mordorQu’on me pardonne ce recours à l’œuvre géniale de Tolkien pour introduire quelques réflexions sur l’année qui s’ouvre devant nous. Mais il se trouve que, comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté à la projection du 2ème volet du « Hobbit » avec mes petits enfants ce qui m’a remis en mémoire la série du Seigneur des Anneaux, et des analogies criantes avec notre époque se sont imposées à mon esprit.

Dans le même temps, mes recherches m’ont conduit à m’intéresser à quelques ouvrages très complémentaires, essentiels pour comprendre ce qui se joue dans la crise de civilisation que nous traversons et dont nous nous remettrons avec l’aide de la Providence, mais seulement avec Elle, car je ne crois pas que le travail d’autodestruction entrepris depuis plus de deux siècles contre les fondements mêmes de notre civilisation occidentale, puisse être contrecarré par les seules forces humaines.

  • « La pensée de saint Thomas d’Aquin« [1] par ce thomiste incontournable que fut Louis Jugnet, complété par

  • « Saint Thomas du Créateur » de G.K Chesterton[2] qui allie humour et pénétrante intelligence. Tous deux nous offrent une belle leçon de réalisme philosophique et politique fort propice à nous désintoxiquer des idéologies à la mode.

  • « L’Intelligence en péril de mort« [3] de Marcel de Corte, philosophe belge qui devrait être impérativement inscrit au programme des étudiants en philosophie s’ils veulent comprendre vraiment ce que sont l’intelligence et la raison et en quoi consistent réellement le travail de la pensée pour accéder au réel. Et combien la pensée moderne et postmoderne (grosso mode depuis Descartes, Kant et leurs épigones) s’est éloignée de la réflexion métaphysique qui seule nous donne accès au vrai, à la nature profonde des choses. Combien cette dérive nous a enfermé progressivement dans une représentation imaginaire du monde (qu’il qualifie de « romantique« ), aboutissant à tous les artifices de l’idéalisme qui consiste à affirmer que nous ne pouvons connaître le monde tel qu’il est, mais seulement l’idée que nous nous en faisons et qui aboutit, tout naturellement, à l’affirmation qu’il n’existe pas un monde « réel » quelconque hors de nos représentations.  Ce qui amène effectivement la « mort de l’intelligence » entendue comme adéquation entre les choses et l‘intellectus.

  • « Vatican II. Une histoire à écrire« [4] du Pr Roberto de Mattéi qui montre comment une minorité fort bien préparée (très marquée par les aberrations modernistes et teilhardiennes) et très agissante a pris le contrôle du dernier Concile imprimant aux textes adoptés (les fameux « schémas ») une interprétation relativiste et évolutive, qui, en fait, n’a rien à envier aux pires errements du début du XXème siècle, heureusement circonscrits par Pie X. Je ne peux m’attarder ici sur le sujet qui mérite une étude bien plus approfondie, hors de propos dans le cadre de cet article.

  • « La dictature du relativisme« [5] de ce même Pr  Roberto de Mattei.  Ouvrage assez court qui, en les condensant, illustre très bien les dérives et apostasies, dénoncées dans l’ouvrage précédent. Très proche de l’ouvrage de Marcel de Corte dont il constitue un excellent prolongement dans la mesure où Roberto de Mattei, décortique pour nous, avec une clarté rare, la genèse de cette pensée relativiste (il reprend le terme des écrits et discours de Benoît XVI) qui a envahi la sphère politique, intellectuelle, médiatique du monde occidental de la fin du XXème siècle et du début du XXIème et en a obscurci définitivement le rapport qu’elle pouvait encore entretenir avec la vérité, le réel. Il en démonte les tactiques, les méthodes et, surtout, les objectifs, purement nihilistes, puisqu’ils n’ont d’autre but que de détruire toute trace, tout souvenir, d’une quelconque réalité transcendante de l’homme et du monde. Ce qui, tout, logiquement, amène à rejeter toute référence à une nature humaine soumise à une quelconque loi naturelle, telle par exemple que les Grecs l’ont pensée et qui a trouvé son achèvement dans la civilisation chrétienne. Une idéologie qui nous ramène donc en-deçà de l’homo-sapiens et qui, parce qu’elle nie la réalité transcendante du monde et des hommes, aboutir à inventer un « droit » affranchi de tout modèle universel (et singulièrement chrétien bien sûr). Un droit, des lois, qui n’envisagent les règles sociétales, morales, anthropologiques qu’assujetties à une immanence radicale, à un positivisme absolu. Ce qu’on appelle justement le relativisme : rien n’a de vérité que mon désir, mes besoins, mes instincts érigés sous forme de consensus.  Que demain on nous persuade que la pédophilie constitue un « droit », aucune valeur morale, spirituelle, anthropologique objective, ne pourra s’opposer à ce que ce « droit » soit imposé par une loi à laquelle nous devrons nous soumettre, comme l’a été la loi sur le dégradant pseudo-mariage homo.

On conçoit qu’une telle exaltation des instincts et des désirs individuels, fermés à toute possibilité d’élévation morale et non soumis à un principe transcendant, s’émancipant de toute loi naturelle et surnaturelle ne peut aboutir :

         1/ qu’à la revendication des pires  transgressions à être reconnues et à bénéficier de « droits ». Puisqu’il  n’y a plus de vrai et de faux, il n’y a plus non plus de beau et de laid (voir l’art dit contemporain) ni de mal et de bien. Il est logique alors que chacun puisse avoir le droit de s’en donner à cœur joie à l’aune de ses bons ou – plus souvent – mauvais penchants, en toute reconnaissance légale. J’y reviendrai plus loin avec quelques exemples.

         2/ et qu’à la tyrannie absolue car là où n’existent plus de règles basées sur la recherche et la reconnaissance du vrai et du faux, du juste et de l’injuste, du noble et de l’ignoble, du bien et du mal, c’est à dire de ces valeurs auxquelles l’action humaine doit se soumettre, il n’y a plus que la force qui puisse régler les relations humaines et les inévitables conflits d’intérêts entre les hommes. Toute forme de relativisme ne peut aboutir qu’au nihilisme. C’est alors ceux qui auront les désirs les plus exaltés, la détermination la plus grande, l’aveuglement instinctif le plus obsessionnel qui l’emporteront sur les autres. Et c’est ainsi que le nihilisme actif de « minorités agissantes » aboutira à l’esclavage du plus grand nombre. Et ceux qui tenteront de s’opposer au nom de quelque principe ou valeur que ce soit, seront ostracisés, écartés « discriminés », disqualifiés, en attendant d’être persécutés, comme le furent les centaines de millions de victimes  sacrifiées à l’holocauste « révolutionnaire » sous toutes ses formes au cours des deux derniers siècles et demi.

         Voyez comment une aberration anthropologique, morale, biologique, psychologique, sans même évoquer l’aspect religieux, telle que le « pseudo-mariage pour tous » que je prenais comme exemple plus haut, a pu s’imposer chez nous légalement, alors que l’ensemble des forces saines (Dieu merci l’immense majorité) de notre société y était opposé dès le moment où des initiatives courageuses se sont donné pour tâche d’ouvrir les yeux du plus grand nombre.

         Il y a là derrière le travail de sape et de pression de deux ou trois associations fortement engagées dans la destruction « relativiste » de notre civilisation, associations fort actives dans toutes les grandes instances internationales – dont l’O.N.U et l’U.E – où elles pratiquent un « entrisme » extravagant et bénéficient de subventions versées à partir de nos impôts. Fort actives aussi dans les milieux politiques, judiciaires, médiatiques, et éducatives…si on peut encore employer ce mot quand on découvre le projet d’inculquer le sens de la transgression à nos enfants dès la maternelle dans nos écoles.

 

Vraiment la lecture de la « Dictature du Relativisme » devrait ouvrir les yeux des plus distraits ou des plus incrédules et les amener à regarder désormais les choses de plus près, à écouter les discours qu’on leur sert avec un peu d’esprit critique, s’ils veulent que leur culture, leur pays,  continuent à vivre et s’ils veulent eux mêmes continuer à bénéficier de leur inaliénable dignité d’être humain, « créé à l’image et pour la ressemblance de Dieu » comme  je l’écrivais il n’y a pas si longtemps sur ce même site. Non que ce petit livre nous donnes des « recettes » politiques, mais il nous offre quelque chose de plus rare : la mise à nu des ressorts philosophiques et doctrinaux les plus profonds à l’origine de la crise du modernisme et du post-modernisme, qui ne sont, comme je l’ai dit plus haut, que des étapes vers la voie du relativisme, du nihilisme, et, en dernier ressort, d’une forme de dictature idéologique comme le monde n’en a jamais connu. De la barbarie à l’état pur.

 Cela nous ramène à l’allusion à l’œuvre de Tolkien par laquelle j’ai ouvert cette réflexion de début d’année.

La Chrétienté médiévale où communiaient tous les peuples européens, dynamitée par la Réforme et la Révolution, s’est abîmée en une mosaïque de « nations » farouchement concurrentes les unes des autres, apostasiant progressivement les liens spirituels qui les faisaient, malgré leurs divergences, membres d’une même famille. La communion dans l’ordre chrétien étant peu à peu effacée au profit des différentes idéologies issues des « lumières »; les idées de « liberté » et d' »égalité » détachés de la source spirituelle qui les avaient enfantées et devenues « folles » (cf. G.K Chesterton), enflammant les cervelles des Européens, il s’ensuivit la série de révolutions et de guerres qui ont ensanglanté notre continent pendant deux siècles et qui ont essaimé partout dans le monde, y apportant révoltes, violences, ruines et mort. Quant à la « fraternité », troisième terme de la fameuse devise de la France née en 89, elle représentait une idée mort-née. Comment peut-il y avoir « fraternité » là où il n’y plus de Père commun ? Comment peut-on conjuguer le verbe « fraterniser » dans la langue de la « lutte des classes » ?

Dernière étape de ce grand travail universel de sape destiné à chasser toute référence à l’ordre naturel et surnaturel sur lequel les institutions humaines doivent se construire, pour le remplacer par l’ordre luciférien d’un Homme se donnant ses propres lois et s’affirmant comme Dieu à la place de Dieu, donc habilité à transgresser la nature et assurer ainsi sa Chute finale. Vous comprenez mieux ainsi le sens du « pseudo-mariage homo » ou les projets concernant la MPA, GPA et autres aberrations.

Il s’agit donc, en cette dernière étape, de dissoudre les nations lobotomisées, c’est à dire amputées de leur âme spirituelle (le Christianisme) privées de leur mémoire historique (la dés-éducation menée par l’Ecole depuis soixante ans) de leur identité (immigration exponentielle, métissage obligatoire et multiculturalisme) de leurs reflexes de survie (antiracisme dévoyé et érigé en  techniques de terrorisme intellectuel aux mains « d’une intolérable police [juive] de la pensée », comme le dénonçait Mme Annie Kriegel, Juive elle même, dans les colonnes du Figaro en 1990) et de leur esprit critique (travail permanent de désinformation des médias officiels) pour les fondre dans un grand ensemble indifférencié – qu’on appelle Mondialisme – facile à manipuler grâce aux puissants moyens coercitifs des systèmes d’information et de communication, de conditionnement, de manipulation modernes tous aux mains des vrais décideurs. Ceux que nous ne voyons jamais mais qui instrumentalisent les grandes structures internationales, étapes intermédiaires destinées à préparer l’opinion à accepter la mise en place d’un pouvoir mondial. En fait d’une tyrannie universelle.

La mise en place de la Société des Nations en 1920, de l’ONU en 1945, celle de l’U.E en 1992 font partie de ces structures internationales, dont la faiblesse et l’inefficacité sur le plan politique, font oublier le formidable pouvoir de nuisance qu’elles peuvent avoir sur le plan culturel et sur le façonnage des mentalités en assortissant l’accès à leurs subventions de véritables ultimatums idéologiques aux pays demandeurs : ouverture des législations au « droit » à l’avortement, aux « droits » des homo, à la promotion de l’immigration-invasion-colonisation et j’en passe.

Je ne peux détailler outre mesure ici, mais la lecture de Roberto de Mattéi, saura vous apporter les éléments de réflexion indispensables.

« Mais« , me demanderez-vous « quels sont les éléments actifs, les moteurs des orientations de ces institutions internationales mises en place par les nations elles mêmes qui, en apparence, en assurent le contrôle ?« . C’est simple : en grande partie ce sont les ONG (elles mêmes relais d’officines idéologiques beaucoup plus discrètes mais terriblement actives) dont le pelage de brebis humanitaires dissimule la nature de loups pervertisseurs.

Un exemple qui nous est donné par le Pr de Mattéi : le cas « du « Catholic For Free Choice » (CFFC), une des nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) qui oeuvrent dans le palais de Verre. Cette organisation a maintes fois demandé d’équivaloir le Vatican à n’importe quelle organisation religieuse, en lui enlevant ce droit de parole dans les assemblées qui, en qu’alité d' »‘observateur permanent », est au contraire reconnu au Saint-Siège et qui lui a jusqu’ici permis de prendre des positions nettes, en faveur, par exemple, du droit à la vie depuis la naissance jusqu’à la mort, et contre [la dite] « santé reproductive ».

Certaines délégations, avec l’appui de la haute bureaucratie onusienne, conçoivent ce terme (et celui de « droits reproductifs » ») comme une série de services qui incluent la suppression de l’être humain non encore né….. » (fin de citation)

Vous voyez la subtile arnaque qui fait dire aux mots le contraire de ce qu’ils signifient normalement :

D’abord l’adjectif « catholique » qui doit mettre les Catholiques en confiance alors que  ce comité pseudo-catholique là, s’efforce de chasser le Vatican – c’est à dire l’Eglise catholique elle même – de son siège d' »observateur permanent » à l’ONU pour le bâillonner dans sa lutte en faveur de la vie. Vous trouvez cela « catholique » vous ?

Ensuite les termes de « santé reproductive » et de « droits reproductifs » qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire naïvement en les lisant, n’oeuvrent pas pour favoriser la vie mais, bien au contraire, pour promouvoir l’avortement, la contraception, la régulation des naissances sans oublier l’euthanasie (comme on le découvrira en allant plus loin dans l’ouvrage). Si bien que « santé reproductive » et « droits reproductifs » ne sont que des arnaques sémantiques pour favoriser la culture de mort !

Et, au bout du compte, les nations qui refuseraient d’introduire dans leurs législations, les outils de cette culture de mort prônée par ces ONG, se verraient privées de subventions et même soumises à des sanctions. En tout démocratie bien sûr.

 

Oui, tous les jours le Mordor hollando-taubirao-socialo-nihiliste pénètre et asservit de Gondor que fut le royaume de France et la république française qui lui a succédé.

Certes les Sauron modernes n’utilisent pas des armées d’Orcs ou de Gibelins pour enténébrer la Terre du Milieu, ils utilisent, comme je l’ai dit plus haut, la sémantique relativiste et nihiliste, les faux droits d’un homme ramené à l’état primaire de ses instincts et désirs, niant toute forme de respect d’un supérieure.

Ainsi en Belgique certains parlementaires,  non satisfaits d’avoir réussi à imposer (dans l’indifférence générale des zombies que nous sommes devenus, nous occidentaux) la loi sur l’euthanasie pour les adultes (qui n’en demandaient pas tant) veulent-ils « faire bénéficier » les enfants de ce même « droit » à l’euthanasie ! 

Comme l’écrit Michel Schooyans dans le numéro 1557 du 4 janvier 2014 de l’Homme Nouveau : « Ce bénéfice pourrait être revendiqué par les adolescents chavirant dans un épisode aux cœurs brisés, par des enfants victimes de la séparation de leurs parents, par des élèves peu doués et en mal d’emploi, par des délinquants chroniques habitués des prisons. Moyennant une procédure accélérée, ce nouveau « droit » serait accordé aux enfants porteurs d’un handicap physique ou mental. Les parents pourraient invoquer ce « droit » pour échapper au « fardeau » qu’ils devraient supporter durant toute leur vie. La législation proposée s’inscrit dans un programme eugénique global, déjà bien implanté aux Pays-Bas [qui n’ont jamais mieux mérité cet adjectif – NDR]. En l’implantant en Belgique, ce programme formerait un nouveau maillon dans le cercle que voici : élimination des aliénés mentaux, des handicapés physiques, des malades incurables, des personnes dépressives, des enfants nés avec des malformations, des jeunes mal dans leur peau et las de la vie. Tous devraient exprimer librement leur volonté de bénéficier du « droit » à être euthanasiés. En cas d’incapacité de parler et de discerner, ce même « droit » serait exprimé par quelqu’un autorisé à agir par délégation. Il y a près de cent ans, les fondements idéologiques de pareil programme avaient déjà été exposés en Allemagne prénazie, par un juriste, Binding, et un médecin, Hoche [6]« 

A quand une statue d’Adolf Hitler en lieu et place de toutes celles qui furent élevées à  Louis Pasteur, à saint Vincent de Paul  ou à Mère Theresa de Calcutta ?

Et, à défaut de détruire physiquement nos enfants, on s’efforce de mettre en place un programme scolaire qui les détruira  irrémédiablement psychiquement et moralement.

Toujours dans cette même livraison de l’Homme Nouveau, on peut découvrir un grand dossier consacré au travail et à l’œuvre du père Daniel-Ange, prêtre, écrivain et fondateur du mouvement « Jeunesse-Lumière ».

Je vous offre quelques petits morceaux d’anthologie de cet homme sain et courageux qui aurait mérité de faire partie du groupe de hobbits chargés d’abattre la puissance maléfique de Sauron, de défendre le Gondor et de ramener  Aragorn sur son trône.

Voici ce qu’il écrit concernant  le lavage de cerveau dont  nos enfants – ces enfants que nous confions en toute confiance à l’école de « la république » – font l’objet :

Il commence par une citation.

Je le cite à mon tour :

« Laisser faire, c’est de l’ordre du crime passif.  » Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui regardent faire » (Einstein).

« Après le  » mariage pour tous » sésame ouvrant à toutes les aberrations possibles, en Hollande et aux USA, déjà, [on prépare] la légalisation en  vue de la pédophilie, en Suisse de l’inceste, en Allemagne…de la zoophilie (puisqu’on s’aime !). Dynamité, tous les tabous !

« Devant ces gosses fabriqués en commandant par le Net du sperme (tarifé au Q.I), en faisant inséminer une paysanne pauvre au Kerala, pour expédier l’enfant à New-York, et devoir dire papa à une femme, ou vice versa. Tout cela déjà massivement pratiqué avant toute législation. Devant ces enfants qui jamais ne connaîtront leur généalogie, sinon des paillets « made Sweden » et un ventre loué en Thaïlande, ne pas hurler, c’est de la lâcheté ! [c’est moi qui souligne]

« Devant les aberrations frisant la folie, de l’idéologie du Gender brutalement imposée à nos enfants, dès la crèche, saccageant leur simple bon sens humain, violant leur conscience, violentant leur intelligence. Comment se taire sans être complice ?[idem]

 « J’ai voulu, avant la rentrée scolaire, alerter les parents; les pasteurs chargés en priorité des plus petits de leur peuple, les prévenir de l’urgence de faire massivement objection de conscience (comme tant d’admirables maires nous en ont montré l’exemple) contre ce lavage de cerveau de leurs enfants. Nos idéologues qui veulent créer une nouvelle religion (cf. Hitler et Lénine) ont  beau affirmer pour nous amadouer que le Gender ne sera pas imposé dans nos écoles : mensonge ! Le mot est évité pour nous tromper, mais le contenu des programmes et les pratiques suggérées sont bel et bien ceux du Genrer. Preuve : le film Tomboy diffusé par l’Education nationale en cycle 3, avec soutien de la région Île-de-France, et diffusé par qui ? ….par le lobby LGBT [7]Conclusion du film : t’es garçon ou fille d’après le regard que les autres posent sur toi.

(fin de citation)

Arrêtons là l’évocation de la pensée du père Daniel-Ange.

Notons qu’elle n’a d’exceptionnel que la période dans laquelle elle a à s’exprimer. Car il est de fait que cette pensée est celle de toutes les générations saines qui ont précédé l’ouverture des égouts de l’enfer en mai 68 et mai 81 et le submersion de notre culture par les flots excrémentiels qui s’en sont échappés.  Qui, avant cette sombre période sauronienne aurait défendu et – pire encore – revendiqué les extravagantes prétentions homophiles, la GPA, la PMA, la défense sournoise mais de plus en plus intense en faveur de la pédophilie, de l’inceste, de la zoophilie, du mariage à quinze, de l’euthanasie pour adultes et enfants ?

Tout cela est en train de passer comme une lettre à la poste à cause de notre passivité et de notre veulerie.

A propos de l’euthanasie il m’est apparu en écrivant ces lignes, combien cette philosophie « socialiste » (si on peut appeler ces absurdités une philosophie) pouvait s’avérer non seulement irréaliste, mais contradictoire. Car après avoir supprimé la peine de mort pour les assassins, violeurs, pervers et autres tueurs en série (mais pour leurs victimes hélas) elle la réintroduit pour les honnêtes gens et même les enfants innocents, sous forme d’un « droit » à l’euthanasie-pour-tous !  

Ce triste constat (mais on pourrait en faire bien d’autres sur le plan économique, social, environnemental, c’est à dire tout ce qui touche la vie quotidienne de nos compatriotes) nous conduit à la partie plus particulièrement anthropocosmologique de cette réflexion.


Les Grandes Configurations de 2014

Les voici. Très simplifiées et traduites pour être comprises par les non-professionnels.

Les traductions proposées relèvent du seul ordre des probabilités. On n’est jamais sûr qu’une configuration va donner le pire ou le meilleur de ses possibilités. Cela dépend de la façon dont elle est reçue dans un thème particulier, car, je le répète, j’attache assez peu d’intérêt aux grands  » prévisions  » mondiales dans l’absolu, détachées d’un contexte spécifique. C’est pourquoi je me suis consacré et spécialisé dans l’analyse individuelle et non dans le pronostic collectif (ou « mondial » suivant le terme consacré dans notre discipline).

JUPITER opposé PLUTON : aspect qui accompagne souvent des période de troubles, de remous, de contestations des pouvoirs installés (aussi bien dans le domaine politique que dans le domaine social ou économique) entraînant des remaniements structurels dans les domaines intéressés. L’aspect a souvent été associé à des abus de pouvoir fanatisme, corruption, persécutions religieuses et/ou politiques.  Vous pouvez  mettre des noms sur chacune de ces plaies. L’actualité vous en fournit tous les moyens.

– Tonalité fondamentalement contestataire, souvent scandaleuse, haineuse et destructrice.

A  noter : Survient exactement les – 31/01 et le  20/04, mais son effet peut se manifester plusieurs semaines avant et après l’aspect exact.

JUPITER carré URANUS : fait craindre des conflits d’autorité, des ruptures diplomatiques, une grande instabilité boursière, yo-yo des valeurs cotées.  Assez favorable aux tremblements de terre et aux épidémies possibles, ainsi qu’aux « pronunciamentos » et autres mouvements aussi bien révolutionnaires que contre-révolutionnaires ou aux périodes de scission, de ruptures et de prises d’indépendance.

– Tonalité plutôt extrémiste, voire autoritaire

Intervient les 25/02 et 20/04 – Même observation que précédemment.

JUPITER trigone SATURNE : favorable aux tentatives de remise en ordre – à l’élaboration de projets à long terme – à la signatures d’accords et d’alliances – à réparer les erreurs et échecs du passé .

– Tonalité plutôt conservatrice et constructive.

Survient le  24/05. Même observation.

JUPITER trigone URANUS : après l’anarchie, la réaction, aspect de remise en ordre, de redressement, de régénération, de renforcement liens de solidarité autour d’un principe, d’un projet ou d’une personnalité charismatique – favorable à définir un nouveau cap…

– Tonalité de remise en ordre, de « fin de partie ».

Intervient le 25/09. Même observation.

  •  Les Aspects mineurs

(pouvant intervenir d’une façon ou d’une autre dans la marche des événements, notamment en renforçant la tonalité des grands configurations).

MARS conjoint SATURNE : peut concerner la défense nationale ou notre appareil industriel pour lequel il évoque une période assez dure allant vers la stabilisation (versus positif) ou la restriction (versus négatif) dans les domaines de l’activité et de l’emploi Effets souvent associés à cette configuration (heureusement assez rapide)  : accidents, explosions, incendies – émeutes, violences provoquant un renforcement des contrôles

Survient le 25/08 sur le 18ème degré du Scorpion.  Toujours même observation

MARS conjoint PLUTON : aspect de transformation et d’évolution qui touche là encore à l’industrie, à l’armement, au nucléaire – diss : conflits armés, accidents, explosions.

Exact le 10/11 sur le 12ème degré du Capricorne

 

  • Reste le fameux aspect : URANUS carré PLUTON qui fait de la période 2012-2015 une période cruciale pour la France (et pour l’humanité bien entendu) dont l’Ascendant, le SOLEIL et MERCURE sont situés très exactement sur les degrés impactés par la dissonance.

Je vous en ai déjà beaucoup parlé dans toute une série d’articles publiés depuis 2012 et auxquels je vous renvoie si vous souhaitez avoir une vue d’ensemble pour en comprendre la signification.

 Je vous rappelle que cet aspect redoutable est relativement assez rare. Un cycle complet se développe sur des moyennes allant de 113 à 141 ans.

Ce qui veut dire qu’outre leur rencontre (conjonction = début du cycle) ces deux planètes entrent en conflit (carré croissantoppositioncarré décroissant et nouvelle conjonction) dans des périodes allant de 28 à 35 ans en moyenne.

L’avant dernière période où  ces Corps Célestes sont entrés en conjonction engageant un nouveau cycle remonte aux années 1965 – 1966 où ils se sont rencontrés trois fois :

         09/10/1965 sur le 18ème Vierge

         05/04/1966 et 01/07/1966 sur le 17ème ° Vierge.

Longue période de ravage (car, ainsi que je l’expliquais plus haut, les effets d’un aspect entre planètes lentes, commence bien en deçà et se poursuit bien au-delà des aspects exacts) particulièrement graves du fait que cette triple conjonction survenait à l’opposé de Saturne qu’on pourrait associer ici aux fondements et les structures, moraux, intellectuels, politiques et juridiques qui permettent à une société de se construire et de durer). Saturne donc,  « attaqué » par :

         URANUS : individualiste, révolte, rupture avec les règles et instauration de l’individualisme les 01/04 – 28/08 1965 ainsi que les 24/02 et 08/11 1966 puis encore le 06/01/1967.

         PLUTON : transgression, corruption, implosion et mort d’un système, décomposition (en vue d’une future recomposition, dans le meilleur des cas) les 23/04 et 17/08 1965 puis les 20/02 1966.

L’analyse de ces correspondances et de leurs conséquences sur le plan sociétal et culturel ont été analysées en détail dans les articles que j’ai évoqués et auxquels je vous ai renvoyés. Je n’y reviendrai donc pas de manière détaillée.

Nous sommes donc dans la phase dite « Carré croissant »  : URANUS s’éloigne de PLUTON et forme avec lui un angle de 90° (un « carré » en langue anthropocosmologique) à partir du BELIER , alors que PLUTON continue à transiter en CAPRICORNE

Et là, nous n’avons pas trois rencontres comme en 1965/1966…mais SEPT !

Un record:

2012 : 24/06 et 19/09

2013 : 20/05 et 01/11

2014 : 21/04 et 15/12

2015 : 17/03

 Les différents chocs intervenant en 2014/2015 entre :

         le 14ème – le 13ème  et le 16ème degré du Bélier et du Capricorne, avec impacts déstabilisants sur les mêmes degrés de la Balance et du Cancer.

 Ce qu’il s’agit d’observer ici, c’est qu’un « carré  croissant » évoque – sur le plan collectif qui nous intéresse ici – le point d’extension maximum des idéaux, mots d’ordre, référents politiques, culturels, sociaux, sociétaux apparus au moment de la conjonction. C’est à dire, en l’occurrence, de ce qui a été mis en place dans la période 1962 à 1969 (entrée en orbe de conjonction / dissolution de la conjonction)

Période cruciale pour l’Occident, et pour la France.

Quelques points forts émergent du flot des événements incessants à travers lesquels le monde accouche de nouvelles figures plus ou moins marquantes dans l’évolution des mœurs et des sociétés et dans lesquelles il est quelquefois difficile de se repérer. Donnons quelques exemples significatifs.

  • Politique et Géostratégie.

Cette période est celle où la France (puis le Portugal) achèvent le processus de décolonisation entrepris, chez nous, par la 4ème république (Tunisie, Maroc) puis par De Gaulle, décolonisation de l’Afrique et abandon des douze départements de l’Algérie française aux mains du FLN qu’on qualifiait pourtant la veille d’organisation rebelle constituée de bandes, d »égorgeurs » et de « terroristes« . Ce qui était loin d’être faux.

  • Religion, Culture, Civilisation

L’Eglise accueille le cheval de Troie du libéralisme et du modernisme en son sein lors de Vatican II et, tout en gardant ses structures apparentes, laisse contaminer – sauf en de rares institutions qui résistent encore à la subversion idéologique et constituent sans doute le germe de la renaissance future (du moins je l’espère) – la substance même de sa doctrine. Les concepts chatoyants de liberté religieuse, d’œcuménisme, d’indépendance Eglise/Etat, de royauté du Christ, qui apparaissaient jusque là parfaitement clairs, tels qu’ils peuvent être désormais interprétés dans les textes conciliaires, se muent (en parfait accord avec les correspondances plutoniennes d’inversion et de perversion) en facteurs de division et de subversion généralisée.

On substitue aux positions doctrinales incessamment réaffirmées par le Magistère, les Conciles et la Tradition, une « pastorale » aux contours assez flous pour flouer tout le monde. Ce que Benoît XVI appellera – dans un retentissant discours à la Curie de décembre 2005 – « l’esprit du Concile« ….et que Paul VI (pourtant responsable suprême du désordre installé… avec Jean XXIII) avait déjà dénoncé lui, beaucoup plus  crûment comme « les fumées de Satan entrées dans l’Eglise« . Nouvel exemple d’incendiaire se voulant pompier.

  • Société, Mœurs,

Sur le plan des mœurs c’est la grande crise de 68 et les mots d’ordre qui sont tous polarisés contre les fondements spirituels et moraux de notre société, pour la ramener aux délices d’un individualisme et d’un hédonisme qui prennent de plus en plus les formes d’un abêtissement (au sens propre qui est de nous ramener à des comportements bestiaux) généralisé, accepté, encouragé. Plus de règles, plus de discipline, plus de respect (des parents, des professeurs, etc…) plus de respect de soi non plus, plus de pudeur, de réserve, de dignité. Il n’y a qu’à assister à une « gay-pride » pour être fixé sur la capacité de l’être humain à adopter des comportements dégradants. Que diable, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Et le plaisir animal est désormais ce qui doit primer sur tout le reste (le devoir, l’effort, la discipline, la fidélité, l’engagement, le patriotisme etc…)  qui ne sont qu’inventions de la société bourgeoise oppressive et aliénation de notre capacité de jouissance au profit du système production/consommation (Herbert Marcuse dixit, qui fut le grand inspirateur de l’époque).

Bref, je n’insiste pas, vous connaissez la « philosophie » soixante-huitarde aussi bien que moi et il me paraît inutile de la détailler ici.

Rappelons aussi que c’est le moment de l’apparition de « la pilule » qui va si profondément transformer notre rapport à la sexualité et amener progressivement à considérer la procréation, au mieux comme un mal à subir, au pire comme une maladie dont il faut se prémunir ou se guérir par tous les moyens. D’où la loi sur l’avortement « en cas de grande détresse » devenue au fil du temps, un « droit » à sacrifier les plus faibles d’entre nous aux aléas du libertinage de leurs parents. « Droit » à satisfaire et à rembourser…comme une maladie ! « Droit » qui sera bientôt aggravé par une loi en préparatin.

Voilà trois grands faisceaux de bouleversements  de notre société apparus sous le parrainage cosmique de la rencontre URANUS/PLUTON.

 Rappelons pour mémoire et très sommairement, que la précédente rencontre s’était effectuée autour de 1851 et avait installé l’Europe et la France (avec le règne de Napoléon III) dans la logique et les structures de la ploutocratie par l’avènement définitif du capitalisme (donc du matérialisme) et de leur mépris pour toute autre considération autre qu’économique, mercantile, financière. C’est la période de la victoire définitive des efforts de Mayer Amschel Rothschild (23 février 1744 – 19 septembre 1812) qui disait : « donnez moi la monnaie et peu importe qui fait les lois » et dont les cinq fils, dans les cinq plus grandes capitales d’Europe, font la pluie et le beau temps dans le monde économique qui va, de plus en plus, supplanter le monde politique et ses immémoriales institutions.

 A quoi il faut peut-être ajouter la contagion des névroses de cette société bourgeoise, grossière, cupide et éprise de respectabilité, qui se traduit par une forme aigüe de ce puritanisme étroit aux multiples manifestations, que l’Histoire a qualifié de « victorien » (la reine  puis impératrice Victoria – 1837-1901 – et l’empire britannique arrivent au faîte de leur puissance à partir de ces années 1850) et par lequel les besogneux cupides devenus patrons veulent faire oublier d’où ils viennent en caricaturant les manières de l’aristocratie d’Ancien Régime, infiniment plus détendue et humaine qu’eux. Toute l’ouvre de Balzac (qui meurt justement en 1850) illustre génialement les principes qui allaient gouverner notre société  autour de la nouvelle rencontre URANUS/PLUTON qui, après le démarrage de l’Ere Industrielle (rencontre URANUS/NEPTUNE autour de 1821) installait l’Ere Ploutocratique – en somme une resucée du « Veau d’Or » – au cœur d’un monde autrefois humaniste et chrétien.

Il était donc tout à fait logique qu’au nouveau cycle démarré entre 1962/1969, les principes qui avaient gouverné le monde au cœur du XIXème siècle fussent radicalement remis en question par les cervelles agitées de mai 68, au profit d’un freudo-marxisme de défoulement, constituant un remède pire que le mal. S’il est possible.

Cela très rapidement et sommairement précisé, que voyons nous se déployer sous nos yeux en cette période 2012/2015 où le cycle est arrivé à son point d’extension maximum  en sa période de CARRE CROISSANT  ?

Essayons de synthétiser.

  • Si je reprends les trois points de comparaison que j’ai choisis pour les années 1962/69, je constate ceci :

  • La décolonisation africaine et maghrébine s’est traduite par  une invasion-colonisation à rebours. Il suffit de prendre le métro ou de pénétrer dans certains quartiers de nos grandes villes et villes moyennes, quand ce n’est pas de nos villages, pour se croire arrivé dans la casbah d’Alger ou la banlieue de Tombouctou. Un ami ex-président d’un important parti politique dans les années 80/90 m’écrivait ce matin encore que dans le fameux « 93 » il y a désormais plus de mosquées (220) que d’églises (200). La basilique de saint Denis (patron de la France) qui représente (avec la cathédrale de Reims) le cœur de notre nation en tant que chrétienne est désormais cernée, immergée, par ceux là mêmes que saint Louis étaient partis combattre pour délivrer les Lieux Saints au treizième siècle. Quand on sait que les deux Croisades entreprises par le saint roi,  démarrèrent à saint Denis où le monarque, avant de se mettre en route, venait, pieds nus et vêtu d’une simple tunique en signe de profonde humilité, prendre les étendards royaux que la basilique, nécropole de nos Rois, abritait…on constate le chemin parcouru….à rebours.[8]

Le « nous sommes tous des juifs allemands » de Kohn-Bendit de 68, pourra bientôt se traduire par « nous serons tous des islamistes arabo-africano-irano-turco maghrébins » à plus ou moins brève échéance. Les statistiques démographiques sont éloquentes par elles mêmes. C’est pourquoi on les travestit.

  •  Concernant le deuxième point, celui concernant la crise culturelle et religieuse, j’extrais de la lettre que j’écrivais hier à cet ami que j’évoquais un peu plus haut, le paragraphe suivant concernant l’avenir de notre pays :

 » Je ne parle même pas de l’Eglise dite de France, autrefois grande force spirituelle qui pouvait animer une résistance aux idéologies qui nous tuent et galvaniser le rejet de l’envahisseur sarrasin : Jean-Paul II a embrassé le Coran, le Primat des Gaules se vante de pouvoir réciter la prière des morts sur la tombe d’un musulman et reçoit des imams dans sa cathédrale (en fait la nôtre) nos évêques vendent leurs églises et leurs terrains pour y édifier des mosquées, quant à François 1er, il n’a pas de mots assez doux pour vanter les charmes de la religion musulmane dans sa vision béatifique d’un l’œcuménisme, complètement dénaturé et idéologisé.

Tu as peut-être raison : il ne nous reste que la prière et les processions. Mais il nous manque cruellement une sainte Geneviève ou une Jeanne d’Arc.

Après tout, si notre pays, notre culture, notre civilisation ont décidé de se suicider, s’ils n’ont plus la force ni l’envie de survivre, que peut-on faire ?

Je suis quelquefois très heureux d’avoir 74 ans et d’avoir presque terminé ma course. Je ne reconnais pas le pays qu’on m’avait appris à aimer et à admirer, la patrie des héros et des saints; et son atmosphère m’est devenue irrespirable. »

J’ajouterai qu’on ne peut même pas dire du catholicisme moderniste en France, qu’il est comme le Canada-dry par rapport au Whisky. Par de nombreux points que je ne peux analyser ici car ce n’est pas le propos de cet article, il est devenu une sorte de contrefaçon, quelque chose entre la caricature et l’apostasie manifeste. Je ne sais si on peut vraiment confondre Canada-dry et Whisky (les spécialistes des deux boissons nous renseigneront peut-être) mais on ne peut pas confondre un prêtre moderniste et un prêtre authentique, une messe traditionnelle et une « eucharistie » postconciliaire, la vision de Dieu, de l’homme et du monde d’avant Jean XXIII et celle d’après. De même qu’on ne peut comparer la France d’avant 1793 et celle d’après.

La fracture est radicale et déterminée. Il ne s’agit pas d’une crise évolutive, mais d’une séparation, d’un divorce absolu. J’aurai peut-être un jour l’occasion d’y revenir quoi que j’aie déjà beaucoup traité de ces questions au fil de mes articles précédents.

  • Mais c’est dans le domaine qui concerne les mœurs, la société, la culture que les choses s’avèrent les plus radicales pour notre pays et qu’elles viennent parachever le travail de destruction de notre société entrepris en 1962/69.

Notons qu’il va de soi que ces trois domaines n’ont été distingués que par souci de méthode : les crises civilisationnelle formant un tout dans lequel chacun des domaines considérés – politique, culturel, moral, social, scientifique, etc…- joue sa partie…sous la conduite unique du même chef d’orchestre luciférien.

On peut dire que la loi du 18 mai 2013 instituant la reconnaissance d’un « mariage entre personnes de même sexe » constitue la marque emblématique du symbolisme Urano-Plutonien.

Observons aussi que cette loi intervient deux jours avant la première conjonction URANUS-PLUTON qui survient le 20 mai 2013.

Pouvait-on espérer un « signe » plus éloquent  à l’appui des considérations anthropocosmologiques ?

Mais le gouvernement Hollande que les maîtres occultes la « culture de mort » à l’œuvre dans la société mondiale, ont suscité pour la France ne va pas en rester là.

 

Pour vous reposer un peu de ma prose, je vous offre la reproduction d’un article publié dans le dernier N° 886 du 14 janvier 2014 de l’excellent mensuel « Monde et Vie » et signé Florence Craye. Article qui est venu à point nommé pour contribuer à étayer ma propre réflexion :

Le titre de l’article :  » Hollande-express : ruiner la société« 

 Je cite :

 » Ne dites plus que le gouvernement Hollande ne tient pas ses promesses. Il mène depuis son arrivée au pouvoir une offensive de très grande envergure, systématique et déterminée, contre le respect de la vie et l’intégrité de la famille. C’était écrit.

Le « mariage pour tous », le remboursement de l’« IVG » à 100 %, les attaques fiscales contre les familles ne lui ont pas suffi. Hollande l’indécis n’attend pas lorsqu’il s’agit de saper les fondements de la société. Il continue un travail auquel la droite libérale a for­tement contribué. Mais la cadence s’est accen­tuée : c’est une folle course vers le néant. [en analogie avec le dynamisme même de la nature « activiste » d’un « carré croissant » pour en revenir aux aperçus anthropocosmologiques]

Et ce n’est pas de l’« enfumage ». En facilitant l’accès à l’avortement[9], en annonçant un nou­veau texte sur la fin de vie, en accueillant avec enthousiasme un texte sur le divorce-express, le pouvoir ne cherche pas à faire oublier le chômage, l’insécurité ou l’immigration incontrôlée. Le message est sans équivoque: la société telle que nous la connaissons est morte, ou doit mourir. Il n’y a plus de règles qui, si faiblement soit-­il, en renforcent les structures et les éléments. Plus de société, plus de nation par conséquent, plus de loi transcendante surtout.

« Droit à l’IVG »

Pour l’« IVG », le projet le plus radicalement contraire au respect de la vie que nous ayons connu, s’invite à la faveur de la loi sur « l’éga­lité femmes-hommes ». La loi sera discutée à partir du 20 janvier au Parlement. L’avortement, aujourd’hui de fait considéré comme un droit, y devient un droit légalement proclamé, ouvert à la femme sans autre restriction que celle du délai de 12 semaines de gestation.

Jusqu’à présent, tous les projets et proposi­tions de loi sur l’avortement affichaient, bien hypocritement il est vrai, une volonté de réduire le nombre des « IVG ». Rien de tel ici. Toutes les conditions et jusqu’à la mention de la « détresse » de la femme que l’opération devait soulager sont appelées à disparaître. Que le geste puisse avoir pour elle la séquelle d’une détresse à vie, tout le monde s’en moque.

En élargissant le champ de la loi réprimant l’entrave à l’avortement, l’objectif se précise encore. Najat Vallaud-Belkacem (ci-contre) ministre aux Droits des femmes et ses amis veu­lent pénaliser toute information disant la vérité sur l’avortement: un acte qui tue l’enfant, qui trau­matise la mère, qui est contraire à la justice. Rédi­gées en termes larges, les nouvelles dispositions de la loi menacent directement les manifestations pro-vie, les sites et les associations cherchant à aider les femmes à garder leur enfant.

Mais ce n’est pas tout.

L’euthanasie représentative

A défaut de pouvoir faire voter les morts, François Hollande a fait réunir un « panel de la diversité » de 18 Français qui avaient en commun de ne rien connaître à l’euthanasie, à la morale ou à la représentativité. Choisis par l’IFOP pour constituer une « conférence de citoyens », ils ont carburé sur le suicide assisté et l’euthanasie. Et c’est sur la base des conclusions de ces quidams, réunis trois week-ends avec des « experts » puis un quatrième pour synthétiser leur opinion, qu’une première feuille de route a été rendue. Elle recommande une ouverture à l’euthanasie d’exception et une légalisation du suicide assisté.

C’est au Danemark que le procédé a été inventé dans les années 1980. Il consiste à réunir 15 à 20 personnes censées refléter la diversité de la société, que l’on charge de réfléchir à une question scientifique ou éthique « confisquée » par les experts, afin de recueillir une « opinion citoyenne » de manière innovante. Manipulatrice, plutôt, puisque les mêmes experts viennent formater leur jugement ![10]

L’avantage évident pour Hollande et les siens est d’avoir élevé une sorte de barrière de protection constituée par «l’opinion citoyenne »: discréditer d’avance toute manifestation contraire. Le souvenir des immenses mobilisations de l’an dernier les a sûrement incités à la prudence. Le crime a besoin de discrétion, de nuits obscures et de manoeuvres en coulisses. Il faut anesthésier les consciences avant d’achever les mourants[11].

Divorces sans juge

Ce projet-là, le retour aux sources de la Révo­lution de 1789 qui avait très vite instauré le divorce-express par consentement mutuel, en est au stade de ballon d’essai. Dominique Bertinotti, ministre de la… Famille [Elle a un thème natal très explicite, fortement marquée par un potentiel de fanatisme idéologique, que j’examinerai un jour- NDR], s’est emparée de cette nouvelle révolution recommandée par le rapport sur « Le juge du XXIe siècle » remis il y a un mois au garde des Sceaux par Pierre Delmas-­Goyon, conseiller à la Cour de cassation. 80 % des affaires civiles devant les tribunaux concer­nent des divorces. II faut « simplifier », désengorger. Pourquoi ne pas laisser les gens se séparer tranquilles, enfants ou pas, devant un greffier ? Une formalité, bon marché et rapide, puisque de toute façon le mariage n’est plus qu’un contrat qu’il faut pouvoir dénoncer sans se préoccuper des coeurs brisés ou des enfants cassés au plus profond d’eux-mêmes.

Après quoi, dépouillé de sa signification, il n’y aura plus de contrat du tout. François Hollande n’a-t-il pas donné le ton ?

Florence Craye »

(Fin de citation)

 Vous avez là, à la fois une illustration saisissante de la façon dont les grands mouvements planétaires accompagnent les évolutions de la société, la traduction qu’on peut leur donner et, par conséquent, les indications qu’il nous offrent sur les dangers qui s’annoncent et les mesures à prendre pour les contrecarrer….pour les consciences assez évoluées pour échapper aux conditionnements collectifs.

Voilà donc la couleur de ce que nous aurons à vivre en 2014 : le parachèvement de ce qui a été entrepris il y a une cinquantaine d’années et qui arrive à son apogée destructrice.

Le reste : l’économie, le chômage, les relations internationales, l’emploi, etc subissant forcément l’impact d’une telle dégradation spirituelle car on ne pourra jamais trouver des solutions justes et durables aux problèmes humains en raisonnant faux à contre-courant des lois naturelles, du respect de la vie et de la dignité de l’homme et des institutions par lesquelles il assure et protège son épanouissement sur terre.

Dans le même temps où je prenais connaissance de cet article dans « Monde & Vie », un des mes amis et consultants, m’envoyait un « lien » vers un article d’Egar Morin (philosophe et sociologue qu’on peut difficilement soupçonner de souffrir de délire mystico-prophétique) paru dans la revue « Terraeco » en novembre 2011 et qui s’intitule  » Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe  » !

  •  Il y dénonce d’abord  «  la vitesse [comme faisant] partie du mythe du progrès« . Idée absurde qui nous vient du XVIIIème siècle et suivant laquelle  » nous allons grâce [à ce progrès] vers un avenir toujours meilleur »^.  Et la vitesse devenant le signe du progrès, « plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement ».

Et il ajoute un peu plus loin dans son interview, en répondant à une question du journaliste :  » Le développement techno-économique accélère tous les processus de production de biens et de richesses, qui eux-mêmes accélèrent la dégradation de la biosphère et la pollution généralisée. Les armes nucléaires se multiplient et on demande aux techniciens de faire toujours plus vite. Tout cela, effectivement, ne va pas dans le sens d’un épanouissement individuel et collectif  »

Voici quelques morceaux choisis de cet interview qui vous permettront de bien percevoir dans quelle dynamique nous nous trouvons, politiquement et économiquement parlant, et ce qui nous attend si nous ne savons prendre les mesures qui s’imposent, c’est à dire opérer notre « conversion » aux valeurs essentielles : Dieu, la vie, la famille, la patrie, le respect des équilibres naturels, la renonciation aux attitudes de cupidité effrénée ou de volonté de puissance (à l’américaine ou à la chinoise) qui nous conduisent à la  catastrophe, la simplicité, la modestie, le partage, le souci de l’autre, le Bien Commun (qui n’est pas – et de loin – la « Volonté générale » de Rousseau  :

  • … »Nous sommes prisonniers de l’idée de rentabilité, de productivité et de compétitivité. Ces idées se sont exaspérées avec la concurrence mondialisée, dans les entreprises, puis répandues ailleurs… »

Exact Edgar, on nous force à perdre notre vie pour la gagner

  • ….. » Nous sommes pris dans un processus hallucinant dans lequel le capitalisme, les échanges, la science sont entraînés dans ce rythme. On ne peut rendre coupable un seul homme. Faut-il accuser le seul Newton d’avoir inventé la machine à vapeur ? Non. Le capitalisme est essentiellement responsable, effectivement. Par son fondement qui consiste à rechercher le profit. Par son moteur qui consiste à tenter, par la concurrence, de devancer son adversaire. Par la soif incessante de « nouveau » qu’il promeut grâce à la publicité… …. vise à toujours inciter à la consommation. Le capitalisme, par sa loi naturelle – la concurrence –, pousse ainsi à l’accélération permanente, et par sa pression consommationniste [sic], à toujours se procurer de nouveaux produits qui contribuent eux aussi à ce processus. …… »

Bien vu Edgar, à condition de ne pas oublier que le « communisme » qui voulut mettre en œuvre un « capitalisme d’Etat » visa les mêmes objectifs, développa les mêmes tares et aboutit aux mêmes processus de dégradation, sinon pires. Avec, en plus, la pénurie et la faim. Ne jamais oublier que « capitalisme » et « socialisme » ou « libéralisme » et « communisme » sont les deux mamelles de la même Louve. Non celle qui accoucha de Rome, mais celle qui enfant ce monde moderne si précédemment inhumain.

  • …. » Le drame de cette vitesse, c’est qu’elle annule et tue dans l’œuf la pensée politique. La classe politique n’a fait aucun investissement intellectuel pour anticiper, affronter l’avenir. C’est ce que j’ai tenté de faire dans mes livres comme Introduction à une politique de l’homme, La voie, Terre-patrie… L’avenir est incertain, il faut essayer de naviguer, trouver une voie, une perspective. Il y a toujours eu, dans l’Histoire, des ambitions personnelles. Mais elles étaient liées à des idées. De Gaulle avait sans doute une ambition, mais il avait une grande idée. Churchill avait de l’ambition au service d’une grande idée, qui consistait à vouloir sauver l’Angleterre du désastre. Désormais, il n’y a plus de grandes idées, mais de très grandes ambitions avec des petits bonshommes ou des petites bonnes femmes. …… »

Oui, quand on écoute et voit agir Hollande, Ayrault, Valls, Peillon, Bertinotti, Belkacem et leurs comparses, on ne peut qu’adhérer à cette analyse.

  • …. » Il (Morin parle ici de Sarkozy.NDR] symbolise une agitation dans l’immédiateté. Il passe à des immédiatetés successives. Après l’immédiateté, qui consiste à accueillir le despote libyen Kadhafi car il a du pétrole, succède l’autre immédiateté, où il faut détruire Kadhafi sans pour autant oublier le pétrole… En ce sens, Sarkozy n’est pas différent des autres responsables politiques, mais son caractère versatile et capricieux en fait quelqu’un de très singulier pour ne pas dire un peu bizarre. ….. »

Vous avez dit  » bizarre, mon cher Edgar« . Mais ce n’est pas bizarre. C’est le comportement naturel d’un bonimenteur de foire et d’un roublard de la politique. Et dire que certains le voient comme le « sauveur de 2017 ! »

  •  ….. » Moi je dis : la catastrophe est probable, mais il y a l’improbabilité. J’entends par « probable », que pour nous observateurs, dans le temps où nous sommes et dans les lieux où nous sommes, avec les meilleures informations disponibles, nous voyons que le cours des choses nous emmène à toute vitesse vers les catastrophes. Or, nous savons que c’est toujours l’improbable qui a surgi et qui a « fait » la transformation…… »

Et si cet « improbable » était un autre nom de la Providence et des intentions que Dieu a placées dans le destin de certaines nations ? Mais vous êtes trop marqué vous même par les formes de pensées dont vous dénoncez certaines dérives, pour pouvoir vous élever des causes secondes aux causes premières des maux qui nous frappent et, partant, d’atteindre aux solutions véritables. Mais pour vous aussi la « lumière » peut se faire et l' »improbable » devenir une réalité. En tout cas je vous le souhaite car vous le méritez.

  • ….. » Malheureusement, dans notre époque, le système empêche les esprits de percer. Quand l’Angleterre était menacée à mort, un homme marginal a été porté au pouvoir, qui se nommait Churchill. Quand la France était menacée, ce fut De Gaulle. …… Des grandes époques de crise épouvantable suscitent des hommes capables de porter la résistance. Nous ne sommes pas encore assez conscients du péril. Nous n’avons pas encore compris que nous allons vers la catastrophe et nous avançons à toute allure comme des somnambules…… »

C’est une évidence sur laquelle j’ai déjà maintes fois attiré l’attention sur ce sit. Un système basé sur le nombre et la quantité (suffrage universel où l’ivrogne et le crétin ont le même poids électoral que le savant, le héros et le saint et où tous sont soumis au même matraquage de la désinformation médiatique) ne peut susciter des élites; il tend inévitablement à l’enlisement dans la moyenne – autre nom de la « médiocrité« . Edgar Morin dénonce le « système qui empêche les esprits de percer« . Je ne sais s’il a le courage d’aller jusqu’au bout de ce qu’implique la notion de « système ».

Arrêtons là le témoignage de cet observateur lucide et honnête de la crise dans laquelle nous sombrons, mais trop marqué par ses origines intellectuelles, pour en percevoir les ultimes fondements, et passons à la suite de cette étude[12].

 

 PREVISIONS POUR LES DOUZE SIGNES

 

Je ne m’étendrai pas outre mesure sur ce sujet puisque je prends la peine de publier une « prévision virtuelle » pour chacun des douze signes tout au long de l’année. Il suffit donc d’aller dans la rubrique « ACTIVITES » puis « ANNEE SOLAIRE DES DOUZE SIGNES » pour en apprendre un peu plus.

Tentons néanmoins une synthèse ici en reprenant les grandes configurations que j’ai décrites au début de cet article et la traduction rapide que j’en ai donnée.

  • JUPITER opposé à PLUTON : Tonalité fondamentalement contestataire, souvent scandaleuse, haineuse et destructrice. A  noter : Survient exactement les – 31/01 et le  20/04, mais son effet peut se manifester plusieurs semaines avant et après l’aspect exact.

Concerne essentiellement les 2èmes décan des natifs du CANCER-CAPRICORNE et, par aspect indirect les 2ème décans des natifs BELIER-BALANCE.

Peut favoriser – très modérément – les 2ème décans des natifs TAUREAU-SCORPION ET VIERGE-POISSONS-

  • JUPITER CARRE URANUS : fait craindre des conflits d’autorité, des ruptures diplomatiques, une grande instabilité boursière, yo-yo des valeurs cotées.  Assez favorable aux tremblements de terre et aux épidémies possibles, ainsi qu’aux « pronunciamentos » et autres mouvements aussi bien révolutionnaires que contre-révolutionnaires ou aux périodes de scission, de ruptures et de prises d’indépendance. – Tonalité plutôt extrémiste, voire autoritaire

Intervient les 25/02 et 20/04 –

Concerne les 2èmes décans des natifs CANCER-BELIER et, par ricochet, les 2èmes décans CAPRICORNE-BALANCE.

Peut favoriser les 2ème décans POISSONS-SCORPION-LION-SAGITTAIRE

  •  JUPITER trigone SATURNE : favorable aux tentatives de remise en ordre – à l’élaboration de projets à long terme – à la signatures d’accords et d’alliances – à réparer les erreurs et échecs du passé.- Tonalité plutôt conservatrice et constructive.

Survient le  24/05. Favorise les 2ème décans des natifs CANCER-SCORPION-POISSONS.

  • JUPITER trigone URANUS : après l’anarchie, la réaction, aspect de remise en ordre, de redressement, de régénération, de renforcement liens de solidarité autour d’un principe, d’un projet ou d’une personnalité charismatique – favorable à définir un nouveau cap — Tonalité de remise en ordre, de « fin de partie ».

Intervient le 25/09. Favorise les 2ème décans LION-BELIER-SAGITTAIRE

 Les ASPECTS MINEURS

(pouvant intervenir d’une façon ou d’une autre dans la marche des événements, notamment en renforçant la tonalité des grands configurations).

  •  MARS conjoint SATURNE : peut concerner la défense nationale ou notre appareil industriel pour lequel il évoque une période assez dure allant vers la stabilisation (versus positif) ou la restriction (versus négatif) dans les domaines de l’activité et de l’emploi Effets souvent associés à cette configuration (heureusement assez rapide)  : accidents, explosions, incendies – émeutes, violences provoquant un renforcement des contrôles.

Survient le 25/08 sur le 18ème degré du Scorpion.

Donc attention pour les natifs du 2ème décan SCORPION (avec répercussion possible sur les 2ème décan TAUREAU-LION-VERSEAU).

 

  • MARS conjoint PLUTON : aspect de transformation et d’évolution qui touche là encore à l’industrie, à l’armement, au nucléaire – dissonnant : conflits armés, accidents, explosions.

Exact le 10/11 sur le 12ème degré du Capricorne

Attention donc aux natifs nés sous le 2ème décan du CAPRICORNE (avec répercussion possible sur les 2ème décan CANCER-BELIER-BALANCE)

 

Reste le fameux aspect : URANUS carré PLUTON

 

Vous le savez déjà, cet aspect concerne essentiellement :

Les natifs du 2ème décan CAPRICORNE-BELIER et CANCER-BALANCE.

N’oubliez pas qu’un mouvement planétaire ne provoque aucune conséquence concrète. Il indique une tendance avec laquelle il faudra compter. Il éclaire notre route et doit nous inspirer les bons comportements et les  bonnes décisions dans le cadre de notre condition spécifique (géographique, sociale, professionnelle, familiale, éducative, culturelle, etc….) et suivant notre niveau de conscience, de lucidité et l’orientation de nos attentes et préoccupations.

Donc à vous de jouer en fonction de ces diverses orientations qui pourront (en apparence) se révéler contradictoires pour certain(e)s.

En conclusion, le Gondor voit des nuées de plus en plus menaçantes envahir son ciel, mais peut-être y-a-t-il un Aragorn qui déjà se prépare à s’attaquer au pouvoir de Sauron et aux armées de la « culture de mort » qui oeuvrent à son service.

Bonne année 2014 et bon courage. Dieu vous garde tou(te)s !

 

LSM

 

PS : En article annexe, je vous offre  en cadeau de bonne année,  le texte extraordinaire publié par le plus grand philosophe russe du XIXème siècle, Vladimir SOLOVIEV (1853-1900) pour évoquer de manière quasi prophétique, l’état d’apostasie et d’affaissement spirituel de l’Europe occidentale à la fin du XXème siècle. Si vous savez lire les signes des temps, vous vous apercevrez que ce texte est d’une brûlante et d’une douloureuse actualité.


[1] Edition revue et corrigée – Nouvelles Editions Latines – sept 1999

[2] Nouvelle Traduction – Texte intégral – Editions DMM, octobre 2011

[3] Editions de la Reconquête – janvier 2006

[4] MULLER édition – avril 2013

[5] MULLER édition – coll. Riposte Catholique – janvier 2011.

[6] L’ouvrage de ces deux « auteurs » « Euthanasie : Le dossier Binding et Hoche » a été traduit par Klaudia Schank et Michel Schootyans et édité aux Edition du Jubilé, coll. « Le Sarment », 142 p, 12 €

[7] Je précise qu’il s’agit d’un lobby très puissant dans les instances européo-bruxelloises qui lui allouent de confortables subventions…à l’aide desquelles elles se font intoxiquer et manipuler par ce même lobby. Certains lecteur de ces pages se demanderont peut-être ce que signifient ces initiales. Je leur propose  la traduction suivante : La Grande Bande de Tarés/Qualifiés (quand il y arrive qu’on ait la version LBGT/Q).

[8] Cette situation m’amène à faire quelques observations sur les statistiques démographique que j’ai entendues présenter et commenter ce matin sur France-Inter. Nous serions désormais 66 millions d’habitants en France métropolitaine et dans les cinq départements d’outre-mer.  La population de la France aurait donc augmenté de 9,2 millions d’habitant entre 1982 et 2011.  Cela – prend-on bien soin de nous préciser à plusieurs reprises – du fait essentiellement des naissances !

On se fout de nous. Car on apprend dans le même temps que la fécondité des femmes françaises se situe au-dessous des 2,1 nécessaires à stabiliser une population. Comment a-t-on pu alors gagner 9,2 millions d’habitants en trente ans, avec un taux de fécondité insuffisant,….très explicable avec, plus de 220.000 avortements annuels ? L’augmentation de la durée de vie peut jouer légèrement en ce sens, mais on comprend bien que là n’est pas l’explication. Elle se trouve quasi entièrement dans le phénomène de l’immigration-invasion et de ses taux de fécondité exponentielle – surtout si on y ajoute  la bigamie largement pratiquée par certains de ces populations –  qu’on présente comme constituant « la population française » . Ce que Renaud Camus appelle le « grand Remplacement »…..

 

[9] [Toutes les parties mises en gras  dans le corps de l’article sont de mon fait]

 

[10] Vous connaissez tou(te)s j’espère l’histoire de cet éminent professeur qui annonce, à l’ouverture de son cours, qu’il laissera à ses étudiants le choix du thème qu’il aura à traiter pour eux au cours de l’année. Lui se bornera au rôle de modérateur du débat entre eux et se conformera à leur décision.

Au bout d’un long  moment de discussions passionnées  les étudiants se mettent enfin d’accord pour définir le thème à traiter. Supposons que ce soit : la vie sexuelle des gastéropodes. Très bien dit le professeur. Il ouvre alors son mince porte-document et en tire les feuillets du seul et unique cours qui y est contenu. Et c’est « la vie sexuelle des gastéropodes« .

La technique est largement utilisée en matière de débats dans nos médias où les intervenants, tous choisis sur un profil bien déterminé,  finissent par consolider ce qui était censé prêter à discussion au départ.

[11] Où l’on voit que les méthodes du totalitarisme, qu’il soit « dur » à la Staline et à la Hitler, ou « mou » à la manière de Hollande, Peillon, Belkacem, Valls et consorts, est toujours le même : Staline suscitait des « témoignages » pour ses grands procès – Hitler et Goebbels fabriquaient des « preuves » (ex : l’incendie du Reichstag ) pour éradiquer les partis d’opposition, Hollande et les socialistes, inventent des « panels » conditionnés et manipulés à dire ce qu’on veut leur faire dire. C’est moins sanglant mais tout aussi efficace pour imposer des décisions arbitraires et profondément insanes.

[12] Comme je vous l’ai déjà conseillé à plusieurs reprises, si vous voulez des analyses d' »astrologie mondiale » de caractère plus prévisionnel que ce que vous pouvez lire sous ma plume, n’hésitez pas à visiter le site de Charles Ridoux dont vous trouverez le « lien » en première page de ce site.

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