institution religieuse elle-même, à semer en Europe les brandons d’une idéologie individualiste et libérale à l’origine d’une partie non négligeable des drames que l’Europe a eu à affronter depuis la fin du XVIème siècle. Dont cette construction européenne, outil servile du libre-échangisme, héritage de Luther, Calvin and Co.

Pourquoi évoquer ces deux personnages dans cet article ?

Tout simplement parce que chacun d’eux bénéficie d’un thème natal très comparable à celui de l’Union Européenne. Jugez-en :

Goebbels : Mercure, Soleil, Mars, Uranus au FC en Scorpion, carré Asc Lion.

Luther : Mars, Saturne, Vénus, Soleil au FC en Scorpion, carré Asc. Lion

U.E : Soleil, Mercure, Mars, Pluton au FC en Scorpion, carré Asc. Lion.

Comment ne pas voir les affinités qui relient ces trois thèmes (et ceux qui les incarnent) dans une commune, orgueilleuse (Lion) et destructrice volonté de puissance (Scorpion) prenant les allures et adoptant le discours de la colère vertueuse, du bonheur (ou du salut) des hommes, de la réforme des modes de vie, de l’adaptation aux changements, de l’amour de l’humanité et autres tartes à la crème ?

Cela posé, je m’intéresserai maintenant à une configuration dont je n’ai pas parlé jusqu’à présent mais qui est essentielle s’agissant du sujet dont nous traitons ici.

Il s’agit de la conjonction URANUS-NEPTUNE qui ne se produit que tous les 172 ans (en moyenne)

Nous la trouvons en Maison VI du thème natal de l’UE. Maison VI : Le ministère de la santé, les maladies et épidémies, les contraintes et restrictions. Les fonctionnaires de l’État, la police, l’armée. Les questions concernant l’immigration, légale ou non. Le chômage, les grèves.

On croit rêver, tant ce thème est révélateur des tares de la construction européenne et des dangers qui la guettent.

Ôtez 172 ans à 1993 et vous trouverez… 1821.

C’est l’année de la mort de Napoléon 1er  à Sainte-Hélène où il séjournait dans un Club Méditerranée  après avoir mis l’Europe – en passant par l’Egypte – à feu et à sang. Mon excellent confère Gilles Verrier écrit sur son site, parlant de cette année 1821 : En 1821, c’est la mort de Napoléon et de tout un système politique. La première décennie du XIXe a vu l’impact du machinisme et l’apparition d’une classe ouvrière se détachant de la bourgeoisie montante et des classes moyennes. Les empires espagnols et portugais s’effondrent, le Brésil, le Mexique et les autres colonies espagnoles ou portugaises se révoltent et se libèrent.

  •  Voilà pour URANUS-PROMÉTHÉE : les cartes sont rebattues en Europe (congrès de Vienne) où se distinguent une Europe plutôt réactionnaire (Autriche, Russie, Allemagnes, Espagne) et une Europe plutôt libérale (Angleterre, France). Mais Gilles Verrier poursuit :

Dans les années 1821-1825 paraissent à Paris les œuvres de Saint-Simon, dont on peut dire aujourd’hui qu’il est à l’origine du socialisme. Ses idées publiées dans le Système industriel (1821) et Le Nouveau Christianisme (1825) publié après sa mort mettent l’accent sur le fait que la propriété industrielle doit être établie pour l’intérêt de la société entière et non pour celui d’une classe de privilégiés. Dans le Nouveau Christianisme écrit en 1821 et publié après sa mort en 1825, il encourage les puissants à davantage tenir compte des besoins des pauvres et surtout de leur bonheur social, selon lui ce bonheur ne peut se réaliser que dans le cadre de la société capitaliste. Etc… 

  • Voilà pour NEPTUNE et ses utopies sociales qui vont, effectivement, travailler en profondeur les opinions publiques et les régimes politiques européens tout au long du XIXème et du XXème siècle.

Enlevons encore 172 ans à 1821 et nous trouvons 1649 !

Ouvrons Wikipédia qui nous évitera de nous perdre en de laborieuses recherches (nous ne sommes pas sur un site d’Histoire, mais d’Astrologie) et nous lirons ceci :

Les traités de Westphalie (ou paix de Westphalie) signés le 24 octobre 1648 concluent simultanément deux séries de conflits en Europe :
La
guerre de Trente Ans qui a impliqué l’ensemble des puissances du continent dans le conflit entre le Saint-Empire romain germanique et ses États allemands protestants en rébellion.

La guerre de Quatre-Vingts Ans opposant les Provinces-Unies révoltées contre la monarchie espagnole.

Modifiant profondément les équilibres politique et religieux en Europe et dans le Saint-Empire, ils sont aussi à la base du « système westphalien », expression utilisée a posteriori pour désigner le système international spécifique mis en place, de façon durable, par ces traités.

Dieu seul sait si les Allemands nous en ont voulu de ce traité qui établissait la suprématie de la France en Europe et maintenait leur pays dans la division d’une poussière de petits États indépendants les uns des autres, que le Traité leur interdisait de rassembler en un puissant empire

Ils nous le feront payer, chèrement, en 1870.

  • trois conjonctions URANUS-NEPTUNE trois tentatives d’organisation de l’Europe.

Ceci devrait mieux nous faire comprendre les enjeux qui, en 1993, placent l’Europe devant le choix de ses destinées. Or il apparaît clairement, à la lecture de l’analyse précédente du thème du 1er novembre 1993, que ces enjeux sont mal posés et les choix adoptés pour le moins problématiques à terme :  de douloureuses prises de conscience s’imposeront à terme. Cela étant dû à la trahison des principes qui avaient inspiré les pères fondateurs qui rêvaient de réconcilier les peuples européens sur des bases chrétiennes. Au lieu de quoi l’esprit de 1957 s’est trouvé nié et détourné de ses objectifs par la mise en œuvre d’une Europe libre-échangiste, vassalisée au mondialisme et à ses intérêts et furieusement laïciste. Pour ne pas dire athée et antichrétienne.

Et c’est donc au moment d’une de ces douloureuses et éprouvantes prises de conscience qu’on voyait poindre depuis un bon moment, qu’apparaît la crise du Coronavirus sous la forme de la conjonction des sinistres compères Saturne-pluton  que j’ai tenté d’analyser dans un article précédent. Je vous y renvoie.

Saturne rencontre Pluton le 12 janvier 2020 à 23° du Capricorne (c’est la date de l’alerte lancée par l’OMS) les 3 premiers cas de coronavirus affectant notre pays sont reconnus officiellement le 24 janvier.

Une conjonction voyant ses effets apparaître plusieurs semaines, voire plusieurs mois, avant sa réalisation exacte, et tout autant après qu’elle se soit défaite, on comprend que le 24 janvier n’est qu’un point de repère commode dans un crise qui se dessinait bien avant qu’elle ne s’imposât et qui trouve, dans le coronavirus, une illustration symbolique qui ne manque d’un certain humour macabre (Scorpion oblige et Maison VI obligent).

Or, si nous revenons au thème du 1er novembre 1993 nous voyons que la 23° Capricorne tombe à 4° de la conjonction Uranus-Neptune de l’UE à 19° de ce signe, mais que cette rencontre précise a été précédée par tout un travail de laminage :

  • par Saturne qui l’a coiffée pendant tout le printemps 2019

  • après que Pluton l’ait sournoisement laminée une bonne partie de 2017 et toute l’année 2018.

Comme quoi, Coronavirus ou pas, la crise de 2020 était inévitable.

A travers Uranus-Neptune éprouvés par Saturne-PLUTON ce sont les principes mêmes – philosophiques, idéologiques et politiques (affirmés ou dissimulés) – sur lesquels le fragile équilibre de l’UE s’est édifiée qui sont radicalement remis en question et qui me fait douter de la survie d’un organisme à bout de souffle à de nombreux titres, le cancer me paraissant trop avancé pour espérer autre chose qu’une éventuelle rémission

Mais ce n’est pas tout car la conjonction « agresse » aussi à la fois :

  • le MC du thème (destinée, vocation)

  • et la planète JUPITER qui, en astrologie mondiale régit l’expansion, les opportunités, les lois, la justice et le pouvoir législatif,  les hauts fonctionnaires, les finances publiques, les banques, l’économie.

Autant dire tout ce qui concerne les domaines régaliens que la Commission européenne s’est arrogée aux mépris du droit des nations à disposer d’elles mêmes.

Passons aux Révolutions Solaires ou Thèmes anniversaires.

La Révolution Solaire du 01.11.2019 n’était pas très encourageant qui voyait URANUS (changements, émancipation, libération, révolution) agresser directement le Soleil de l’Union, la sommant de réaliser les réformes radicales nécessaires pour maintenir la cohésion entre ses membres et empêcher les volontés de rupture (n’oublions pas que l’UNION doit rester une Association et non un Empire central). Elle voyait aussi le conjonction Saturne-Pluton s’installer directement sur la conjonction Uranus-Neptune et annoncer la crise institutionnelle qui est en train de se développer (grâce au coronavirus, grand révélateur de l’inadaptation de l’UE aux nécessité vitales des pays européens).

Quant à la Révolution Solaire de 2020, elle me parait encore plus inquiétante que celle de 2019.

Nous retrouvons la même opposition SOLEIL-URANUS, dans l’axe III/IX qui régit les grands courants idéologiques et religieux, les orientations politiques en Astrologie Mondiale. Mais cette opposition est encore aggravée par la présence de la LUNE en conjonction d’URANUS : la Lune qui évoque la population, les femmes, la nation, le patriotisme, la popularité, la démographie.

 Il y a déjà là l’indication  d’un changement de référentiel et de direction, absolument nécessaire sous risque de divorce,        

Mais il y a pire quand on constate que l’Ascendant Capricorne de ce thème anniversaire est coiffé de :

Saturne : les restrictions, les freins, les limitations, les blocages, la politique, le pouvoir exécutif, les grandes structures   

Jupiter : (je vous rappelle ses significations en astrologie politique) les lois, la justice et le pouvoir législatif,  les hauts fonctionnaires, les finances publiques, les banques, l’économie.

Pluton : les grands bouleversements, les séismes, les mutations, les crises majeures, les volcans, le despotisme et les dictatures, la recherche atomique, la ploutocratie

Et, comme si cette triple et inquiétante présence sur l’Ascendant (la santé) de l’UE ne suffisait pas, il faut constater qu’elle est agressée par un

  • Mars furibard situé dans son propre signe du Bélier : une quintessence d’énergie et de colère !

  • Mercure, qui, pour être moins impulsif et agressif que Mars, peut être tout aussi dangereux du fait de ses capacités critique surtout quand on sait qu’en Astrologie Politique il régit les transports, les moyens de communication, l’enseignement primaire, les syndicats.

Nous livrer à un pronostic concret sur ce qui va ou ne pas arriver à l’UE et comment elle gérera la crise qui s’annonce, ou plutôt qui s’accentue, serait présomptueux car, si on peut parfaitement déceler les signes d’une crise majeure (chez une personne, dans un couple, un groupe, une institution ou un pays) on ne peut savoir comment elle se traduira exactement ni comment ceux qui la subissent y réagiront.

Pour ma part je suis un chaud partisan d’une Europe réunissant les identités européennes sous le manteau protecteur du Christ qui Seul peut susciter entente et solidarités véritables entre Nations ayant renoncé à leur apostasie. Une Europe organisée suivant le principe de la subsidiarité laissant à chaque pays le soin de prendre les mesures qui lui conviennent et de donner priorité aux lois nationales sur les traités internationaux (tels Maastricht, Amsterdam ou Lisbonne). Une Europe du décalogue et non celle des droits-de-l’homme, de la Kabbale ou des Constitutions d’Anderson. Une Europe qui mette un point d’honneur à accueillir qui la sert et qui l’honore d’où qu’il vienne, mais qui s’oppose avec la dernière énergie à toute tentative d’invasion – même « pacifiques » en apparence – par des populations qui lui sont hostiles ou méprisent sa culture. Le contraire de la politique poursuivie par l’UE et le CEDDH, qui se servent de l’immigration pour dissoudre l’Europe réelle, charnelle, au profit de ses objectifs idéologiques antinationaux.

Pour ma part donc, je ne verserai pas une larme sur la « déconstruction » éventuelle du Mammon bruxellois. s’il était dans les voies de la Providence qu’elle intervînt rapidement.

Je pense que cette déconstruction libérerait des forces neuves et entraînerait une  nécessaire  purification d’un monde politique, qui, depuis quarante ans et plus, ne semble plus obsédé que d’accélérer le naufrage de notre civilisation.

La dernière anecdote en date nous étant fournie par le ministricule de la santé qui, dans un tweet, a osé déclarer que l’avortement (gratuit, remboursé, encouragé, ordinaire) représentait un progrès aussi important pour l’humanité que la suppression de la peine de mort.

Quand on sait que l’avortement consiste justement à infliger une peine de mort totalement imméritée à un être humain en devenir, purement innocent de tout crime et qui n’a aucun moyen de se défendre et de l’éviter, et quand on sait qu’une pareille ignominie est affirmée par un médecin, on se dit qu’il y a vraiment quelque chose de pourri dans l’ex Royaume de France.

Et on se demande ipso facto :

1/ Dans quel asile Macron va chercher ses ministres. Après certaines déclarations de Schiappa, Buzin, Beloubet, et maintenant celle de Véran (dont l’anagramme donne : navré) on peut se poser la question ?

2/ Comment un pays comme la France, peut supporter d’être gouverné par des « élites » aussi transgressives pour ne pas dire perverties… comme cela apparaît à l’occasion d’un certain nombre de scandales ?

3/ Qu’est ce qui s’est passé pour que nos lois imposent désormais le mal, fustigent ce qui, pendant vingt siècles, a constitué un Bien reconnu par toutes les cultures du monde, et punissent ceux qui voudraient encore l’appliquer ?

Alors, pour en revenir au titre de cet article, je ne sais si l’Europe de Bruxelles fêtera son vingt-septième anniversaire le 1er novembre prochain, ni en quel état elle le fera si elle devait le faire. Mais si elle tenait le coup jusque là, ce n’est certainement pas une jeune femme saine de corps et d’esprit qui soufflera les vingt sept bougies. Et je conseillerais à ceux qui pourraient être invités à partager le gâteau d’anniversaire de ne pas se séparer de leur masque anti-coronavirus s’ils veulent échapper à l’haleine fétide d’une lépreuse qui ne sait pas encore qu’elle porte la mort en elle.  

Louis SAINT MARTIN

[1] Comme l’est l’Église elle-même depuis Vatican II, comme le dénonçait Jacques Ploncard d’Assas dans un ouvrage célèbre.

[2] C’est un terme que j’emprunte à Michel Pinton, homme remarquable que j’avais rencontrai à l’époque pour l’inviter à venir donner une conférence à Nîmes après qu’il ait publié : « L’Europe de Bruxelles ou la tentation impériale : Pouvons-nous ignorer notre histoire ? – François-Xavier de Guibert, 1993, 203 p.

Longtemps secrétaire général de l’UDF, partisan d’une Europe des Nations, Michel Pinton avait été désavoué et rejeté par Giscard après ses prises de position identitaires… un « ami de trente ans » !

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