Enfin, un message de vérité sur la religion musulmane, sans aucune langue de bois, sans cette écœurante veulerie qui est la marque des propos de nos hommes politiques, de notre clergé et de notre pape, quand ils nous parlent du sujet.
Il nous vient d’un Tunisien anonyme (pour des raisons de sécurité) dont il nous dit que l’AFN n’a jamais été arabe ni musulmane mais a subi l’invasion arabe et musulmane contre laquelle elle s’est soulevée à de nombreuses reprises. Qu’elle était un phare de la civilisation du temps où elle était judéo-chrétienne avant que la conquête arabo-musulmane ne la fasse sombrer dans des âges de ténèbres …. grâce à la complicité de l’Occident qui l’a abandonnée à son triste sort.
Il nous dit qu’il ne sert à rien de nous élever contre « les messages de haine, de violence et de guerre sainte » tant que nous n’aurons pas détruit l’antenne qui les diffuse. Et cette antenne, précise-t-il, se trouve à La Mecque où cinq fois par jour la population est abreuvée de messages de guerre sainte contre l’Occident; elle est aussi au Qatar; et enfin en Syrie où s’est installé le nouveau Calife Isnogood qui fait égorger des enfants de douze ans au nom de cette « religion de tolérance et de paix ».
Bien sûr, en dénonçant ces trois antennes-relais qui incitent les cervelles folles à venir « égorger nos fils et nos compagnes » sur notre propre sol, il dénonce aussi trois de nos meilleurs clients qui achètent quantité d’armes qu’un jour ils pourront retourner contre nous.
Il accuse nommément Hollande de trahison et l’avertit qu’un jour il aura à répondre de ses actes devant le tribunal de l’Histoire…et peut-être devant un tribunal tout court bien avant cela.
Bref.
Le coup de gueule de ce Tunisien est une véritable « divine surprise » comme seule la Providence sait en susciter et qui nous console de mois et d’années de mortifère propagande padagalmamiste.
Quelques minutes de pure vérité.
Enfin, un message de vérité sur la religion musulmane, sans aucune langue de bois, sans cette écœurante veulerie qui est la marque des propos de nos hommes politiques, de notre clergé et de notre pape, quand ils nous parlent du sujet.