Zachary-King- Source Réinformation TV Je reproduis ci-dessous, in extenso, un article paru en date du 19 mai sur l’excellent blog de REINFORMATION.TV (http://reinformation.tv/zachary-king-confesser-ame-ancien-sataniste-recuperer-dolhein-55353-2/)) consacré à la conversion d’un sataniste parvenu aux plus hauts degrés de son « apostolat mortifère ».

J’ai tenu à le publier sur mon propre blog pour trois raisons qui tiennent aux trois enseignements majeurs de l’itinéraire de cet homme :

  • Je vois dans l’expérience de ce converti et dans les raisons mêmes de sa conversion, un magnifique antidote au relativisme et au scepticisme d’une époque marquée par l’apostasie généralisée des peuples européens autrefois chrétiens; et par la démission honteuse – pour ne pas dire la trahison –   de l’immense majorité du personnel de l’Eglise de France et d’Europe. Apostasie qui a désormais envahi le cœur et la tête de l’Eglise comme nous en avait alerté Marie à Fatima. Il suffit de lire et de voir agir Fran »érético » primero pour s’en convaincre.

  • La seconde nous rappelle que tout désespoir en matière de Foi (comme en politique, aurait ajouté Maurras) est d’une sottise absolue. La conversion est toujours possible jusqu’à la dernière minute de notre existence, quelles que soient les horreurs que nous ayons commises. Le Père est toujours prêt à accueillir l’enfant prodigue, pour peu qu’il soit sincère dans son repentir.

  • La troisième raison et le troisième enseignement sont relatifs à la complicité consustantielle entre satanisme et avortement. C’est très clair dans le cas de « Zach » mais ce l’était déjà dans tout ce que nous savons de l’histoire du satanisme…..qui alterne sa pratique avec celle de l’infanticide pendant les messes noires. Il n’est plus nécessaire désormais d’aller arracher des bébés à leur mère pour les sacrifier à Satan – avec tous les risques que cela comporte – quand la loi (satanique en son fond, puisque d’origine maçonnique) – autorise de sacrifier une vie à naître en toute tranquillité et légalité.

On me répondra – avec indignation certainement – que tous les avortements ne sont pas pratiqués dans une intention sataniste ! Mais,  bien au contraire, pour toutes sortes de bonnes et vertueuses raisons…..qui ne servent qu’à rationaliser ou justifier un acte barbare et profondément inhumain….Donc diabolique par essence puisque le diable a déclaré une guerre à mort à cette humanité que le Christ a partagée et sans laquelle Il ne fût pas devenu Sauveur et Rédempteur. C’est à dire infiniment plus glorieux, Lui, l’enfant de la crèche, que ce pauvre Lucifer – le plus beau des Anges – qui se voyait déjà Calife à la place du Calife. A vous dégoûter pour l’éternité et de Son inventeur.

Il s’ensuit que si, dans l’intention, l’avortement ne vise pas à honorer Satan, dans le fait, il est clair que chaque personne qui y participe – en commençant d’abord par le personnel médical qui s’en rend complice – commet un acte fondamentalement diabolique en arrachant une âme créée par Dieu à la possibilité d’exister et de s’accomplir.

Et, quand les satanistes ne peuvent pratiquer l’infanticide ou l’avortement pour concrétiser leur culte, ils se rabattent sur des actes de profanation radicale dans des séances collectives de viol d’enfants innocents. L’ouvrage de Malachie Martin (ex- collaborateur de Jean XXIII et Paul VI) intitulé « La maison battue par les vents » que j’ai déjà eu l’occasion d’évoquer dans de précédents articles, est très révélateur au sujet des pratiques satanistes réalisées jusque dans les plus hautes sphères de l’Eglise « où se sont introduites les fumées de Satan » (Paul VI dixit) : viol et assassinat d’enfants y sont clairement dénoncés et documentés.

On peut donc dire que – si l’avortement de confort (j’exclue de toute condamnation, à titre personnel, celui qui aurait pour but de sauver la vie de la maman quand un tel choix s’impose) ne vise pas délibérément à se soumettre à Satan – en fait et en pratique, il provoque les mêmes résultats et doit être interprété comme de sérieuses prédispositions à tomber dans ses griffes.
La relation est aussi logique que de se prétendre ennemi des incendiaires et de jeter son mégot allumé en traversant une forêt de pins en plein mois d’août.

Et ce n’est pas un hasard si l’avortement n’a pu être légalisé qu’à la faveur de l’advenue dans l’histoire d’une société profondément laïcisée, apostate, volontairement coupée des lumières de la grâce et donc parfaitement déresponsabilisées sur la portée réelle de ses actes. D’ailleurs, quand on s’intéresse aux promoteurs des subversions légalisées infligées au peuple français, abruti de démagogie depuis un demi-siècle, on ne peut être étonné d’y découvrir des adversaires déclarés du Christ et du catholicisme, par conviction et/ou par origine.

Une question doit alors se poser à tout esprit quelque peu porté à la réflexion morale ou philosophique.

Entre tous les actes innommables et barbares que les hommes ont pu inventer depuis qu’ils sont sortis de l’Eden après la transgression d’Adam et Eve, pourquoi l’avortement, les profanations infligées au corps de la femme et la destruction de celui de l’enfant sont-ils les pratiques « cultuelles » privilégiées par les satanistes ?

Bonne question.

Tout simplement parce-que ce sont les seules qui puissent concrètement et efficacement limiter la Créativité infinie de Dieu qui multiplie les âmes, reflets de Son Amour et de Sa Gloire, destinées à Le connaître et à L’aimer, en ce qui concerne les enfants.

Pour les femme, il ne faut oublier l’insigne honneur accordé par Dieu à la Femme en lui donnant la tâche de porter et de donner la vie à Son Fils unique. On comprend pourquoi, toute messe noire, ne peut se dérouler que sur le corps d’une femme qu’on va souiller de multiples façons, comme pour effacer – dérisoirement et fallacieusement – cette Virginité dont le Verbe est né.

Plus prosaïquement, permettez-moi un souvenir personnel. J’ai habité Nîmes pendant plus de 28 ans (un cycle de « Lune progressée » et quasi un « cycle saturnien » pour les amateurs d’anthropocosmologie).

Face à la Maison-Carrée, célèbre monument religieux édifié par les Romains au début de notre ère, s’élevait la façade de l’ancien théâtre de Nîmes, construit lui, à partir de 1798 (naissance de Schubert), inauguré en 1800 et qui rivalisait avec celui d’Avignon ou de Toulouse pour la qualité de ses chanteurs et de ses créations.

Or, derrière cette façade de belle allure, n’existait plus, depuis trente ans, qu’un terrain vague encadré des vestiges de murs noircis. Que s’était-il donc passé ?

En 1952 l’opéra avait délibérément été incendié parce que sa direction avait refusé d’engager un jeune homme de 20 ans comme choriste : Henri Haes. Or, cet homme avait une compagne, Eva Closset, sa belle-mère, artiste lyrique belge de second plan, alors âgée de 47 ans. Divorcée (du père d’Henri], elle était arrivée à Nîmes vingt jours auparavant avec le jeune homme pour le faire auditionner. Révoltée par le refus du directeur du théâtre de l’engager, Eva Closset décida de se venger et de mettre le feu au théâtre pour donner,  » une leçon au directeur« .
Mais qui, en fait, priva de travail des dizaines de personnes pour le présent et le futur et de spectacle de qualité une ville entière qui ne le méritait pas.

Car le théâtre ne fut jamais reconstruit étant donnée l’impéritie des différentes municipalités communistes qui se succédèrent depuis lors. Il fallut donc attendre 1993 (41 ans plus tard) pour que fût inauguré le « Carré d’Art », un des multiples témoignages de l’activité créatrice et restauratrice du nouveau maire, Jean Bousquet, élu en 1983. Je venais juste ouvrir mon cabinet à quelques centaines de mètre de l’Ancien Théâtre (comme on l’appelait alors) quand le patron de Cacharel eut ravi la Mairie de la ville aux cocos qui préféraient alimenter les caisses du parti communiste (fort favorable à l’avortement) plutôt que de rénover une magnifique cité qui avait pris cinquante ans de retard en tous domaines sur ses sœurs rivales, Montpellier et Avignon.

Triste histoire n’est-il pas ?

 Mais, Ô combien instructive, si on y réfléchit bien.

La motivation de cette femme (à son niveau) est exemplaire de la motivation satanique :  » Puisque tu ne me reconnais pas et que je ne peux pas t’atteindre Toi-même, je te détruis dans tes œuvres« .

Médée – la patronne de tous les thuriféraires et défenseurs de l’avortement comme conquête suprême de « la liberté des femmes » – Médée, qui, ne l’oublions pas était une magicienne et une sorcière au moment où Jason la rencontre puis l’épouse pour la remercier de l’avoir aider à voler la Toison d’Or, ne raisonnera pas autrement en égorgeant ses deux enfants pour punir le père qui a blessé son amour-propre.

De nos jours, sous nos yeux, dans nos villes quelquefois, n’assistons-nous à ces sacrifices barbares où des innocents – souvent des Chrétiens mais pas seulement eux – sont massacrés et préférentiellement égorgés sous l’œil complaisant, pour ne pas dire obscène (« Ca fait vendre coco ! ») des caméras – en hommage à une sorte de Baal des temps modernes dont on veut se concilier les faveurs ?

Où est la différence entre l’égorgement (quelques centaines) chez eux, et l’avortement (deux cent vingt mille par an) chez nous ?

On peut même accorder aux islamistes la crainte de mécontenter une idole inflexible à laquelle ils croient et qui les punira férocement s’ils n’exécutent pas les lois qu’elle leur a prescrites, mais qui les récompensera s’ils se montrent « soumis ». Comment se manifestera cette récompense ? Par la jouissance dans un paradis céleste post-mortem de tout ce qui, sur Terre, peut être objet de convoitise et de plaisirs sensuels sous toutes leurs formes, mêmes les plus transgressives. Comme ils le disent eux-mêmes pour justifier leurs atrocités : « C’est Allah qui l’a voulu« . Ils n’ont fait qu’obéir et ne sont pas responsables des horreurs qu’ils commettent.

Mais nous, occidentaux du XXIème siècle, quelle est notre justification ?

Aucune Transcendance n’inspire les lois sociétales sur lesquelles nous vivons : le « ni Dieu, ni maître » de la franc-maçonnerie « humaniste » l’a emporté sur toute autre fondement à la base de la société.

Mais nous n’avons pas pour autant renoncé aux idoles : celles du corps, du sexe, de plaisir et de la jouissance sans entrave, expressions de l’idole suprême : une Liberté aveugle à la Vérité.

Par conséquent si, chez les islamistes la mort, la destruction, sont justifiés à leurs yeux par un principe supérieur (qui vaut ce qu’il vaut) qui les dédouane (pensent-ils) de toute responsabilité individuelle mais qui – bien au contraire – entraînera dans le ciel, la libération de tous leurs instincts et un accès sans entrave aux délices auxquelles ils peuvent rêver sur Terre sans jamais les atteindre que de façon limitée,

Chez nous, par une sorte de subversion incroyable (mais Satan est maître ès-subversions) ce sont ces jouissances terrestres elles-mêmes qui sont devenues nos idoles et ont remplacé Dieu. Nous n’avons pas à les mériter, comme les islamistes, d’un dieu quelconque qui nous les octroieraient à condition, mais nous les considérons comme notre dû par droit de naissance et héritage du dieu « Progrès ». Le Dieu révélé étant passé à la trappe (affirmons-nous) c’est le culte de l’hédonisme, de l’égoïsme, du narcissisme amoureusement cultivés comme des vertus cardinales qui a remplacé l’amour et le respect que nous devions au Fils de l’Homme. Le renoncement à toute forme de transcendance, érigé par notre époque sceptique et cynique comme principe suprême de vie en société, a refermé sur nous l’horizon indépassable d’un paradis terrestre dont la jouissance implique la destruction de la vie à naître comme fardeau intolérable qui nous empêche de jouir sans entraves, comme disaient les nabots de mai 68.

Sans voir que les conséquences de cette attitude sont celles-là mêmes qui attendent le drogué au sortir de ses merveilleux délires et de sa fuite hors de la réalité et des responsabilités : la découverte de l’enfer.

L’enfer, pour nous peuples européens qui considérons l’avortement comme un droit inaliénable, c’est – outre notre insondable veulerie qui nous pousse à nous dhimitiser de plus en plus – la chute démographique avec toutes ses conséquences politiques, économiques, géostratégiques qui entraîneront à terme, notre soumission définitive à des peuples plus vigoureux, plus fertiles, déterminés à vivre coûte que coûte, qui viendront prendre la place que nous avons refusé d’accorder à nos enfants pour rendre la nôtre plus confortable.
Or, qui sont-ils ces peuples, sinon ceux qui sont « soumis » à cet islam dont je traçais le portrait un peu plus haut.

Conclusion : nous sommes responsables de notre malheur, et dénoncer l’islam ou le mondialisme (qui sont complices dans la volonté de faire disparaître l’Europe chrétienne…avec la bénédiction de celui qui remplit le rôle de pape actuel) n’est qu’une façon de nous enfoncer dans une mortelle erreur de diagnostic. Notre destruction en tant que civilisation et, sans doute même, en tant que peuples, est la conséquence directe de notre apostasie.

Quand l’énergie de leur foi constitutive ne circule plus dans les cultures, dans les institutions politiques et dans la conscience des citoyens, c’est comme lorsque l’énergie vitale se retire d’un organisme. Le mort subsiste un temps mais c’est un cadavre.

En tant que civilisation l’Europe n’est plus qu’un cadavre qui bouge encore avant de retourner à la poussière de l’Histoire. Sauf sursaut spirituel et conversion comme nous en donne l’exemple celui dont l’histoire extraordinaire va suivre.

Bonne lecture à tou(te)s

 

  • Voici maintenant l’article consacré à ce converti du satanisme qu’est devenu Zachary KING.

Zachary King est un célèbre converti qui, après avoir vendu son âme au diable à 13 ans, a trempé dans les crimes les plus horribles. Aujourd’hui il appelle tous ceux qui se seraient laissé tenter par le satanisme à rompre avec ce chemin de perdition éternelle. Il vient de participer à un documentaire télévisé pour expliquer comment il s’en est sorti, alors même qu’il pensait que son contrat avec le démon était irréversible. « Il suffit de se confesser pour récupérer son âme » : tel est son message.

Reinformation.tv a évoqué ici les avortements rituels auxquels Zachary King a participé (146 au total) et son parcours de « Grand Sorcier » de l’Eglise mondiale de Satan, après une enfance plus ou moins chrétienne dans une Eglise baptiste et un parcours sataniste déclenché par la participation à un jeu de rôle de Dungeons and Dragons.

Zachary King raconte comment après des années à travailler pour le diable, il a fini par se lasser, décidant de s’éloigner de l’Eglise mondiale de Satan. « On en arrive à penser : je ne veux plus faire cela. Mais je ne peux pas arrêter. J’ai donné mon âme au diable, la seule manière d’en sortir c’est de mourir. (…) Mais je ne veux pas mourir, et la manière dont je mourrai m’est égale, car si je sais que si je meurs j’irais en enfer. (…) Alors un jour, j’ai décidé de fuir. »

Zachary King : 146 avortements rituels dans une Eglise sataniste

Le jeune homme réussit alors à se cacher de l’Eglise mondiale sataniste mais il continuait de pratiquer la magie. Ayant trouvé un travail dans une bijouterie, il a eu la surprise un jour de se voir remettre par une cliente une petite médaille de la Vierge : « La Mère bénie t’appelle à rejoindre son armée. » King n’avait aucune idée de qui pouvait être cette « Mère bénie », lui qui avait été élevé dans une secte protestante et qui en outre se pensait irrémédiablement condamné à aller en enfer. La cliente insistait pourtant : « La Mère bénie appelle à rejoindre son armée. Elle est très puissante. » Zachary King était encore assez accroché à son passé pour se demander comment la femme représentée sur la médaille pouvait être plus puissante que lui, qui en tant que grand sorcier avait été l’un des magiciens les plus puissants au monde. Il prend la médaille avec l’intention de la jeter sur le sol. C’est alors que se produit un phénomène extraordinaire.

« Le centre commercial et ma boutique n’existaient plus. Ils ont complètement disparu. Nous étions seuls, cette femme et moi. Et elle a commencé à me raconter ma vie. Elle m’a dit que j’avais détruit plus de cent églises et que cela venait du démon. Elle me parla de dix péchés que j’avais commis au cours de ma vie. Chaque récit se terminait avec ces mots : “Cela vient du démon.” J’étais terrorisé. Je ne savais pas quoi faire. (…) Je pensais que cette femme faisait de la magie et que je n’avais pas le même pouvoir qu’elle. Elle me redit encore : “La Mère bénie t’appelle à rejoindre son armée.” Cette fois j’ai compris qu’elle se référait à la Mère de Dieu. (…) Et à ce moment précis, Marie est apparue. Elle me prit la main, me sourit tendrement, et me fit me retourner. Jésus était debout, derrière moi. A cet instant j’ai su que tout ce qui est catholique est vrai. J’ai su que tout ce qui était “Zach”, c’est-à-dire ma sorcellerie, mon satanisme, ma magie… tout cela était faux. Et j’ai su que je devais arrêter. J’ai su que Jésus est mon Seigneur et mon Sauveur et que je n’avais pas vendu mon âme quand j’avais 13 ans. Marie regarda vers moi et me dit : “Ton travail est de m’aider à mettre fin à l’avortement.” J’ouvris la main, et me retrouvai de nouveau dans le centre commercial. La femme parlait toujours. Elle me disait quelle était sa paroisse ; j’ai commencé à assister à la messe pratiquement dès le lendemain. Cinq mois plus tard, je devais entrer dans l’Eglise catholique », raconte Zachary King. C’était en mai 2008. »

Vendre son âme au diable ? Impossible, rétorque l’ancien sataniste Zachary King

King voyage aujourd’hui de par le monde pour dire aux gens que « Satan est un idiot ». « Il ne faut pas avoir peur de lui. Il faut penser à lui comme à un chien enchaîné qui aboie. Tu connais la longueur de sa chaîne. Ne le laisse pas te prendre, parce qu’il te détruira s’il y arrive. (…) Approche-toi de Jésus. Aie une dévotion solide envers Marie. Et ne fais absolument rien qui soit en lien avec le New Age ou avec le satanisme. »

L’un des thèmes préférés de Zachary King dans cet apostolat, c’est de montrer que les contrats par lesquels on vend son âme au diable sont un mensonge et n’ont aucune valeur. A l’époque, lorsqu’il avait 13 ans, il avait signé un document disant : « Le Sang de Jésus lave tout péché. Mais pas le mien. Jésus est mort pour tous, mais pas pour moi. » King était persuadé qu’il mourrait à l’âge de 95 ans et qu’il irait directement en enfer.

« Il suffit de se confesser » pour mettre fin à un pacte avec le diable
« Dans mes conférences, j’ai l’habitude de demander à l’assistance : “Quelqu’un ici a-t-il un ami qui a une belle voiture ?” Inévitablement, quelqu’un lève la main. Et je dis : “Peux-tu légalement me vendre la voiture de ton ami ?” » La réponse est toujours : « Non, car elle ne m’appartient pas. » « En effet, et pour cette même raison tu ne peux vendre ton âme. Dieu est mort pour toi. Jésus a payé le prix de ton âme. Tu ne peux pas la vendre, la prêter, la donner… ce que tu peux faire, c’est donner ta volonté au démon. Et le démon te mentira parce que – ô surprise ! – c’est un menteur. La Bible nous le dit. Satan dira qu’il possède ton âme. Mais il te suffit de te confesser pour la récupérer. Tu dois rendre ta volonté à Dieu. Le démon continuera de te mentir jusqu’à ton lit de mort. Alors que tu seras sur le point de sortir de cette vie, il dansera autour de ton lit en te disant qu’il est le seigneur de ton âme. Il veut que tu désespères, parce que le désespoir est un péché mortel, et ainsi tu irais en enfer. Quand tu arrives à ces moments où ta vie sur cette terre est sur le point de s’achever, ferme les yeux, continue de prier le chapelet et demande à la Vierge d’écraser la tête de Satan. Et tu seras bien. »

Zachary King a également pour habitude de mettre en évidence certaines tromperies du New Age : « La religion New Age peut se définir de manière simple comme quelque chose qui enlève Dieu, le démon, le ciel et l’enfer de la formule. » Il en donne comme exemple aussi bien les témoins de Jéhovah que le monde du bouddhisme ou la pratique du yoga et du reiki. Le reiki, avertit King, relève de la sorcellerie. « Quand on devient maître reiki, on te dessine des symboles sur le corps et on te donne un guide spirituel personnel, un démon qui est dès lors attaché à toi. Et chaque fois que tu pratiques le reiki avec une autre personne, tu leur jettes des sorts. Un sort de magie se définit comme une prière au diable lui demandant d’attacher un démon à une autre personne. »

Anne Dolhein

 

 

2 réponses à to “vortement & Satanisme : ennemis du genre humain et « signes » des temps.”

  • ROLLAND:

    J’ai presque honte de signaler un détail trivial, par rapport au thème abordé.Mais je connais votre intelligence et me permet donc de vous indiquer que ce n’est pas THESEE qui conquiert la Toison d’Or, mais JASON, qui paie d’ailleurs d’avoir trahi sa parole. Médée aurait pu laisser faire les dieux ou Moïra, le Destin.

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