Suite à la sortie du livre remarquable de Guillaume Cuchet : « Comment notre monde a cessé d’être chrétien – Anatomie d’un effondrement » et de la présentation qu’il en a faite dans le magazine « L’Homme Nouveau », j’ai pensé utile de faire parvenir aux trois personnes ci-dessous désignées, la Lettre ouverte que je vous communique aujourd’hui.
Je vous en souhaite bonne lecture.

 

Louis SAINT MARTIN
D.E.A de Philosophie et Histoire des Idées
Consultant et Formateur en Astrologie
Directeur de Collection aux Éditions de L’Harmattan
Essayiste

 

À Messieurs Philippe Maxence, Rédacteur en Chef,  Jean-Michel Beaussant, Chroniqueur  et Guillaume Cuchet, Historien.

Aux bons soins de L’HOMME NOUVEAU

10, rue Rosenwald – 75015 PARIS

Messieurs,

Vous préciser, en introduction à cette lettre, que j’apprécie L’Homme Nouveau ne devrait pour vous surprendre puisque j’y suis abonné depuis de nombreuses années. De même que je suis abonné à Monde & Vie depuis tout aussi longtemps.
Et à nul autre périodique ou revue que ce soit, la fréquentation d’un certain nombre de sites suffisant amplement à mon information.
Ajouter que je suis toujours d’accord avec vos prises de position… et avec vos omissions, – par exemple votre silence complet sur le courageux travail de conservation de la Tradition mené par la Fraternité Saint Pie X, quelles que soient les critiques qu’on peut lui adresser par ailleurs – serait exagéré.

Mais, quoiqu’il en soit de mes préférences et de mes réserves, j’ai toujours apprécié la bonne foi qui apparaît évidente dans les prises de position de votre titre et l’effort incessant que vous déployez pour défendre (avec prudence) notre héritage spirituel catholique et pour critiquer (discrètement) l’amer héritage de Vatican II et les errements de cette église « conciliaire » (devrait-on écrire crypto-protestante, crypto-maçonnique ou délibérément mondialiste ?) qui s’est érigée sur les décombres de l’Église catholique dont vous constatez le décès dans votre dernier numéro.
Je n’insisterai pas sur cet aspect des choses qui, d’ailleurs, n’entre pas dans mon propos.

Je me permets donc de m’adresser à vous aujourd’hui pour deux raisons précises :

–     rectifier un propos inconséquent (une simple étourderie peut-être) proférée par M. Beaussant dans son article « Satanisme, occultisme…etc… »

–     apporter quelques éléments de réflexion à M Maxence et, subséquemment, à son dernier invité Guillaume Cuchet sinon sur les « causes » – qui relèvent plus de la dimension eschatologique que de l’analyse politico-philosophique – du moins sur les phases d’un processus aboutissant à ce qu’il appelle « la destruction de l’Église catholique ».

Le plus remarquable dans cette affaire c’est de constater le lien qu’on peut établir entre l’article de M. Beaussant et la réflexion de M. Cuchet, qui, apriori, n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Sauf à saisir le bon fil conducteur.

Or, ce fil conducteur, vous l’aurez peut-être deviné en lisant mon en-tête de lettre, c’est cette Astrologie que M. Beaussant se croit obligé de fustiger comme le premier scientiste venu, en l’assimilant à des pratiques avec lesquelles elle n’a rien à voir : le satanisme, l’occultisme, le spiritisme, les praticiens de ce qu’il appelle « les thérapies alternatives », sans oublier les briseurs de tombes ! Et pourquoi pas les anthropophages, les pédophiles et les serial-killers ?

De tels amalgames sont navrants, car ils reposent sur une totale ignorance du sujet. Comme quoi, même les chroniqueurs de L’Homme Nouveau ne sont pas à l’abri des idées toutes faites et de la doxa dominante, façonnée par un matérialisme obtus.

Un éminent Doyen de la Faculté de Philosophie d’une des plus grandes villes françaises m’écrivait il y a peu après que je lui eusse exprimé un projet de thèse et après qu’il eût pris connaissance de l’ouvrage que je vous adresse par ce même courrier) :

«… Je n’insiste même pas ici sur le système de surveillance qu’est devenue la thèse aujourd’hui car vous ne pouvez même pas l’imaginer et l’affaire X…… n’est qu’un souffle à côté de ce qui se trame. Je vous prie donc de garder votre haut dessein pour vous-même et pour vos amis et de continuer à transmettre avant qu’il ne soit trop tard car, comme le dit Rabelais, « la fin et catastrophe de la comédie approchent ». Très cordialement ».

Quand je lis le propos de M. Beaussant, je me dis que cet universitaire a raison. Car d’une certaine façon, M. Beaussant légitime en les imitant ceux  qui, dans nos médias et parmi nos « élites » universitaires, établissent un lien immédiat entre catholicisme et obscurantisme (quand ce n’est pas « inquisition ») patriotisme et racisme, autorité et fascisme, identité et droit-de-l’hommisme, etc… Il suit – sans le vouloir fort probablement – la douce pente de la pensée dominante, du terrorisme intellectuel, destinés à empêcher quiconque d’approcher de la vérité. Et la pensée astrologique constitue un effort vers la vérité du monde dans lequel nous vivons.

Au sein de L’Homme Nouveau, cette facilité intellectuelle fait désordre. J’aurais compris avoir à lire ce qu’il écrit de l’astrologie dans « Le Canard Enchaîné » ou « Libération » si d’aventure je les avais achetés et ouverts, mais pas dans L’Homme Nouveau.

J’ai eu maintes fois l’occasion de répondre aux préjugés que M. Beaussant se borne à reproduire sans se donner la peine d’aller y voir d’un peu plus près.

Sur le plan des rapports astrologie/catholicisme j’ai même publié une « lettre ouverte » à Mgr Cattenoz, évêque d’Avignon qui dans ses vœux pour l’année 2008, constatant que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes pour la foi catholique, n’avait rien trouvé de mieux que de fustiger, lui aussi, l’astrologie en l’amalgamant à toutes sortes de pratiques qui lui sont étrangères. Article dans lequel je rappelle le long chemin que catholicisme et astrologie ont parcouru ensemble dans une fraternelle quête de vérité. Si le cœur vous en dit, vous pourrez prendre connaissance de mon argumentation grâce au lien suivant :
http://www.astrophilo.com/2011/08/13/reponse-d%e2%80%99un-anthropocosmologue-catholique-romain-a-mgr-jean-pierre-cattenoz-archeveque-d%e2%80%99avignon-2/

Pour le reste, l’Essai que j’ai publié aux Éditions de L’Harmattan intitulé « Sagesse de l’Astrologie Traditionnelle – Essai sur la nature et les fondements de l’Astrologie » et que je lui adresse avec plaisir, pourra peut-être éveiller chez M. Beaussant le légitime désir de découvrir un sujet dont il parle sans le connaître. 

Le fait que cet ouvrage soit préfacé par Jean Borella [qui vient d’ailleurs de publier un Essai intitulé : « Sur les chemins de l’Esprit – Itinéraire d’un philosophe chrétien » chez le même Éditeur et dans la même collection que mon propre essai] devrait sans doute le rassurer sur la pertinence de l’ouvrage, car je connais peu de plus grand philosophe chrétien que Jean Borella si ce n’est, au vingtième siècle et dans des approches différentes, Etienne Gilson, Jean Guitton et Gustave Thibon (que j’ai eu l’honneur de rencontrer).

  • Venons-en au deuxième thème que cette lettre voudrait aborder : la crise (votre titre évoque « la destruction ») de l’Église catholique.

Une première remarque : se demander si « mai 68 » a « sa part de responsabilité dans le désamour envers l’Église » me paraît tellement ahurissant comme question, que je me suis demandé si j’avais bien lu.

Ce type de réflexion survient quand on veut rester au plus près des faits mesurables et qu’on oublie de prendre du recul pour jeter un regard d’ensemble – de nature purement qualitative – replaçant les éléments observables d’une situation donnée dans un processus beaucoup plus vaste.

  1. Guillaume Cuchet ne se pose pas la bonne question. Voyant le train démarrer il se demande si ce mouvement est causé par le coup de sifflet qui l’a précédé ou par le feu vert qui s’est allumé un peu plus loin sur la voie, sans imaginer que ces trois événements dépendent d’une cause beaucoup plus haute qui n’apparaît pas physiquement. Et pourtant sa perspicacité l’amène à situer le début de la fin pour l’Église à 1965 et ne peut pas manquer de remarquer que c’est l’année de la clôture du funeste Concile Vatican II. Et il greffe sur ce constat toutes sortes d’explications qui ne manquent pas d’intérêt mais laissent échapper l’essentiel.

Pour ma part je voudrais lui offrir une clé que personne n’a, bien entendu, songé à utiliser dans le monde officiel pour décrypter ces terribles événements.

Cette clé je la délivre dans une série d’articles que j’ai publiés sur mon site (voir les liens ci-dessous) mais je peux la résumer ici : il s’agit des phases du Cycle URANUS-PLUTON qui ont marqué l’évolution des choses dans toutes sortes de domaines, mais que, pour ce qui nous concerne, j’observe du point de vue plus particulièrement  religieux.

Il faut d’abord savoir que ce cycle – intervalle entre deux conjonctions – dure de 113 à près de 140 ans suivant les mouvements respectifs (sens direct et rétrogradations) de chacun des corps célestes. Les moments les plus sensibles du cycle, donc les plus repérables dans l’Histoire sont :

–     la conjonction qui, du fait des mouvements évoqués plus haut, peut se reproduire à plusieurs reprises sur une période de deux ou trois ans.

–     L’opposition dans laquelle chacun des deux corps célestes est opposé à l’autre (180°). Là aussi sur une période assez longue.

–     Les deux « carrés » (croissant : la plus rapide s’éloigne de la plus lente et forme avec elle un « carré » (angle de 90 °) – décroissant : la plus rapide, parvenue à l’opposition se rapproche, fort logiquement, de la plus lente pour reformer avec elle un nouveau « carré » – donc décroissant – avant de la rejoindre dans une nouvelle conjonction. Ce mouvement peut s’étaler sur plusieurs années lui aussi.

–     Par conséquent chacun de ces mouvements ayant une durée de vie assez longue l’Astrologie, généralement, se contente de pointer les moments où l’aspect est exact, mais tient compte de la durée d’activité (symbolique) plusieurs degrés avant et plusieurs degrés après les différents points d’exactitude)

Pour prendre un seul exemple : les derniers carrés croissants entre Uranus et Pluton ont eu lieu à 8 reprises ( !) les 24.06 et 19.09 pour 2012 – les 20.05 – 21.08 et 01.11 pour 2013 – les 21.04 et 15.12 pour 2014 – le 17.03 pour 2015 !

Mais, compte tenu que ces aspects ont commencé à « jouer » bien avant et bien après leur exactitude, nous avons vécu une période urano-plutonienne environ d’avril 2011 à mai 2017 (tiens ! pour l’élection de Macron) soient pratiquement 6 ans !
Comment se sont-ils manifesté quelles évolutions ont-il reflété ? L’observation des faits est assez explicite. C’est durant toute cette période que les lois les plus contraires à la loi naturelle ont été adoptées : le mariage des inverti(e)s (entre février et mai 2013 !) ou (pour la GPA, la MPA, le « transgenre » et l’euthanasie) ont été mises en chantier, sous la poussée du lobby LGBP, bras armé de la « révolution » anti-chrétienne pour notre époque, qui a investi toutes les administrations, les médias et le FN lui-même d’après certains témoignages.

Bien entendu le reflet des énergies mises en œuvre dans ces évolutions de société et simplement révélées ou reflétées – et non produites, comme le croient les amateurs d’« influences » – par les courants planétaires, se sont manifestées de bien d’autres façons, mais je me borne ici qu’à l’aspect qui nous occupe : la disparition programmée du catholicisme, de la loi naturelle et des lois divines.

Je n’insiste pas outre mesure sur cet exemple, les liens que je vous indique ci-dessous, si me faites l’honneur de les consulter, vous fourniront de plus amples informations qui pourront vous amener à réfléchir sur les services que pourrait rendre une astrologie, certes amendée et réformée de ses dérives mercantiles et fumeuses, et refondée comme science traditionnelle.

Mais je ne résiste pas au plaisir malicieux de vous indiquer les quatre derniers « pics » des différentes phases du cycle Uranus-Pluton avant la période 2012-2017 :

1707/1714 : période qui précède la restauration de la Maçonnerie en Angleterre et son introduction en France. Fin du règne de Louis XIV et arrivée du « Régent » au pouvoir avec toutes les évolutions qu’on sait sur le plan des mœurs et de la foi et l’essor d’une bourgeoisie éprise de reconnaissance et de pouvoir.

1791/1793 : est-il besoin d’épiloguer sur cette période unique dans notre Histoire et dans celle de l’Église ?

1850/52 : Marquée par le coup d’État de Napoléon III et expansion du libéralisme en France et l’instauration d’une ploutocratie de plus en plus puissante sur nos destinées.

1902/05 : Affaire des fiches – Séparation de l’Église et de l’État imposée par la secte franc-maçonne au pouvoir – Expulsion des Congrégations (1903)

1933/35 : Arrivée de Hitler au pouvoir. Instauration d’un régime encore plus satanique que païen. No comment

Janvier 1962 à Décembre 69 ! (conjonctions exactes : octobre 1965 – avril 1966 – juillet 1966) : Vatican II et « Mai 68 »

Ainsi, à la lecture de ces données on peut comprendre :

–     1/ Que « mai 68 » n’a pas provoqué l’effondrement de la pratique religieuse et le déclin de l’Église, mais, suivant les observations judicieuses de M. Cuchet,

–     2/ Que ce travail de destruction élaboré de longue date au sein de l’Église a trouvé en Vatican II le moment et le moyen nécessaires à s’imposer. Certes le travail de sape avait commencé bien avant 1965 pour l’un et 1968 pour l’autre.

En fait, pour ce qui concerne l’Église, il avait commencé à la précédente conjonction de 1707/1714 initiant un processus qui devait, à son apogée, entraîner la chute de la royauté – et la guerre au catholicisme – à l’occasion de la tenue des États-Généraux, équivalents pour l’époque à Vatican II pour la nôtre. Ceux-là furent conditionnés par le long travail de sape des « clubs » au cours du XVIIIème siècle (cf. Augustin Cochin) et celui-ci, miné par un « modernisme » souterrain mais actif, dut attendre la nouvelle conjonction des années 60, pour parachever le travail entrepris lors de la précédente conjonction : la protestantisation et la maçonisation d’une Église catholique vidée de sa substance surnaturelle.

Ainsi, loin de vouloir faire dépendre un événement d’un autre faut-il les considérer pris dans un même processus de décomposition de notre civilisation traditionnelle et de la société qui en est issue ; processus aboutissant aux conséquences les plus manifestes sur le plan religieux (Vatican II) et sur le plan social (mai 68).

L’analyse de ces situations ou évolutions par la prise en compte des causes secondes ou troisièmes conduit forcément à établir un lien vertical (cause à effet) entre deux événements successifs qui ne sont tous deux que les effets d’une même origine (correspondance horizontale) se manifestant dans le temps.

Il faut donc prendre du champ et savoir s’éloigner des pratiques habituelles de la sociologie, de la statistique, de l’analyse historique, toutes pratiques inféodées aux principes de la technoscience qui ne sait penser les choses que sous l’angle mécanique et déterministe, si nous voulons vraiment approcher – si peu que ce soit – des causes premières. Celles qui sont à l’origine de telles évolutions que la science matérialiste n’analyse que par leurs effets.

Ces causes ne peuvent s’approcher par des méthodes quantitatives et déterministes. Il nous faut les contempler avec le regard que Joseph de Maistre portait sur la révolution française : un regard « métahistorique » ou, si on préfère, profondément métaphysique au sens plein du mot.

L’Astrologie peut s’avérer d’une aide puissante, sinon pour approcher ces raisons dans des termes qui satisfassent notre besoin d’objectivité et de définition, car elles touchent à un niveau de Réalité qui ne nous est pas accessible étant d’ordre providentiel.

Mais elle nous révèle les rythmes et les processus par lesquels cette Réalité se manifeste dans la Création, c’est à dire dans une Histoire que nous serions tentés pour les uns de laisser soumise au hasard et à la volonté des hommes, pour les autres de considérer comme se déroulant dans un sens unique et précis. Le fameux « sens de l’Histoire » des idéologies modernes : marxisme, socialisme, progressisme, mondialisme, islamisme….

Or, ce que l’Astrologie révèle à celui qui met les mouvements célestes en corrélation avec les situations historiques, c’est que plusieurs choix se présentent toujours entre lesquels notre liberté concourt à actualiser telle ou telle possibilité entrant dans le plan divin qui a toujours de nombreux fers au feu.

En d’autres termes, à l’intérieur du projet qu’Il a formé pour la Création, Dieu nous laisse libres de choisir les voies par lesquelles Sa volonté finira toujours par l’emporter. Comme d’un grand navire dans lequel le commandant laisserait à son équipage et à ses passagers le soin de s’organiser comme ils l’entendent, étant entendu que cela ne changera rien au trajet du navire et au terme du voyage tel qu’il a été fixé par les armateurs.

Ainsi dans les années 60, un bon observateur versé dans la pratique astrologique aurait parfaitement décelé les risques que faisait peser cette nouvelle et longue conjonction URANUS/PLUTON en observant les corrélations qu’on pouvait faire avec ses occurrences dans le passé.

Il aurait remarqué que celle qui se présentait alors était infiniment plus pernicieuse que les précédentes :

1/ parce qu’elle intervenait à l’opposition (en conflit donc) de SATURNE qui représente de tout temps la tradition, la durée, les structures formées par le temps, l’expérience, la sagesse, l’autorité.

2/ que cette opposition éclatait dans l’axe des signes Vierge/Poissons qui sont ceux-là mêmes qui symbolisent la civilisation chrétienne.

Si cet observateur avait eu l’autorité et l’envergure voulues, il n’aurait certainement  pas empêché ces tensions de se produire puisque les  hommes ne commandent pas au ciel, mais, soucieux de conformer son action à ce que son art lui indiquait, il aurait su s’en inspirer pour  canaliser l’énorme potentiel symbolique de rupture avec le passé représenté par les conflits Uranus/Pluton/Saturne, vers des voies positives permettant à l’Église de se réinventer sans passer d’abord par la phase destruction, hérésie, reniement qui est grosso modo celle dans laquelle elle se trouve depuis plus de cinquante ans. Avec le point d’orgue qu’a représenté l’élection de François au suprême pontificat en mars 2013 au plus fort des « carrés » Uranus/Pluton… en parallèle absolu avec les lois iniques qui furent adoptées en France à la même époque !

Comment ignorer ces « signes » ?

Je terminerai sur une note positive grâce à Bossuet qui affirmait que « lorsque Dieu efface, c’est qu’Il s’apprête à écrire ».

Après ce long temps à errer dans les marécages de l’apostasie et de l’autodestruction qui dépasse de loin les quarante ans du peuple élu dans le désert avant le retour en Terre promise, je pense que l’Église aura besoin que Dieu écrive  beaucoup.

Qu’il en soit fait selon Sa volonté.

Il ne me reste plus, Messieurs, qu’à vous présenter mes excuses pour cette lettre sans doute trop longue mais qui se justifiera peut-être à vos yeux par l’importance des sujets qu’elle aborde et par les perspectives qu’elle peut offrir à la réflexion contemporaine sur nombre de sujets où nous n’arrivons jamais à nous poser les bonnes questions.

Quant à avoir les réponses…..

Bien cordialement à vous et longue vie à L’Homme Nouveau.

Aiguefonde le 18.05.2018

          

Liens éventuels :

http://www.astrophilo.com/2014/08/03/chronique-dune-decomposition-annoncee-uranuspluton-suite/

http://www.astrophilo.com/2014/02/07/uranus-pluton-suite-fin-helas-lombre-sepaissit-gondor/

http://www.astrophilo.com/2014/01/19/en-2014-lombre-submergera-t-gondor/

 

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