decapitation islam religion d'amour - photo La Porte LatineJe lis dans la revue « Opinion internationale » du 25 août (jour de la saint Louis) qu’un de mes obligeants correspondants m’a fait parvenir, un article ainsi intitulé :

 » Burkini : contre tous les fondamentalismes, sauvons la vraie laïcité ! Tribune de Ferial Furon« 

Voici le texte complet de cet article signé par Ferial FURON qui s’intitule « Présidente du collectif  – FARR (Franco Algériens Républicains Rassemblés) »…..entrecoupé de mes propres remarques et réponses. Elle écrit :

  • Avec l’émoi créé dans la société française par cette malheureuse affaire dite « du burkini », la question identitaire s’invite à nouveau dans le débat public dans un contexte tendu de terrorisme se réclamant de l’islam. Nous ne pouvions rester muets sur cette question et voulions exprimer publiquement notre vision, celle d’une citoyenne, comme il y en a des centaines de milliers en France, binationale française et algérienne qui adhère, doit-on le préciser ? au modèle républicain universaliste, plus communément appelé la laïcité à la française.

La bi-nationalité est « contre nature ». On naît Français ou Algérien comme on naît chien ou chat[1]. On ne peut être les deux. Les choix qui ont été faits entre 1958 et 1962 s’ils ont rendu impossible une Algérie française dans laquelle il n’y aurait eu que des citoyens français « De Dunkerque à Tamanrasset » comme s’égosillaient à le répéter sur tous les tons de la gamme les hommes politiques d’alors (De Gaulle, Mitterrand, Guy Mollet et Debré en tête), ces choix sont tout aussi impossibles dans le sens contraire. Et vouloir se définir comme Algérien français est un oxymore qui ne fait que souligner combien la volonté d’assimilation reste aléatoire et l’adhésion à la nouvelle patrie d’une loyauté incertaine. On met un pied de ce côté-ci de la Méditerranée (du côté de l’estomac) mais le cœur reste là-bas et on sort le drapeau au croissant et à l’étoile à la première occasion. Cette duplicité est encore accentuée quand on se déclare musulman, ç’est à dire indissolublement attaché à la oumma (peuple musulman transcendant les frontières politiques des Etats)

  • Nous  pouvons aussi nous définir comme des « musulmans libéraux qui s’assument » proches de la mouvance d’un Abdennour Bidar qui plaide pour un éveil des consciences face à l’obscurantisme qui sclérose notre religion. Nous plaidons pour une sécularisation des rapports entre les musulmans et la société.

Votre position, très alléchante, est cependant absurde philosophiquement…..ou mensongère politiquement. Au choix. On ne peut que l’assimiler à cette tactique politique que l’islam appelle  takkya[2]
L’islam est un système politique et social avant même d’être religieux (de multiples ouvrages et études ont été publiés sur le sujet, il n’est pas nécessaire de les reprendre ici mais je pourrai vous fournir une abondante bibliographie si vous le désirez). C’est un tout indivisible, c’est « un bloc » comme le disait Clémenceau de la révolution dite française.
On ne peut pas plus être « musulman » et « libéral » (sans se parjurer) qu’on ne pouvait être « collaborationniste » et « résistant » de fait pendant la dernière guerre ou « royaliste » et « républicain » en 1792. Il s’agit de positions contradictoires dont l’une entraîne irrémédiablement l’absurdité de l’autre.
« Je suis souris voyez ma queue, je suis oiseau, voyez mes ailes » êtes-vous en train de nous chanter. Cela ne peut pas marcher. Il vous faudra choisir et, au choix que vous ferez, nous apprécierons le degré de votre sincérité.
Cependant il est évident que si ce choix avait vraiment été fait, vous ne seriez plus… binationale.
J’appartiens à une famille qui, d’origine, est italienne à 100%. Aucun des membres de ma famille, en commençant par mes aïeux – paternel et maternel -, n’a jugé utile d’être « binational » franco-italien. Ils ont été accueillis par la France, donc ils se sont donnés à elle sans restriction d’aucune sorte et ils l’ont servie à chaque fois qu’elle le leur a demandé dans toutes les guerres qu’elle a traversées en remerciement du pain qu’elle leur avait fourni. Et pourtant Dieu seul sait s’il existe des affinités culturelles entre ces deux sœurs latines qui auraient pu justifier une telle double appartenance.
Vous évoquez aussi la « sclérose qui frappe votre religion« . Mais êtes-vous bien sûre qu’il restera quelque chose de votre (fausse) religion lorsque vous l’aurez débarrassée de sa « sclérose » ? J’en doute. ….

Mais, en fait le plus important, ce qui frappe dans votre discours, ce qui justifie les remarques que je vous fais et m’empêche de donner foi à votre démarche (qui est peut-être sincère mais totalement fallacieuse), c’est l’amalgame permanent que vous établissez entre votre qualité d’Algérienne et votre qualité de musulmane.

Je suis pour ma part catholique convaincu mais, lorsque je dois défendre la sécurité, l’intégrité, l’identité et la pérennité de ma patrie, la France, menacée par l’invasion extra-européenne que nous subissons depuis quarante ans, je  le fais d’abord en tant que Français. Le combat éventuel pour ma religion est un autre combat qui se justifie lorsque le Christ, à la source de la civilisation de ma patrie, est attaqué lui aussi. Ce qui est d’ailleurs le cas avec les régimes marxistes-socialistes ou libéraux que nous subissons depuis 1981. Mais où voyez-vous que les catholiques européens déclarent le jihad contre les gouvernements athées et anti-chrétiens qu’ils subissent ?

Il n’y a pas d’amalgame entre mes deux qualités (catholique et français) parce qu’il n’y a aucun amalgame constitutif entre le civil et le religieux dans ma religion : il y a César et il y a Dieu, et même si César appartient à Dieu (même s’il s’en défend) comme toute créature, César peut assumer sa fonction en toute liberté et autorité. A charge pour sa conscience  et pour le Bien Commun de ses sujets de respecter les commandements que Dieu a révélés à tous les hommes pour assurer leur salut en la Personne du Verbe incarné, et qu’Il les laisse libres de respecter ou non sans aucunement vouloir les « soumettre ». Vous voyez que cela n’a pas grand-chose à voir avec ce qu’exige un pseudo-prophète que le « politiquement correct » m’empêche de qualifier comme il le mériterait.

En fait, vous n’êtes bi-nationale que parce-que vous êtes d’abord et avant tout musulmane et, qu’en tant que telle, il vous est interdit de vous désolidariser d’une nation conquise et soumise à l’islam depuis des siècles et qui, depuis son indépendance en 1962 et la crise qu’elle a traversée dans les années 90, se montre de plus en plus intransigeante en matière religieuse. J’ai pu correspondre avec un jeune homme algérien qui s’est converti au christianisme. Il m’a décrit les mille et unes « adversités » qu’il a dû affronter pour suivre sa vocation. J’ajoute que notre correspondance s’est interrompue à partir de ma deuxième réponse et que, depuis, je ne peux obtenir aucune nouvelle de lui. peut-être est-il en prison pour « apostasie » : c’est très courant en AFN.
Tout cela me fait penser que, fort probablement, si vous aviez à prendre parti entre la France et l’Algérie dans un conflit quelconque vous seriez obligée (ou ravie) de le faire au bénéfice de la seconde contre la première, sous peine d’être déclarée renégate et apostate par les vôtres.
Aussi mon conseil serait-il d’aller faire profiter les populations algériennes de vos talents plutôt que les populations françaises, car c’est là-bas surtout que s’impose un dés-islamisation politique. Laissez les nationaux français de longue génération se charger du problème chez eux.

  • Ceci posé, et au nom même de la position que nous venons de préciser, nous sommes opposés à l’interdiction du burkini ou de tout autre vêtement identifié comme « d’appartenance religieuse » dans l’espace public. Pourquoi ce positionnement ? Nous voulons mettre en garde contre deux dérives qui s’alimentent l’une et l’autre : le communautarisme d’un côté et l’ultra-laïcisme dogmatique (antireligieux mais qui ne cible que l’islam, uniquement l’islam).

Voilà un point sur lequel nous sommes entièrement d’accord.
En 1905 les francs-maçons qui dominaient la IIIème République (et la nôtre depuis l’arrivée des socialo-libertaires au pouvoir) voulaient empêcher le port public de la soutane à nos prêtres. Ils n’y sont pas parvenus et ils ont dû manger leur chapeau en 1909.
Il ferait donc beau voir que, sous prétexte d’interdire burkini, voile, hidjab, burka ou tout autre expression publique d’une religion agressive et mutilante qui cherche à s’imposer par tous les moyens dans un pays fondamentalement et viscéralement chrétien, on nous empêchât de porter croix au cou, robes de communiant(e)s, ou d’organiser pèlerinages, processions et manifestations publiques de dévotion et de reconnaissance au Christ et à la Vierge qui sont les souverains de la France depuis sa naissance….

Aussi, la vérité que personne n’ose exprimer clairement est celle-ci.
Ce qui pose problème ce ne sont pas les manifestations publiques de la religion musulmane dans nos rues….  Ce qui nous insupporte, c’est la présence, de plus en plus oppressante et menaçante, de cette religion en elle-même sur un sol qu’elle ne peut que considérer, si elle est fidèle à elle-même – « tolérante et modérée » ou pas –  comme Dâr al-harb (terre à conquérir) en vue d’en faire un dâr al-islâm dont la version moderne est une république islamique à l’iranienne ou une dictature à la saoudienne. Au choix. Le coran le lui impose sans discussions possible. Je publie d’ailleurs – en annexe de cette réponse que je vous fais – le petit condensé réalisé par M. l’abbé Gaud (de la Fraternité Saint Pie X) sur la pseudo distinction entre « islam » (religion d’amour et de paix, etc……) et l’islamisme qui en serait la déformation. Lecture très édifiante puisque ne s’appuyant que sur les textes musulmans eux-mêmes.

Nous ne sommes pas indisposés par la présence chez nous de quelques dizaines de milliers de bouddhistes en robes orange, de juifs à chapeau, kippas et papillotes;  nous ne le sommes pas non plus par les tenues adoptées éventuellement par les évangélistes, mormons, indouistes, taoïstes, shintoïstes  ou même par les -adorateurs du culte de l’oignon s’il s’en trouve. Et même acceptons-nous que tout ce petit monde défile dans nos rues….dans la mesure où chacun s’en tient à la pratique individuelle de son culte et ne tente aucunement de nous imposer ses principes, ses mœurs, ses choix sociétaux, voire alimentaires, vestimentaires et encore moins politiques. Bref nous acceptons tous les costumes et les modes quand ils ne sont pas instrumentalisés en procédés politiques chargés de tester la résistance de notre société aux efforts d’expansion puis de domination d’un système politico/religieux qui nous est radicalement étranger.

Ce qui est le cas de la religion musulmane, pour les raisons que je vous ai dites et que vous connaissez aussi bien que moi, quelque posture « libérale » que vous tentiez de vous donner.  Je dirais même – au risque d’en surprendre plus d’un – que le fait que des femmes se baignent en burkini a quelque chose de réjouissant, et pour les yeux – car leur costume est souvent seyant et coloré – et pour l’esprit. Car ces femmes nous donnent un contre-exemple apprécié des comportements laxistes et indécents (pour ne pas dire ignobles quelquefois)  – toujours lamentables – de certaines de nos occidentales, qui se croiraient déshonorées si elles n’affichaient la quasi intégralité de leur cellulite, si elles ne nous offraient pas leurs seins flasques ou la quasi intégrité de leurs tristes fesses à admirer, leur ventre retombant sur leurs cuisses (pour certaines), leurs jambes à varices….à moins que ce ne soit leurs paquets d’os. Donc si on me demandait mon avis, je serais plutôt de l’avis de répandre le port du burkini plutôt que l’inverse, pour que toutes nos femmes redeviennent agréables à regarder et non seulement les top-modèles et qu’elles recommencent à projeter une image de la féminité qui soit synonyme de réserve, de pudeur, de bon goût, de simplicité, d’élégance naturelle quand c’est possible, au lieu d’avoir à coeur d’épouser le modèle universel de la prostituée (souvent décatie) ou celui de la star du porno (souvent sur le retour), qui constituent, paraît-il, une des glorieuses conquêtes de la « liberté féminine ».
Vous voyez qu’il n’y a chez moi aucun apriori racial ou idéologique sur le sujet.

Le problème n’est pas donc là. Il est et il sera toujours dans l’impossibilité constitutive du mariage serein islam/occident.
D’ailleurs, si j’avais un témoignage à présenter pour justifier cette incompatibilité entre une culture revendiquée comme « musulmane » – avec tout ce que cela implique – et notre culture occidentale (quelque décadente qu’elle puisse être, je vous l’accorde…. dans l’attente qu’elle retrouve le souffle chrétien de ses origines) je ferai appel à celui d’Hassan II, roi du Maroc, qui déclarait à l’émission 7/7 en mai 1993 au micro d’Anne Sinclair que les Marocains « ne s’intégreraient jamais » et qu’ils feraient de « mauvais Français » et il ajoutait même (dans cette émission ou une autre) qu’ils feraient mieux de rentrer chez eux (https://www.youtube.com/watch?v=bsItfKAa2Us).

Or comme je ne vois guère de différence – concernant le sujet qui nous occupe – entre les Marocains, les autres Maghrébins et les populations extra-européennes multiples et variées de confession musulmane qui ont investi notre pays, j’en déduis que nous nous dirigeons vers des tensions de plus en plus vives qui déboucheront sur une guerre civile que certains observateurs politiques jugent déjà comme inéluctable.

Il nous paraît nécessaire tout d’abord de bien définir le terme « communautarisme » brandi par le monde politico-médiatique qui est devenu une « phobie française » raillée par les autres pays occidentaux (lesquels ? pas la Hongrie, l’Autriche, la Slovaquie, la Grèce, et moins en moins l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et l’Angleterre, non ?) : sa connotation est péjorative (alors que celle de « communauté » reste très positive) et ce terme ne cible que les citoyens de confession musulmane et pas les autres. Et pour cause; nous n’avons aucun problème avec les autres communautés.
Il s’agit en fait d’un repli identitaire qui ne représente qu’une infime minorité des millions de Français de confession musulmane en France. Cet entre soi est représenté par un islam rigoriste (qu’on peut nommer comme on veut, salafiste, wahhabite …) qui nous vient d’ailleurs et qui prospère (je ne vous le fais pas dire) dans des quartiers défavorisés où une population de culture musulmane a été reléguée (vous plaisantez ? Combien de milliards la « politique de la ville » nous a-t-elle coûté depuis des décennies ? Et comment se fait-il que vos  « jeunes » se baladent vêtus et chaussés de « marques » que je serais bien incapable de payer à mes petits-enfants ?).
Cette population souffre de racisme et de discrimination, on lui reproche « un déni de francité » mais on ne la considère pas comme française (des enfants nés en France de troisième voire quatrième génération d’immigrés sont toujours désignés comme « issus de l’immigration »). C’est une population fragilisée sur le plan identitaire qui cède aux sirènes de l’intégrisme religieux (tu me rejettes donc je marque ma différence).
« La France est prisonnière d’un cercle vicieux où la discrimination à l’égard des minorités nourrit leur repli, qui exacerbe à son tour la discrimination dont elles sont victimes. » comme le dit Marie-Anne Valfort.

Tout d’abord faisons observer que si le terme « communautarisme » utilisé « péjorativement  » ne cible que les « citoyens » de confession musulmane et pas les autres » c’est uniquement du fait que cette communauté, par rapport à toutes les autres, quand elle est fidèle à elle-même, se pose délibérément comme étrangère à notre culture et à notre civilisation qu’elle méprise sans nuance. La nature politico/religieuse de la religion musulmane (voir plus haut) quand elle n’est pas à l’origine de cette attitude, constitue en aval le moyen (plus ou moins sincère) de s’affirmer comme différend et supérieur, de manifester ce mépris et ce rejet hostile de la culture des « infidèles » du pays d’accueil; celui qui les nourrit.
C’est très habile de vouloir prouver que si les musulmans ne font pas de bons Français  – alors qu’ils ne demandent que cela, semblez-vous dire – c’est la faute de ces « souchiens » de ces crétins de « nationaux » qui n’apprécient pas la chance immense qu’ils ont de se voir envahis et colonisés. Mais le  vrai c’est que l’explication de cette mise à l’index – outre qu’elle participe d’un réflexe naturel à tout groupe constitué de se souder face à l’intrusion étrangère – vient d’abord et avant tout du comportement des ces populations qui provoque méfiance et rejet. J’en veux pour preuve les actes « d’incivilités« , de « violences« , de « déprédations« , d' »insultes« , de « trafics« , etc, dont le nombre a crû  à proportion de la croissance des flux migratoires chez nous et finit par rendre la vie quotidienne insupportables dans de nombreuses portions du territoire.

D’autre part si on considère toujours ces enfants comme des « immigrés » à la 3ème ou 4ème génération, c’est souvent qu’ils font tout pour coller à cette étiquette : attitude arrogante et souvent agressive sur les trottoirs de nos villes, dans nos transports, à l’abord de nos collèges et lycées. Comportements d’autant plus agressifs et désagréables que ces « jeunes » se déplacent en bandes. Un jour mon épouse a dû prendre le train pour aller visiter un de nos enfants. Deux jeunes filles musulmanes « européanisées » (de 3ème ou 4ème génération d’après vous ?) se sont installées sur la banquette derrière elle (le reste du compartiment était quasi vide) et ont allumé un poste radio débitant de la musique dite « arabe » à pleine puissance. Ce que voyant (ou plutôt entendant) mon épouse est alors allée s’asseoir ailleurs sans dire un mot. Ce qui lui a valu cette agression verbale : « Qu’est-ce-qu’y a , On vous dérange ? » Sans se démonter elle a répondu « Oui, vous me dérangez« . S’en est suivi quelques noms d’oiseaux dont je vous passerai le compte rendu. C’est l’attitude constante de la quasi majorité de la jeunesse immigrée. Quelle raison invoquer si ce n’est l’influence reçue dans le milieu d’origine ?

Voici qui va sans doute retenir votre intérêt.
Je viens de lire en détail de dernier rapport de l’ONVS (Observatoire national des violences hospitalières) pour 2014. Je vous en livre l’essentiel pour votre édification :
·       le rapport constate une agression toutes les 30 minutes dans les hôpitaux Français.
·       14502 signalements en 2014 ( 2015…n’est pas encore comptabilisé)
·       une augmentation de près de 14 % en deux ans….
·       Le record de France appartient à l’Ile de France (dans laquelle nous avons un fameux « 93 ») avec 4426 signalements –  la médaille d’argent revient à la région Midi-Pyrénées (Nîmes et Montpellier sont de hauts lieux de l’immigration maghrébine) avec 1325 agressions  – la médaille de bronze est décernée à la Basse-Normandie avec 975 agressions……  Étonnant pour cette région, mais les chiffres sont les chiffres.
·       72% des « atteintes » portent directement sur les personnes.
·       sur les 10638 atteintes aux personnes on dénombre 179 signalements de niveau 4 :  violences avec armes  – 5119 violences physiques –  3452 signalements d’injures et insultes  – 1888 menaces d’atteinte à l’intégrité physique – 10 viols sont recensés , soit 0,1 % des « atteintes » !!!
·       85 % de ces atteintes concernent les personnels hospitaliers
·       80% des victimes sont des femmes (on s’en doutait)
·       15 % les visiteurs ,patients et agents de sécurité.
·       Pour ce qui concerne les médecins libéraux dénombre plus de 900 agressions en 2014. Mais l’ONVS tient à nous préciser que l’utilisation d’une arme est rare avec seulement 4% des cas… Nous voilà rassurés.
·       Les officines ne sont pas en reste avec  152 déclarations dont 8% avec armes.

Comment expliquer cette dérive inacceptable ?

Remarquons qu’un Observatoire sur les violences hospitalières n’a jamais existé dans toute l’Histoire de notre pays.

  • Il s’est progressivement mis en place à partir de la circulaire DHOS/P1/2000/609 du 15 décembre 2000 relative à la prévention et à l’accompagnement des situations de violence. Une nouvelle étape a été franchie avec la circulaire DHOS/P1/2005/327 du 11 juillet 2005 instaurant une remontée systématique des informations relatives aux faits de violence des établissements vers les agences régionales de l’hospitalisation et de ces dernières vers la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins.
  • Puis un protocole national signé le 12 août 2005 entre le Ministère de la Santé et le Ministère de l’Intérieur met a été rendu nécessaire organisant le rapprochement entre l’hôpital et les forces de l’ordre.
  • Ce protocole de nous été modifié et complété par celui du 10 juin 2010 qui renforçait les dispositions prises en 2005.
  • Et la montée des violences a abouti à la signature d’un protocole du 20 avril 2011 relatif à la sécurité des professionnels de santé, prenant en compte notamment le travail des professionnels de santé exerçant en libéral. Ce protocole, déclinaison du protocole Santé-Sécurité-Justice du 10 juin 2010, engage ces trois mêmes ministères [Santé, Intérieur, Justice] et à la création de l’ONVH.

La pensée unique et ses chiens de garde empêchent d’aller plus loin dans l’analyse de ces données et, par exemple, d’indiquer les origines ethniques, religieuses ou culturelles  dominantes des agresseurs dans nos hôpitaux. Ou dans nos écoles où les profs se font tabasser, cracher dessus ou insulter : deux de mes enfants enseignent l’un dans le primaire et l’autre dans le secondaire supérieur, je sais donc ce qui se passe dans les écoles de la république. Ou dans nos transports publics comme je viens de vous en donner un exemple.

Mais le simple bon sens et une élémentaire pratique du raisonnement scientifique indiquent que lorsque la composition de l’eau d’une rivière identique à elle-même pendant des siècles se modifie, c’est qu’elle a été troublée par un élément extérieur.

Le seul élément extérieur que nous puissions trouver dans le fait de devoir bientôt faire de nos écoles, de nos hôpitaux, de nos lieux de culte, de culture ou de distraction, des citadelles, et de nos transports publics des lieux sous surveillance, c’est la folle politique d’immigration extra-européenne entreprise par nos gouvernements (gauche et droite confondues) pour mieux liquider cette nation française obstinée à refuser de se fondre dans le grand creuset mondialiste au service de duquel l’immigration est une arme de choix.

En fait, peut-on citer une seule période de notre Histoire – même en périodes de guerres, même sous l’occupation nazie – où nos hôpitaux et cliniques aient constitué le théâtre d’une pareille barbarie ?

Sauf peut-être sous l’invasion des Vandales au Vème siècle ? Mais je doute qu’il y ait eu beaucoup d’hôpitaux et cliniques à l’époque

La réponse est donc négative. On ne peut rien trouver de semblable dans notre Histoire….Sauf pour ces quarante dernières années.

Constatation qui devrait conduire à de saines conclusions…interdites par le politiquement correct.

On ne peut nous soupçonner de connivence avec les islamistes.

·       De connivence non. Mais de passivité plutôt  bienveillante, oui. Je vous rappelle, afin de vous empêcher de vous ridiculiser ou de trop vouloir nous dorer la pilule, ce sondage auprès des populations immigrées en France publié par Max Fisher, directeur des contenus du site US Vox Media en date du 27.08.2014.

A la question :

«  D’après ce que vous savez, pouvez-vous me dire si vous avez une opinion très favorable, plutôt favorable, plutôt défavorable ou très défavorable sur l’Etat Islamique ? »
–         3% des 1001 sondés se disent très favorables.
–         13% plutôt favorables
–         Contre respectivement 2% et 5% en GB et 0% et 2% en Allemagne !!  Edifiant, n’est-il pas ?
Et c’est encore pire si on prend en compte l’âge des sondés :
–         27% chez les 18/24 ans
–         22% chez les 25/34 ans
–         20% chez les 36/44 ans

Nous sommes donc en train de couver une génération qui se retournera contre nous à la moindre occasion. En matière de non-connivence nous sommes servis !

  • Or notre position est celle d’un garde-fou pour protéger le modèle universaliste français versus communautariste anglo-saxon.

J’adore les incendiaires qui crient « au feu! » et posent aux pompiers qui se vantent d’être seuls à pouvoir éteindre le feu qu’ils ont allumé !
Il n’y a aucune différence de nature entre ce que vous appelez votre garde-fou (que je comprends comme une sorte d’islam dit modéré versus libéralisme anglo-saxon…etc…) et l’islam radical. Les « modérés » quand ils sont sincères finissent toujours sous le couperet des radicaux. Nous connaissons bien cela en France, nous n’avons pas oublié comment les « montagnards » ont traité ces grands crétins de « girondins » modérés en 1793. Sauf pour ceux, comme Fouché par exemple, qui se sont ralliés à eux.

Nous n’avons pas besoin d’un « garde-fou » contre un danger qui n’existerait pas sans vous.

Au demeurant, « le modèle universaliste français versus libéralisme anglo-saxon » ne correspond nullement au génie et à la culture historique de notre nation. Il constitue même – avec la religion musulmane – le danger le plus radical de les voir disparaître.  L’arsenic associé à la cigüe ne font pas un médicament ou un contrepoison. Ils tuent plus vite.
De plus, comment concilier le « libéralisme » moral et l' »islam » chez une même personne ? Sauf si elle délire. Ou quand elle ne sait pas ce que les mots veulent dire.

Nous devons combattre ces deux dérives conjointement pour éviter une hystérie généralisée anti-islam primaire teintée d’accent raciste et néo-colonialiste.

« Hystérie généralisée » quand on flingue des journalistes chez eux, qu’on abat des dizaines de personnes dans un lieu de spectacle, qu’on mitraille des enfants juifs ou des soldats français, qu’on égorge des prêtres, et qu’on fait pleuvoir sur la France ce flot « d’incivilités » – en fait d’ignominies – à la Mohamed Merah, image même d’une « intégration » réussie, dont je vous donnais quelques aperçus plus haut ??? De qui vous moquez vous ?

De même qu’il n’y a d’islam « modéré » que pour autant qu’il ne soit pas en mesure de se révéler « immodéré » (c’est à dire en position de faiblesse attentiste) il n’y a pas d’anti-islam primaire, secondaire ou tertiaire : il n’y a qu’une juste appréciation de qui nous sommes et qui nous voulons rester. Nous n’avons rien contre l’islam chez lui et nous pouvons même entretenir de bons rapports avec les pays et nations qui s’en réclament. Mais nous n’en voulons pas chez nous parce que notre identité, notre histoire et notre volonté s’y refusent. Point.

Vous osez parler de « racisme » et de « néo-colonialisme » !

Décidément, chère Madame, il va falloir apprendre à argumenter car vous voudriez me donner des verges pour vous battre (rassurez-vous, n’étant pas musulman je ne saurais battre une femme) que vous ne vous y prendriez pas autrement.

Quand les peuples d’Afrique du Nord ont voulu chasser la France qui avait beaucoup plus de droits à y rester par tout ce qu’elle y avait apporté de civilisation,  que n’en avait les arabo-musulmans qui ne s’y étaient imposés que par la terreur et le sabre quelques siècles auparavant, ne peut-on dire qu’il s’agissait là, de la part du MNA ou du FLN, d’un pur « racisme » anti-européen ?

« Pas du tout !« , allez-vous me répondre, « C‘était un mouvement naturel d’émancipation anticoloniale. Nous voulions nous gouverner par nous-mêmes et entre nous-mêmes. N’est-ce pas vous, Français, qui nous avez enseigné « le droit des peuples à se gouverner eux mêmes ?« . Si fait.

Permettez alors que je vous renvoie votre argument : nous aussi, Français de quelque origine que nous soyons (je vous ai dit que j’étais d’origine italienne) voulons nous gouverner par nous-mêmes et entre nous-mêmes et n’entendons pas nous laisser imposer, doucereusement ou violemment, une présence, des mœurs et des lois, bref une invasion/colonisation, contre lesquels l’Europe a dû se défendre chèrement tout au long de son Histoire….avant de la pratiquer elle-même, sous couvert de grands principes humano-maçonniques, avec les résultats que l’on sait….Et qui ne devait pas être si terrible puisque des millions et des millions d’anciens « colonisés » viennent aujourd’hui se faire « recoloniser » chez nous…

Quand j’entends Azouz Begag nous dire plaisamment que les musulmans en France ne sont pas cinq millions comme l’affirme le gouvernement (que nous ne croyons plus depuis longtemps) mais une vingtaine de millions [http://www.europe-israel.org/2016/03/azouz-begag-met-les-pieds-dans-le-plat-on-nous-fait-croire-depuis-40-ans-que-les-musulmans-sont-5-millions-il-y-a-15-a-20-millions-de-musulmans-en-france-video/] , nous avons tout lieu de nous considérer nous aussi « colonisés » et en droit de nous défendre par tous les moyens à notre disposition. contre cette colonisation par les « migrations » et « par le ventre des femmes » comme s’en réjouissait le « colonel » Boumediene.

Quel pays au monde accepterait une situation pareille ?

  • Nous en voulons pour preuve le dérapage sémantique à connotation paternaliste de « musulmans discrets », l’expression malheureuse de Jean-Pierre Chevènement pourtant pressenti pour prendre la présidence de la fondation de l’islam de France. Nomination qui serait d’ailleurs une hérésie puisque cette présidence devrait être proposée en toute logique à un musulman – ou une musulmane – ne serait-ce que pour respecter leur dignité.

Soyez heureuse de vivre en France et remerciez ce pays où le « racisme » et le « néo-colonialisme » se manifestent sous la forme de « paternalisme » c’est à dire par une manifestation de sympathie et de générosité envers ceux que l’on cherche à protéger. Je ne suis pas sûr que vous et ceux que vous représentez soyez dignes de « paternalisme ».

Lorsqu’on entend les prêches de vos imans et les appels du muezzin de La Mecque [capitale de ce « grand ami de la France » qu’est l’Arabie saoudite] dont un Tunisien disait il y a peu qu’il appelait cinq fois par jour les musulmans à entrer en guerre contre les mécréants et à les égorger [http://www.astrophilo.com/2016/08/11/tunisien-courageux-met-en-garde-contre-religion-musulmane/], je me dis que décidément vous manquez, pour le moins, d’objectivité sinon de bon sens, en tout cas de reconnaissance envers un pays qui vous donne l’occasion de pérorer vos critiques contre sa politique sans risquer quelques coups de fouet en place publique comme cela ne manquerait pas de survenir ailleurs….

Mais je ne bouderai pas mon plaisir à relever vos sottises quand elles me donnent l’occasion de vous prendre un flagrant délit de mauvaise foi.

En effet, pourquoi une « fondation de l’islam » de France ?

La religion musulmane n’est pas et elle ne sera jamais structurée en une « Eglise » (pardonnez-moi d’être obligé d’utiliser ce concept faute d’un autre plus adapté). Elle n’a donc nul besoin d’une sorte de « Conférence épiscopale », relai de la Chaire de Pierre, comme l’est la conférence épiscopale de l’Eglise catholique en France

Cette « fondation » qui ne peut représenter la nébuleuse musulmane sur la plan religieux, ne peut donc revendiquer qu’un rôle politico/social ! D’où le fait qu’elle puisse être présidée – on n’en est pas à une absurdité près – par un non-musulman ou par une femme…qui s’affirme libérale mais se voilerait certainement si, d’aventure, elle avait à présider un tel « machin » comme aurait dit De Gaulle.

Quelle meilleure preuve pourriez-vous nous administrer que l’islam en France veut se constituer, peu à peu et par des voies détournées, en parti politique, puis en Etat dans l’Etat, comme le protestantisme l’a tenté au XVIème siècle ? Quelle meilleure argument pourriez vous nous fournir que nous devons tout faire pour favoriser son retour à ses terres d’origine si nous ne voulons pas, à terme, nous retrouver dhimis dans notre propre pays, grâce à la double menace que font peser sur nous sa démographie exponentielle, la faiblesse de la nôtre et, il faut  bien le dire, notre lâcheté devant les diktats de toutes les officines pro-immigrationistes à qui il faudrait commencer par couper le vivres sans tarder.

  • Laïcisme et communautarisme, même combat

Notre position est celle exprimée par la philosophe Catherine Kintzler qui a publié en 2007 l’ouvrage « Qu’est-ce que la laïcité ? » : « Les laïques ont combattu et combattent le communautarisme (…). Mais ils doivent aussi avoir le courage de combattre, y compris en leur propre sein, l’ultra-laïcisme dogmatique. Celui-ci non seulement ruine la laïcité en la vidant de son sens, mais, en pourchassant dans la société civile les manifestations religieuses ou d’appartenance, il encourage le communautarisme et coalise autour des appartenances ainsi menacées des solidarités inespérées. C’est pourquoi la dérive « laïciste » est symétrique de la dérive communautariste : en stigmatisant les manifestations civiles d’appartenance, elle les transforme en étendard, ce qui cautionne leurs prétentions politiques. Soyons encore plus clair, à l’aide d’un exemple : pour donner raison à l’intégrisme musulman, un bon moyen est de réclamer l’interdiction du voile dans un hôtel, et bientôt dans le métro, dans la rue… ».
Nous en sommes maintenant…à la plage !
Plus on interdira dans l’espace public, – et là il faut bien définir l’espace public c’est-à-dire un lieu où il y a un public (rue, métro, hôtel, restaurant, commerce, plage…), les signes ostentatoires religieux qui dans le débat public ne se réfèrent qu’à l’islam, uniquement l’islam, toujours l’islam et pas aux autres religions, et plus on cautionnera les fondamentalistes religieux en créant une solidarité inespérée à leur encontre pour les avoir « victimisés ».
Il n’y a qu’à constater le phénomène de mode exponentiel du port du hijab depuis l’interdiction du voile à l’école.
Précisons néanmoins que nous ne souhaitons pas revenir sur les lois déjà votées en France (interdiction des signes ostentatoires religieux à l’école primaire et interdiction de la burqa dans l’espace public).
Nous sommes attachés au mot « liberté » de notre triptyque républicain qui est aussi un fondement de la laïcité car elle se décline en liberté de conscience, liberté d’opinions, liberté de croire ou de ne pas croire, liberté de culte liberté de s’habiller comme on veut….
Dénaturer ce système d’organisation sociétale en lui retirant la valeur « liberté », à coup de règlements inapplicables et de tracasseries mesquines, c’est le tuer à petit feu.

Voilà encore un ensemble de points sur lesquels je suis entièrement d’accord avec vous.
Sauf que nous ne sommes pas, comme vous, attachés aux « mots » auxquels on fait dire ce qu’on veut, mais aux faits, aux situations et à leurs conséquences prévisibles. Ce qui est une tout autre paire de manches.
Sauf que si vous posez bien le problème, vous en tirez de mauvaises conclusions comme le faisait remarquer Fabius à Le Pen dans les années 80.

La « saine laïcité » comme le déclarait Pie XII dans les années 50 est celle qui reconnaît aux citoyens le droit d’exercer leur religion et d’en manifester les signes d’appartenance.
Mais, à ce moment-là, il ne s’agissait que d’opposer les droits de la religion historique et constitutive de la France – le christianisme et singulièrement le catholicisme – à cet  » ultra-laïcisme dogmatique  » qui la persécute depuis la révolution, situations que vous dénoncez si bien et qui a atteint des records au cours de ces années hollando-taubiro-peilhono-belkacemo-valsiennes et qui font de la religion catholique certainement  une religion infiniment plus détestée par l’etablishment maçono-libertaire actuel que la religion musulmane, quoique vous en disiez. D’ailleurs Vincent Peilhon ne s’en est pas caché et a déclaré explicitement que le problème de la république était le catholicisme et non le judaïsme ou l’islam. D’où sa décision d’ailleurs de faire élever ses enfants dans la plus stricte orthodoxie judaïque.

En revanche il va de soi que le peuple français, dans son identité et dans ses sentiments profonds, a le droit de choisir, entre toutes les religions, celle à laquelle il veut appartenir parce qu’elle se trouve aux fondements de son identité historique. Ce n’est pas le cas de la religion mahométane qui est une religion importée et imposée et qui semble tout faire pour se faire « mal aimer » (c’est un euphémisme).
Ce qu’on peut à la limite lui pardonner car ce sont nos hommes et femmes politiques qui sont responsables de cette situation en lui donnant, par leurs compromissions et soumissions successives, l’idée qu’elle peut, à bon droit, accomplir chez nous la mission qu’elle s’est donnée dès l’origine  : nous conquérir, nous convertir, nous imposer un califat.
Que la religion musulmane (et non le seul islamisme) – encouragée par nos renégats nationaux – vive sur cette illusion constitutive est une chose. Que nous l’acceptions sans broncher étant donné son caractère totalitaire qui ressortirait le jour où l’islam serait devenu une véritable force politique en France, en est une autre.

La démarche de la religion musulmane peut se comparer à celle d’un fleuve puissant qui ne s’arrête que lorsqu’il a rejoint l’océan et que, par là, il entre en communion avec les eaux universelles. On peut l’arrêter et le stabiliser dans sa course en plaçant des barrages solides aux bons endroits. Mais que le barrage vienne à céder, l’eau ne restera pas sagement cantonnée dans le  bassin qu’on lui avait réservé. Bien au contraire elle s’élancera avec plus de force encore vers sa destination initiale en noyant tout sur son passage.
C’est ce qui se passerait si – Dieu nous en garde – l’islam devenait une force politique chez nous. A quel titre d’ailleurs ? Avons nous un Parti Catholique soutenu, en tant que tel, par l’Eglise catholique…qui a tant de mal à se soutenir elle même ? Ce ne sont pas les dérisoires barrières de la « laïcité » maçonnique qui l’arrêteraient bien longtemps et nous finirions submergés comme nous le fûmes en 1940 pour d’autres raisons.
Voyez en Turquie l’évolution politique et institutionnelle d' »Erdogan le musulman modéré »  dont on nous chantait les louanges et vous comprendrez que jamais les Français dignes de ce nom n’accepteront cet état de fait. D’autant qu’ils n’y sont pas encouragés par les expériences qu’ils peuvent vivre « dans les quartiers » où la confrontation à une certaine façon de vivre l’islam est permanente.

  • Alerte aux politiques

Et c’est la raison pour laquelle, à l’aune de la campagne présidentielle, nous devons tirer la sonnette d’alarme aux apprentis sorciers représentés par des politiciens à courte vue qui veulent séduire les électeurs du Front national juste pour accéder au pouvoir mais qui n’imaginent pas les dégâts qu’ils peuvent occasionner concernant le « vivre ensemble ».

Interdire et/ou légiférer sur l’interdiction du port du burkini est une faute politique et sociétale. Cela vaut aussi pour l’interdiction du voile à l’université ou le retrait des menus de substitution dans les cantines des écoles publiques et toute autre mesure qui viserait à sanctionner une pratique religieuse.

Vous avez raison : ce sur quoi il faut légiférer de toutes urgence, c’est sur le retour chez eux de toutes celles et de tous ceux qui n’acceptent pas, vivant en terre française, humaniste et chrétienne, d’adhérer sans réserve aux lois, coutumes et mœurs traditionnelles de leur pays d’accueil; de renoncer à y importer quelque législation moyenne-orientale ou moyenâgeuse que ce soit, contraire à la civilisation chrétienne et à nos propres moeurs; et, bien sûr, de renoncer solennellement à travailler à en faire une terre musulmane.

Le deuxième volet de cette loi de salut public, sera d’arrêter définitivement et drastiquement toute « migration » ou, pour parler Français, toute « immigration-colonisation-invasion » en provenance des pays musulmans.

Nous n’en prenons pas le chemin quand on analyse la loi qui a été adoptée par l’A.N en catimi, au coeur de l’été, qui va favoriser un nouvel appel d’air vers l’immigration et une nouvelle moissons de « Français de papier » dans les années qui viennent si elle n’est pas abrogée par le futur gouvernement qui se mettra en place en 2017. J’y reviendrai sur un autre article de site.

  • L’excès en tout est nuisible.

Les atermoiements, les demi-mesures et les compromissions le sont encore plus. Surtout quand il s’agit de stopper une force étrangère qui annonce la couleur : la conquête et la domination de ceux qui lui résistent par le biais des flux migratoires artificiellement provoqués grâce à la guerre entretenue dans les pays du Moyen-Orient. Sans oublier l’outil démographique.

  • Nous rejetons avec force et vigueur tout fondamentalisme, tout communautarisme.

Alors il nous faut avoir le courage de balayer devant notre porte et rejeter tout fondamentalisme y compris le fondamentalisme laïc.

Que vous balayiez devant votre porte. Parfait ! Cela nous évitera de le faire à votre place. Mais vous confondez la lune avec le doigt qui la montre.

Pourquoi le « fondamentalisme » entendu comme volonté d’aller au bout d’un engagement sincère, serait-il une  tare en soi ? Surtout si on considère que ses contraires ne peuvent être – comme vu plus haut –  que le relativisme, la demi-mesure, le chèvre-chou, la navigation à vue.

Ce qu’il faut examiner, si on veut être cohérent, c’est l’objet auquel le fondamentalisme est appliqué.
Il n’y aucun problème à se montrer fondamentaliste en matière chrétienne par exemple. Bien au contraire !
Si on considère que catholicisme = Christ et que Christ = amour du prochain, sacrifice et don de soi, pardon des offenses et rédemption, on ne peut qu’encourager nos enfants à se montrer fondamentaliste. De même dans le domaine de l’amour pour ses parents et enfants, du service de sa patrie, su souci du Bien Commun. C’est tout ou rien.
Il n’y a aucun mal non plus, au contraire, à se montrer « fondamentaliste dans la recherche de la vérité en sciences, en philosophie, dans les arts, dans tous les engagements sincères de notre vie…..s’il est éclairé par l’amour du vrai, du bien et des autres.

Il n’y a de problème que lorsque le fondamentalisme est mis au service d’une mauvaise cause ou d’une cause destructrice.
C’est le cas avec le fondamentalisme musulman et le fondamentalisme laïciste. Tous deux ne se posent qu’en s’opposant, en niant, en détruisant ce qui les contrarie ou les invalide :
– Dieu au centre de la cité et qui, parce qu’Il est Père, constitue la seule source de fraternité réelle entre les hommes :ce qui fait horreur au laïcisme maçonnique (luciférien);
– Le Christ dont il cherche à prendre la place après avoir copieusement plagié l’AT sous l’inspiration des judéo-nazaréens,  pour l’islam, fausse religion, instrumentalisée par de vrais dictateurs instrumentalisant une odyssée inventée de toutes pièces : celle du « prophète » Mahomet.

Ces eux démarches consistent à « être contre » avec fureur, au lieu « d’être pour » avec confiance et générosité. Niant le vrai, elles ne peuvent que favoriser la violence, l’esprit de conquête et de domination. L’un veut forcer l’humanité à adorer l’Homme tel que Lucifer l’a embobiné – l’autre veut faire de la Terre entière un peuple « soumis » à un « Allah » tel que façonné par les Califes et qui ressemble plus à une nouvelle incarnation de Baal qu’au Père des Evangiles.
Voilà les deux fondamentalismes à combattre par tous les moyens. Pune un troisième qui ressemble aux deux autres comme un frère : l’esprit révolutionnaire, le totalitarisme islamique et l’idéologie messianique à caractère ploutocratique, technocratique et maçonnique qui veut établir son empire sur la terre en en éradiquant nations, cultures et religions.

  • Revenons-en donc à la lettre et à l’esprit de la Loi de 1905 qui est celle de la neutralité de l’Etat et évitons d’hystériser un débat qui ne l’est déjà que trop. Et ne devenons pas en définitive les fossoyeurs plus ou moins conscients du principe fondamental de laïcité.

    La lutte contre le fondamentalisme, la lutte contre l’obscurantisme ne passe pas par de dérisoires contraventions de police sur nos plages, elle passe par l’éducation et la construction d’un projet républicain cohérent et ouvert pour la société française de 2016.

    Elle n’est pas dans les nostalgies des combats d’autrefois.

    Restons unis et concentrons-nous sur ce qui nous rassemble et pas sur ce qui nous divise !

De même qu’il n’y a pas d' »apolitisme » qui n’implique une attitude « politique », il n’y a pas de « neutralité » de l’Etat ou de quelque institution politique que ce soit en matière religieuse. Toute société ne se constitue qu’à partir d’une vision de ce qu’est l’homme,  de ce que sont ses fins dernières, de ce qui donne sens à sa vie, de sa place dans le monde et dans la collectivité,  de ce qu’est le bien commun, des rapports que sa collectivité doit entretenir avec les autre peuples. Et surtout des rapports entre Dieu et César (même et surtout quand ils sont niés) comme je l’évoquais plus haut. Inutile d’épiloguer : un état « neutre » est aussi crédible qu’un univers « vide » de toute matière, sous quelque forme qu’on la conçoive.

Un Etat ne peut pas plus être exempté de principes transcendants de gouvernement que ne peut l’être un commandant de navire des règles de la navigation, de la connaissance du trajet qu’il doit emprunter, des dangers à éviter, des vents et des courants à respecter,  s’il veut mener son navire à bon port.

L’esprit de la loi de 1905 n’organisait pas « la neutralité de l’Etat » mais la mise hors la cité du catholicisme qui empêchait la victoire définitive de cet esprit « républicain » (maçonnique, athée, relativiste, égalitariste, doctrinaire et totalitaire, en un mot luciférien) qui vous plaît si fort. C’était donc une religion, celle « de l’homme révolutionnaire » – non serviam – contre celle de « l’homme chrétien », racheté par le Christ.

Aussi si par « neutralité » vous entendez « impartialité » – par un excès de naïveté ou de mauvaise foi – il devient évident qu’il n’y a plus de discussion possible car on ne peut pas convaincre quelqu’un qui est prisonnier d’une idéologie.

Dans le cas où vous croiriez sincèrement à la « neutralité » de l’Etat en France, je vous ferai remarquer que cet état « laïc » a fini par imposer une authentique « religion libertaire et transgressive », qui légalise des conduites sociales que ne peuvent accepter les croyants de quelque religion que ce soit : chrétienne, juive, musulmane. Et qui empêche, avec toute la rigueur de la loi, qu’elles puissent être combattues ou même contestées. Car ce sont des lois qui consacrent des déviances, souvent répugnantes, voire des crimes (comme l’avortement) s’imposant à tous sous peine de sanctions policières et juridiques.  Ce qui veut dire qu’il s’est adjugé le droit de dire ce qui est le Bien et le Mal en lieu et place des religions dont c’était le rôle jusque là. Votre état « laïc » est devenu un état « religieux » au sens le plus extrême du terme. Mais religieux au sens satanique, car qui ne sert pas Dieu sert automatiquement Satan. Là non plus il n’y a d’alternative possible.

Nous ne sommes plus en France, nous sommes à Babylone et gouvernés par un Sardanapale de pacotille servi par des suppôts serviles et païens. Et cela par l’effet de la séparation entre l’Eglise qui vivifiait notre civilisation et  un Etat, désormais pourrissant, qui ne s’inspire que de ses lubies et de ses intérêts propres; qui ne sont d’ailleurs que ceux des idéologues maçonniques qui travaillent dans la discrétion de leurs officines,  ou des arrivistes décérébrés dont le relativisme moral, l’individualisme et l’hédonisme forcenés sont devenus les seuls critères de vie.

Et, s’il est un élément positif à mettre à l’actif à la présence musulmane en France, c’est bien de nous avoir forcé à constater, ébahis, le parallèle qui peut être constaté entre une religion qui se prétend inspirée par Dieu et qui justifie les pires atrocités et ignominies pour peu qu’elles soient faites au nom d' »Allah » (et elles le sont toujours bien sûr) et un Etat laïc qui n’a que les mots de « droits »  « d’humanité » de « dignitié »  ou de « valeurs républicaines » à la bouche, mais qui, dans les faits,  manifeste un haine du Christ assumée, un mépris sans scrupule de notre culture, de notre identité et de notre Histoire; une désespérante déshumanisation technocratique; un autoritarisme idéologique destiné à imposer l’inversion des critères de notre vie sociale, politique, juridique, médiatique…et sexuelle;  la guerre à toute tentative d’une orientation transcendante dans l’éducation des enfants; la destruction des conditions de  salut pour les hommes en les encourageant au contraire à se livrer à leurs fantasmes les plus dégradants sous couvert de « liberté ». Et les punissant en cas de saine révolte. Bref, en quelque sorte Belzébuth à l’Elysée, ses succubes et ses incubes dominant notre vie nationale et faisant du doux pays de France une sorte de vaste bordel…qui ressemble furieusement au paradis tel qu’il est décrit dans le coran.

L’Eglise catholique, minée de l’intérieur par ces mêmes courants qui ont porté le laïcisme dogmatique au pouvoir, s’est montrée incapable – surtout depuis Vatican II – à contrecarrer cette manœuvre de grande envergure du « prince de ce monde ». Bien pire, ses représentants, tels Mgr Vingt Trois par exemple, estiment qu’on ne doit exercer sa pratique religieuse que dans « le cadre des lois de la République« ! Ce  qui, somme toute, ne devrait pas déplaire à la « libérale versus anglo-saxonne » telle que vous vous définissez, mais devrait quand même contrarier la « musulmane » que vous voulez continuer à  rester dans une sorte d’état schizophrénique inconfortable.

Mais foin de ces dualités-duplicités tactiques, inacceptables pour moi et pour un certain nombre de mes compatriotes. Catholiques et Français nous sommes; Catholiques et Français nous voulons continuer à vivre sur notre terre imprégnée de christianisme, une Terre consacrée au Christ dès 496. Beaucoup d’entre nous l’ont oublié grâce au travail de sape considérable entrepris par le Dés-éducation nationale depuis soixante-dix ans, mais comptons sur la Providence pour nous le rappeler le moment venu.

Il n’est pas question d’inscrire l’avenir de notre pays – du simple fait qu’il est provisoirement « occupé » par une population étrangère à sa nature – dans un avenir qui altère son identité et sa destinée.

Comme le faisait observer Charles de Foucault parlant de la présence française en AFN et assassiné par des musulmans, il y a exactement un siècle,  si les musulmans en France (et non « de » France) veulent montrer leur attachement à ce pays qui les fait vivre et s’ils veulent sincèrement devenir Français, qu’ils se convertissent car il n’y a rien – quelque contorsion poliltico-philosophique qu’on utilise – qui puisse permettre de faire coexister pacifiquement nos deux cultures sur le long terme puisque l’islam est un Etat en lui même. Les exemples partout dans le monde sont nombreux pour nous en avertir.

Faute de quoi, reste encore le retour des populations musulmanes surnuméraires sur le dar-es-islam, comme je l’évoquais plus haut. Mais désormais les masques sont tombés et des plaidoyers aussi contradictoire et purement sophistique que  le vôtre,  ne pourront plus nous convaincre quand on se reporte aux faits. Qui, paraît-il, sont têtus.

Bien à vous.


[1] C’est une affirmation qui implique de nombreux développements liés à la nature transgénérationnelle de notre identité mais que je ne peux aborder ici.

[2] La taquia ou takkya : est – au départ – l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie des génocides perpétrés par les Sunnites qui égorgeaient les adeptes de toutes les autres religions : juifs et polythéistes compris. Il s’agissait pour ces malheureux de faire une abjuration publique……sans pourtant changer de religion.

La taquia s’est ensuite généralisée, et aujourd’hui elle est devenue l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam.

C’est au titre de la taquia que les musulmans citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés afin de séduire et faire passer l’islam pour une « religion » de paix et d’amour.

2 réponses à to “Lettre ouverte à la ci-devant « franco-algéro-libéro-musulmane » Feria FURON”

  • Fomalo:

    Bonjour,
    J’avais pris connaissance de votre site la semaine dernière, par une amie, et après la découverte de la très bonne analyse comparative entre D.Trump et H.Clinton, et de celle du thème du Père Hamel, je vous ai envoyé un courriel concernant le th.progressé de D.Trump. Je ne sais pas si vous m’avez répondu ni dans quelle rubrique.
    Quoiqu’il en soit je pense que votre réponse à Ferial Furon est remarquable, et tout à fait justifiée concernant  » l’hybridation cultuelle et culturelle » visant à la confusion, cultivée par de nombreux algériens vivant en France. Je dis algériens parce que j’en ai connu un certain nombre,déboussolés et furieux, mais j’en dirai autant, sinon au-delà, des marocains qui profitent d’un roi « chef des croyants » pour perpétuer la takkya à son niveau le plus haut et le plus visqueux. Le mimétisme est constatable tous les jours, même dans ma rue. La vague invasive est telle que parfois le seul recours devrait être la prière intérieure en contradiction avec l’urbanité de voisinage… C’est absurde et désolant que l’Eglise chrétienne déclare forfait.

    • Je vous ai répondu et ai confirmé ma réponse ce matin par un courriel à votre adresse personnelle.
      On nous aveugle avec les attentats terroristes qui mobilisent toute notre attention, alors que le danger véritable est celui d’une islamisation – certains disent une « hallalisation » – rampante mais croissante réalisée au quotidien par ces musulmans qu’on nous présente comme « modérés ». Certaines études récentes – dont celle de l’Institut Montaigne je crois – sont parfaitement claires à ce sujet. Jamais un musulman ne s’assimilera à la peste des lois de la république (car il faut bien reconnaître que depuis l’arrivée des libéraux/socialistes au pouvoir nos lois sont putrides en matière sociétale) car cette assimilation l’obligerait à renoncer au choléra de sa religion qui n’en est pas une mais un système politique et social absolument totalitaire qui punit de mort les éventuels « apostats » qui voudraient quitter l' »oumma ».
      Voiles de plus en plus nombreux dans nos rues, mosquées se multipliant souvent sous l’apparence d’associations culturelles ou autres, commerces « halla », horaires aménagés dans les piscines françaises, prière sur les lieux de travail etc….
      Or, le temps joue contre nous car l’arme absolue de la conquête islamique en France est la démographie : galopante chez eux, déficitaire chez nous où on s’ingénie à détruire l’avenir de peuple français par ces lois ignobles sur l’avortement, le mariage pour tous et autres belzébutheries (si vous ma passez ce néologisme).
      Quant au chef des croyants que vous évoquez, je l’appellerai plutôt le « chef des dealers » étant donné que le Maroc est le plus gros pourvoyeur de cannabis en France. Ce qui a l’air d’ailleurs de lui profiter car ce « roi » colonisateur (les Marocains véritables sont des Berbères et non des Arabes) prend de plus en plus les allures d’un pacha forçant sur le rahat loukoum.

      Reste l’Eglise. Mais Rome n’est plus dans Rome depuis longtemps. Exactement depuis la clôture de Vatican II. Tous nos papes depuis – suivis et même précédés par le haut clergé français, allemands, hollandais par exemple – se sont ingéniés à nous désarmer spirituellement, religieusement, politiquement en prônant une « liberté religieuse » contraire à ce qu’elle est réellement telle que définie par le Magistère tout au long des siècles passés, par une doctrine désastreuse des rapports Eglise/Etats et de l’oecuménisme qui, dans la bouche de François (dont je me demande s’il a conscience d’être le pape des Catholiques) est en train de se transformer peu à peu, en une sorte de syncrétisme mondialiste où une vache ne reconnaîtrait pas ses veaux et qui nous conduit tout droit à la grande Parousie qui devrait marquer la fin de ce temps.
      Il nous reste le secours de la Providence. C’est sans doute le plus efficace, mais mon Dieu qu’il est long à venir…..
      Bien à vous

      LSM

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