SwastikaGay1Nous arrivons à la fin de cette longue étude sur un cas emblématique de désinformation historique avérée : celui de l’homodélirant Adolf HITLER (1).

Cette dernière partie – qui sera quasi essentiellement consacrée à des considérations anthropocosmologiques – nous a déjà permis de préciser plusieurs points :

  • L’homosexualité évidente et prouvée du personnage, grâce :

– à l’étude de ses relations affectives (toutes masculines et non équivoques)

– à l’absence totale de quelque présence féminine que ce soit dans sa vie jusqu’à l’arrivée (il a presque 40 ans) de Géli, cette malheureuse demi nièce qu’il va instrumentaliser et pousser au suicide en lui interdisant toutes relations avec son propre chauffeur, qu’il se réserve pour son usage personnel

 – à toutes sortes de témoignages consignés dans des rapports officiels de la police et/ou de l’armée allemande.

  • Homosexualité qu’il vit mal à cause de l’ostracisme dans lequel elle risque de l’enfermer avant la guerre de 14/18.

  • Homosexualité qui explique – en partie – sa haine des Juifs.

Car il attribue à la presse juive la responsabilité de cet ostracisme qu’il subit, du fait qu’elle a tiré à boulets rouges, pour ses déviations sexuelles, sur Eulenbourg, cet ambassadeur d’Autriche auprès du Kaiser allemand. Et, au-delà, a cruellement épinglé les mœurs et comportements des milieux homosexuels viennois. Presse juive qui a donc porté atteinte à « l’honneur de l’Allemagne » ce que Hitler ne lui pardonnera jamais.

  • Ainsi trois blessures semblent se potentialiser l’une l’autre.

– L’ostracisme lié à ses propres mœurs, dont je viens de parler et qui blesse cruellement l’égo de ce pervers-narcissique.

– L’humiliation infligée à l’Autriche et à l’Allemagne à travers la mise au pilori d’un grand personnage officiel du régime qu’est Eulenbourg; ce qui blesse profondément le chauvinisme du jeune Hitler

– A quoi s’ajoutera – cerise sur le gâteau – la troisième blessure virulente : la défaite de 1918 qu’Hitler attribuera aux officiers juifs (son propre lieutenant est juif) de l’armée allemande.

– Sans oublier l’éventuelle bâtardise de son père qui pourrait être l’enfant naturel des patrons (ou des amis des patrons) de la grand-mère Klara, comme nous le verrons plus tard.

Cela fait beaucoup pour une personnalité aussi déséquilibrée que celle d’Adolf.

  • Homosexualité qui, au contraire de la période d’avant guerre, deviendra après la guerre et dans l’effondrement des mœurs traditionnelles des Années Folles en Allemagne, la plus sûre alliée de sa carrière politique. Car les milieux nationalistes et militaristes de l’époque sont imprégnés d’un homosexualisme flamboyant idolâtrant la « virilité » par-dessus tout, profondément sectaire, brutal et surtout totalement anti féminin. C’est ainsi que notre futur Führer – séducteur et comédien né –  réussira à circonvenir (et avec quel art) tous les responsables homosexuels clés du nazisme….avant de les éliminer en 1934 pour effacer les traces de sa propre inversion et le rôle qu’elle a joué dans sa conquête du pouvoir.

  • La chasse aux homosexuels qui s’est ensuite développée dans tout le Reich consistera à noyer le poisson (ou plutôt le phoque). C’est à dire à détourner l’attention des raisons profondes de la purge de 1934 qui vit l’assassinat de Röhm et autres personnages importants qui, homosexuels ou non, avaient eu à connaître de très près l’homosexualité du Führer. De même qu’elle avait pour but de terroriser ceux qui, étant au fait des mœurs du charmant Dolfi et ayant échappé au massacre, auraient eu l’idée saugrenue de témoigner contre lui dans les années qui suivirent.

Nous en sommes là et il semblerait que les différents régimes qui, en Europe, ont dû affronter l’héritage de ruines et de massacres laissé par  l’Allemagne  nazie, subissent encore l’effet de ce terrorisme d’état mis en place dès 1934 puisqu’aucun journaliste (dont c’est pourtant le métier d’aller fouiller dans les placards), aucun historien digne de ce nom (sauf Lothar Machtan), aucun homme politique, aucun psychologue ou psychanalyste, aucun écrivain, n’a jugé bon de souligner :

Un :  l’homosexualité de Hitler

Deux : l’importance que ses déviations militantes ont joué dans sa carrière politique.

Je viens de lire la réflexion en forme de roman qu’Eric-Emmanuel Schmitt a consacrée à la personnalité d’Hitler[1] en s’appuyant sur les théories d’un autre pervers, affabulateur de grand calibre – le cher Sigmund. Et il apparaît très clairement que non seulement Schmitt n’a pas lu Lothar Machtan et n’évoque jamais le fin fond du problème d’Hitler – son homosexualité et la haine qu’elle lui a contradictoirement inspirée envers le monde entier – mais qu’en plus il fait preuve d’un angélisme surprenant quant aux vertus curatives de la psychanalyse dans le cas d’une personnalité aussi perverse que celle de Hitler. Laissons cela, E.E Schmitt est un merveilleux écrivain et le lire est toujours enrichissant même quand il est à côté de la plaque.

Mais, bien au-delà du problème de l’inversion d’Hitler, ce que cette étude a mis en lumière c’est la proximité du paradigme nazi avec celui qu’on cherche à nous imposer; tout particulièrement depuis l’arrivée au pouvoir d’une équipe d’enragés où la médiocrité (Hollande, Moscovici) le dispute à la vanité satisfaite (Montebourg) à l’arbitraire idéologico-maçonnique (Peillon) à la volonté de perversion (Taubira) à l’autoritarisme de matamore (Valls) à la perfidie avérée et revendiquée (Cahuzac) en laissant de côté les figures mineures de la fermeture idéologique et souvent de la bêtise où s’illustrent entre autres Vallaud-Belkacem,  Duflot, Bertinotti…….

L’arrivée de ce commando de choix dont la seule efficacité consiste à s’acharner contre les valeurs morales et spirituelles sur lesquelles notre nation s’est construite, nous l’avons associée à la phase active des rapports URANUS/PLUTON que nous remarquions :

         au moment de la chute du régime de « droit divin », la « Terreur » et l’instauration d’un pouvoir fondamentalement anti-chrétien en  1792/94

         à la formation du couple ennemi capitalisme/marxisme vers 1850 (et au coup d’Etat de Napoléon le petit)

     à la naissance des premiers partis politiques qui vont désormais se disputer la république comme chacals autour d’un cadavre, et au déclenchement de la guerre religieuse en France qui aboutira à l’expulsion des Congrégations et à la séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1901-

         à l’arrivée des nazis au pouvoir en Allemagne en 1933

        à la période qui s’intercale entre Vatican II (62/65) où « les fumées de Satan » (Paul VI dixit) s’infiltrent dans l’Eglise, et la « chienlit » de mai 68″ dont nous subissons encore la dictature relativiste, nihiliste, infantilisante, avec les conjonctions de 65/66

….bref  à ces moments où les civilisations vacillent et où elles s’aperçoivent – suivant le mot de Valéry – qu’elles sont bel et bien mortelles.

En fait, et pour utiliser un langage inhabituel – pour notre monde moderne – mais fort explicite,  ce sont des moments où il semble que les égouts de l’Enfer s’ouvrent sous nos pas, où leurs miasmes se répandent dans la société et où ceux qui s’en enivrent, se trouvent portés au pouvoir.

Langage imagé ? Sans aucun doute. Mais il n’en est pas d’autre pour décrire réellement ce à quoi  nous sommes affrontés.

J’ai essayé de caractériser le ressort fondamental qui anime les postures politiques et idéologiques, diverses dans la forme et le discours, mais profondément homogènes en leur fond, par la notion de refus du réel mais haine de l’homme et de la Création conviendrait beaucoup mieux..

Car, effectivement, nous ne sommes pas simplement face à un simple refus théorique mais face à une la haine active et opiniâtre. Refuser n’implique pas forcément la volonté de détruire, de souiller, de profaner, de transgresser, de pervertir….alors que la haine – force d’amour inversée – entraîne immanquablement ce genre de conséquences.

Il ne s’agit pas de n’importe quelle haine mais de celle de cet ordre naturel tel que Dieu l’a voulu, conçu et créé. Haine de l’ordre naturel qui débouche sur une véritable haine de la Vie. Les paroles de l’ectoplasme qui séjourne à Matignon depuis l’an passé, un certain soir sur TF1 sont parfaitement significatives à ce sujet : tout en se déclarant avant tout respectueux du réel, réaliste, hostile à la rêverie (il est revenu plusieurs fois sur ces notions) Jean-Marc Ayrault a qualifié le pseudo-mariage inverti, l’adoption d’enfants par de faux-parents mais vrais fêlés, ainsi que l’avortement généralisé ou la contraception artificielle, comme des avancées de la société, des progrès dont on parlera dans les siècles des siècles et que tout le monde finira bien par considérer comme telles….si de telles aberrations permettent à l’humanité de survivre, ce dont je doute.

Car il n’est pas utile d’être un réactionnaire enragé pour constater que toutes ces mesures de « progrès » sont hostiles à la vie et que de progrès en progrès de cette nature, on pourrait arriver à transformer la Terre en désert.

A la plus grande satisfaction de celui qui déteste les êtres humains créés « à l’image et à la ressemblance de Dieu« , mais qui est assez malin pour faire croire qu’il n’existe pas et qu’il reste hors du coup.

Tout cela posé, je ne crois pas utile d’épiloguer outre mesure sur la dimension proprement « satanique » de notre société qui s’est donné un gouvernement qui légitime toutes les formes de transgressions et punit sévèrement (femmes, enfants, vieillards « gazés » par les sbires de Valls) ceux qui défendent la morale naturelle, soit en essayant de les déconsidérer sous les insultes, les railleries, les accusations d' »intégrisme » de « fascisme » et autres imbécilités de genre (et ça marche auprès de certain(e)s hélas…) soit même en les traînant devant les tribunaux.

Dans le temps même où les profanations et destructions dans les églises et les cimetières chrétiens se multiplient de manière exponentielle sans que en entendiez jamais parler au « 20 H ».  La dernière (mais pas l’ultime) profanation en date portée à ma connaissance étant celle de l’église de Naintré dans la Vienne, où le tabernacle a été fracturé et les hosties consacrées destinées à l’adoration du Saint Sacrement ont été volées ainsi que des rayons de l’ostensoir lui même, à l’exclusion de tout autre objet. Or, ces éléments volés sont indispensables à la célébration d’une messe noire. Quelques jours auparavant une autre église s’est vue elle aussi « visitée » par effraction et profanée de manière particulièrement ignoble (mais lorsque les comportements ignobles sont donnés en exemple par les plus hautes autorités, il ne faut s’étonner de rien) puisque les auteurs du méfait ont souillé les hosties consacrées, ont déféqué sur l’autel et se sont servis des linges sacrés à l’usage que vous devinez. Et chaque jour qui passe nous apporte son lot d’ignominies. On feint de croire que les Chrétiens sont persécutés seulement dans les pays musulmans et/ou bouddhistes. Ils le sont aussi et surtout chez nous et tous les jours. Mais de façon encore indirecte, non physique.

Mais ne nous y trompons pas, bientôt ce sera au tour des personnes de se trouver agressées au nom de leur foi ou simplement de leur prise de défense de ce droit naturel qui nous vient du plus profond de notre culture et protège la dignité de la personne en protégeant la famille et en voulant empêcher que les enfants ne deviennent les otages de duos d’invertis. Et cela risque fort de se faire sans que personne ne réagisse tant notre opinion est manipulée et bâillonnée et tant la « liberté d’expression » est, en fait, rigoureusement encadrée par le politiquement correct officiel. Autre point commun avec le régime  nazi qui savait comme pas un manipuler l’opinion et terroriser les récalcitrants.

Ce qui nous rapproche de l’Allemagne des années 30 où non seulement le Juifs, mais les Chrétiens eux mêmes (catholiques surtout) se sont trouvés persécutés par le régime nazi en raison de leur opposition à ses lois iniques…..qui sont – pour beaucoup – celles qu’on cherche à nous imposer. A l’exception du pseudo-mariage inverti. Et s’il est un progrès de notre époque sur cette sombre époque des années 30 c’est bien celui là : ce qui était encore désorientation sexuelle (« perversion » dans le langage de l’époque) est désormais idéal de vie à la nôtre. Une belle avancée n’est-il pas ? Ne désespérons pas, on finira par légiférer sur la pédophilie, la zoophilie, le sado masochisme et autres progrès de la « liberté » et de l' »égalité » que je n’arrive même pas à imaginer.

 

Adolf HITLER, prophète des temps présents et à venir, devant les astres…..

HITLER Adolphe - 20.04.1889 - 18.30 - AutrichePour en revenir à l’objectif de départ de ce site – mais largement débordé  par les nécessités dramatiques de l’actualité – je vais maintenant m’intéresser au thème natal d’Adolf Hitler puis le comparer aux thèmes de certains des garçons qu’il a fréquentés de fort près au cours de son existence pour déterminer si, oui ou non, une possibilité d’attirance érotique et sexuelle s’y manifeste de manière évidente.

La « possibilité » n’est la « certitude » de même que chez Aristote, le « potentiel » n’est pas « l’actuel« …mais il en est la condition obligée : le gland ne peut devenir chêne s’il ne portait, potentiellement, un chêne en lui.

Mais, dans le cas qui nous occupe, une fréquentation assidue, jalouse et exclusive (comme nous l’avons découvert dans les précédents chapitres de cette étude) d’un homosexuel avéré avec des garçons qui présentent une structure anthropocosmologique correspondant sexuellement à la sienne, ne peut nous laisser indifférents, sur le plan de la démonstration. Même si ce que nous allons découvrir ne peut être considéré  que comme un simple faisceau d' »indices concordants ».

Mais nous ne cherchons pas « une preuve » ici, puisque nous l’avons de manière effective par les témoignages et rapports de police. Nous cherchons simplement à observer, pour notre formation personnelle d’apprentis anthropocosmologues, comment les comportements que nous avons étudiés, s’expriment au plan de notre discipline.

Deux observations d’ordre général d’abord.

Je crois l’avoir déjà souligné à plusieurs reprises depuis que j’ai ouvert ce site de réflexion anthropocosmologique, un thème natal est un TOUT ORGANIQUE. Et c’est la compréhension, mieux, la communion intellectuelle qui s’établit (ou non) avec ce Tout Organique qui peut ensuite, et ensuite seulement, nous donner la clé d’interprétation de chacune des configurations, de chacun des symboles qui le constituent et qui ne prennent sens que par rapport à lui. De même que dans une phrase c’est le sens général de la phrase – et, plus largement du texte complet – qui nous donne le sens et la nuance exacts qu’il faut accorder à tel ou tel concept utilisé (surtout si le dit concept présente une large diversité de sens possibles) de même c’est la globalité insécable du thème qui nous donne la possibilité de comprendre, en détail, la façon dont chacun des symboles antropocosmologiques aura tendance à s’exprimer dans le réseau particulier (signe, maison, aspects) de ce thème particulier.

Nous nous intéressons à l’homosexualité d’Hitler et à celle de ses partenaires. Les choses seraient très simples si, à un comportement spécifique, à une orientation morale, à une caractéristique psychologique, etc, correspondait telle ou telle configuration particulière.

Certains ont tendance à raisonner de la sorte. Ils ne s’élèvent pas alors au-dessus de la perception qu’un robot programmé pourrait avoir d’un thème (cas de l’astrologie dite informatique) et auront tendance à accorder aux mêmes valeurs anthropocosmologiques les mêmes traductions psychologiques, comportementales, pratiques, morales et autres…..

L’anthropocosmologie servira alors à enfermer  la personne dans un réseau de petites cases préétablies comme peut le faire la psychologie analytique par exemple.   Réduire une personnalité unique à un ensemble de concepts classificateurs.

C’est le projet permanent de la méthode scientifique depuis trois siècles que de vouloir réduire la richesse, la profondeur, la réalité, le mystère du monde à la seule grille de lecture physique et quantitative qu’elle lui applique pour l’exploiter. En prétendant que ce que cette méthode (galiléo-cartésienne) ne saisit pas, n’existe pas. On constate aujourd’hui les conséquences de cette approche matérialiste, positiviste, sur l’état de notre planète. Je n’y reviens pas.

On ne connaît bien que par le cœur et pas par l’intellect. Le cœur évoquant ici, non l’organe éponyme, mais cette faculté que nous avons d’entrer en résonance, en communion avec un objet ou un être, pour le saisir dans sa réalité vivante et devenir lui tout en restant nous même. C’est ce que la philosophie classique appelle la capacité noétique de l’esprit humain. Celle qui l’ouvre à une connaissance élargie de tous les degrés de connaissance possible et non au seul savoir quantitatif et fonctionnel de la réalité. Et que dédaigne absolument la méthode scientifique.

Je n’insiste pas sur ce point, j’aurai l’occasion de le développer largement en d’autres circonstances.

Après la globalité, l’organicité et l’unité d’un thème, il me faut évoquer la notion de  liberté qui dépend d’une large part de la capacité de « se penser » que possède la personne. Cette liberté prend sa source dans les deux dispositions fondamentales qui font qu’un être humain est créé « à l’image et à la ressemblance de Dieu« . L’homme a la possibilité de se comprendre disais-je plus haut, il a la possibilité de comprendre les autres et il peut conduire sa volonté à satisfaire tel ou tel objectif qu’il aura choisi dans le silence de sa délibération.

A charge pour lui d’utiliser au mieux les dispositions de son thème natal qui ne le « conditionnent » pas ou ne « l’influencent » pas en elles mêmes comme la plupart le croient naïvement, mais qui ne font que refléter les structures sur lesquelles sa personnalité et sa destinée (indissolublement liées) ont été établies (et que nous pouvons essayer de penser à différents niveaux de compréhension : trans-généalogique, religieux, karmique pour ceux et celles qui donnent dans l’orientalisme, etc….) et qui constituent son mystère à nul autre pareil. En un mot : les dispositions anthropocosmologiques d’un thème ne déterminent en rien par elles mêmes, elles ne sont que le reflet des déterminations que nous portons et dont l’origine nous est largement inaccessible.

« Utiliser au mieux » ne veut nullement dire : obéir aveuglément aux dispositions de son thème et le manifester à l’état brut. Cela veut dire : essayer de les exprimer à la lumière d’un choix libre, éclairé par une intelligence et une volonté naturellement orientées  vers le Bien. Ce qui implique de considérer alors le thème non comme une promesse ou une fatalité mais comme une information et une mise en garde. Au même titre que le plan d’un parcours d’obstacles ne saurait nullement,  en lui même, obérer le jugement et la détermination d’un cavalier mais au contraire l’éclairer et l’aider à se préparer.

Ce qui implique évidemment – concernant l’existence humaine – l’exercice de la pensée, l’éveil de la conscience (si chère à Anna Arendt à qui est consacré un très beau film au moment où je compose cet article) et l’adoption d’une définition du bien et du mal, du beau et du laid, de l’acceptable et de l’inacceptable, choix libres qui seuls donneront une direction à notre volonté.

Car intelligence et volonté qui nous spécifient en tant que être humains, ne sont pas atteintes en elles mêmes par les déterminations du thème. Celles-ci n »intervenant que comme « accidents » et non comme « substance » de notre identité. Simplement elles auront à s’exercer vers le Bien de manière plus ou moins aisée en fonction de ces dispositions  foncières qui marquent une incarnation individuelle dont le thème rend compte tout en nous laissant « libres » d’agir au mieux.

En d’autres termes, et en langage chrétien, le thème représente le type de « Croix » que  nous aurons à porter. Sans rien pouvoir nous dire du niveau où nous accepterons de  la recevoir et de la vivre. Et c’est pourquoi, en caricaturant, certains thèmes de saints ressemblent si étrangement à des thèmes de voyous….et inversement.

Donc, personne ne peut déterminer la façon dont nous porterons cette Croix que nous même. Aidés ou non par la grâce. Nous pouvons l’utiliser comme tremplin vers un dépassement de nos blessures et de nos contradictions, ou nous écrouler sous elle en nous complaisant à manifester toutes les dérives contre lesquelles le thème (manifestation d’une prévenance supérieure) nous mettait en garde comme d’un héritage nocif.

Il faudra garder ces deux points à l’esprit en lisant cette étude.

L’homosexualité et le fanatisme ne représentent que la réponse que l’individu Adolf Hitler a donnée aux déséquilibres de son programme anthropocosmologique. Déséquilibres sur l’origine desquelles nous pouvons gloser mais sans jamais accéder à une certitude. De même tous les autres protagonistes de cette sordide saga. Chacun d’eux aurait pu suivre une voie s’identifiant parfaitement à l’itinéraire inscrit dans leur carte du ciel, mais parcourue à un niveau supérieur. Eventuellement jusqu’à la sainteté à laquelle nous sommes tous candidats potentiels, nul n’étant condamné ou sauvé au départ mais choisissant, en conscience, de suivre ou non une voie de salut.

Pour nous cantonner au seul aspect de l’homosexualité, il faut bien comprendre qu’elle n’est pas un point de départ, un choix ou une « orientation » libres comme on l’entend crier sur tous les toits par les enragés de l’homo-militantisme (et les bénéficiaires des tiroirs-caisses du libero-libéralisme qui les manipulent). Elle n’est qu’un point d’arrivée au terme d’un itinéraire d’échec. Ou, si l’on préfère, elle n’a pas de nature en elle même. Elle n’est que la marque d’une difficulté qui n’a pu être surmontée dans la constitution saine et harmonieuse d’un sujet sur le plan affectif et sexuel et qui s’est traduite par l’impossibilité, voire le refus, d’accéder à la pleine communion affective, relationnelle, charnelle avec l’Autre sexe.

L’homosexualité n’a pas d' »être« . Elle est d’abord et avant tout caractérisée par le manque. Comme le péché ou le mal eux-mêmes n’ont aucune substance réelle mais représentent un manque, une blessure, une altération de la nature humaine suite à ce que la tradition appelle le « péché originel ». Comme la cécité n’est pas une réalité en soi mais le manque ou l’absence de cette fonction effective qu’est la vue.

Mais, ce qui est souvent  irréversible sur le plan physique, ne l’est pas sur le plan moral. Les mêmes manques pouvant être dépassés de bien des façons.

Ce qui veut dire que des personnes affectées du même thème que Hitler ou certains de ses comparses (et il y en a certainement de très nombreux) pourraient tout à fait s’orienter différemment et donner d’autres réponses aux sollicitations de leur cartes du ciel tout en manifestant une personnalité et en adoptant un itinéraire qui, par bien des côtés, présenteront des analogies manifestes avec les tristes héros de notre étude, et sauront donner ainsi à leur existence un tout autre sens.

Ce qui veut dire aussi que ceux et celles qui reconnaîtraient dans leur propre thème (certains de mes proches et moi même en tout premier) telles ou telles données anthropocosmologiques analogues à celles que nous allons relever chez Dolfi ou chez ses petits amis, n’auront pas à se sentir accusés de « ressembler à Hitler et à ses comparses » mais devront plutôt remercier le Ciel de leur avoir donné une qualité d’âme et un niveau de conscience qui leur a évité de suivre, sinon le même destin (cela paraît difficile) du moins de manifester des comportements semblables devant la vie et vis-à-vis des autres.

Le thème d’une personnalité profondément perturbée.

Par quelque bout que nous prenions ce thème et quelle que soit la méthode d’interprétation utilisée (et elles ne manquent pas) nous ne pouvons que constater les profonds déséquilibres de cette carte du ciel. Déséquilibres qui, en se potentialisant les uns les autres a       u lieu de se compenser, ont conduit cette personnalité aux formes extrêmes de la férocité et de la mégalomanie: l’inversion sexuelle n’en représentant qu’une des facettes – certes non négligeable quand on sait le rôle qu’elle a joué dans le parcours intérieur et social de Hitler.

 

 Approche du Thème Natal d’Adolf HITLER par l’Anthropocosmologie Comparée

Observons les points saillants de cette figure zodiacale. Je vais essayer d’être aussi clair et concis que possible dans ma démonstration même si celle-ci exigerait souvent d’ouvrir de larges parenthèses pour développer certaines notions relevant soit du domaine de la psychologie, soit du langage anthropocosmologique lui même et aider ainsi le lecteur à mieux comprendre le jeu des forces en présence. Cela nous entraînerait trop loin en augmentant démesurément une étude déjà fort longue puisque nous en sommes au quatrième épisode.

D’abord quelques observations générales qui échapperont peut-être à un œil non exercé.

1/ Presque tous les symboles individuels (de la Lune à Saturne inclus) se trouvent en situation de débilité extrême, ont du mal à exercer les facultés qu’ils représentent sur les différents plans de la personnalité (caractérologique, comportemental, intellectuel, affectif, émotionnel…) et obèrent ainsi l’expression saine et harmonieuse des signes qu’ils occupent :

– Lune, Mars et Saturne sont en « exil » respectivement en Capricorne, Taureau et Lion

– Jupiter est en chute en Capricorne

2/ Mercure et le Soleil sont en terrain neutre, mais ils sont rejetés par l’Ascendant (expression essentielle du « moi » du sujet, pour faire simple).

Ce qui nous indique une difficulté intégration dans l’équilibre général de la personnalité :

         des valeurs solaires : force, dignité, volonté, conscience de soi, conscience morale, rayonnement personnel, sens de l’honneur

         et des valeurs mercuriennes : intellect, objectivité, réflexion, communication.

C’est ainsi que les qualités solaires telles que je les ai sommairement décrites plus haut, se dégraderont alternativement en manque d’assurance/orgueil, lâcheté/forfanterie, sentiment de rejet/histrionisme.

Les qualités mercuriennes, mal intégrées, entraîneront flux et reflux d’idées contradictoires et mal digérées, instabilité psychique, bavardages, « voyeurisme » (nous sommes en Maison VII) irascibilité, impulsivité, manque de recul (nous sommes en Bélier)

Le fait que ces fonctions/planètes rejetées, le soient au DS/Maison VII, c’est à dire dans le lieu stratégique de la rencontre avec les autres il est évident que tout ou partie des difficultés ci-dessus relevées se manifesteront dans les rapports sociaux. Le contact avec les autres, les rapports affectifs seront faussés : l’alternance domination/soumission prédominera, le besoin de vivre par les autres ou à travers les autres, l’égocentrisme, le narcissisme remplaceront la volonté positive de vivre en collaboration positive avec les autres, de participer à une œuvre commune ainsi que le recommanderait la présence du Soleil (existence, accomplissement) en Maison VII (les Autres, la Société).

Il est clair, au contraire, que l’opposition d’URANUS/Asc (extrême désir de se distinguer, d’être reconnu, propension à s’ériger en éducateur, en « guide ») au SOLEIL (autorité, orgueil)  – les deux symboles allant dans le sens de l’hypertrophie du « moi » – déterminent chez le personnage un extrême désir de dominer les autres.

Réponse à ce profond sentiment d’insécurité et de vulnérabilité relatif à cet état de « débilité » des symboles représentant les assises de la personnalité que j’évoquais un peu plus haut.

L’Asc étant dans un signe vénusien (donc à tendance artistique) et le Soleil se trouvant lui aussi dans un signe vénusien (le Taureau) il est normal que le sujet ait d’abord cherché à être reconnu comme peintre, comme artiste. D’ailleurs toute sa vie durant il manifestera quelques prétentions dans ce domaine. Notamment du côté de la musique de Wagner qu’en bon mégalomane il pensait comprendre mieux que personne.

3/ On remarque aussi une extrême survalorisation de l’élément « Terre » chez ce Taureau qui entraîne un déséquilibre sur le plan tempéramental mais qui surtout, en négatif, indique possessivité, obstination, rumination, rancune, rigidité, âpreté, cupidité…

L’élément « Feu » est assez faible dans le thème : Hitler n’est ni un passionné (au sens créatif du terme) ni un vrai homme d’action. C’est une araignée besogneuse qui tisse sa toile et qui utilise la passion et le dynamisme des autres. Lui se contente de pérorer, l’élément « Air » assez bien représenté et la survalorisation de Mercure (le Verbe, la parole enflammée)  lui donnant quelques dispositions de ce côté-là. En revanche, il est incapable de raisonner posément, incapable de se concentrer sur le long terme, incapable d’écouter. Il n’agit pas : il réagit et toujours avec impulsivité et emportement. Ce qui ne veut pas dire qu’il manque d’intelligence, bien au contraire, mais c’est une intelligence qui ne s’attache pas aux choses en profondeur, qui manque de recul.

Mais surtout on constate une dévalorisation totale des signes d' »Eau » ! C’est un homme dont la sensibilité est totalement bloquée, un homme fermé aux émotions, qui ignore ce qu’est l’empathie, la compassion, l’affection gratuite, la bienveillance.

4/ Les quatre planètes angulaires (donc particulièrement valorisées) vont toutes dans le même sens : le pouvoir, la reconnaissance, l’ambition. J’ai déjà évoqué l’opposition URANUS/SOLEIL sur la ligne d’horizon, il faut y adjoindre SATURNE dont le besoin de tout régenter, de tout contrôler, d’imposer sa loi, besoin exacerbé par l’autoritarisme des deux précédentes, se déploie en Maison X (celle de la carrière, des honneurs, de la position sociale) et en « exil » en Lion (position redoutable sur le plan de la « destinée » qui aurait dû attirer l’attention de son astrologue officiel… )

5/ Contradiction douloureuse que cet exil de SATURNE en LION et dans le secteur le plus exposé du thème : celui de la vie publique. L’éclat du signe fait pour briller, rayonner, exercer une autorité qui va de soi (royale en quelque sorte), incarner un magistère incontesté, étant contrarié par la présence de SATURNE qui ne peut aller que dans le sens de la rigueur, du détachement, du retrait, de la disparition de l' »égo » derrière le devoir, la règle, la loi. Voire du renoncement et de l’ascétisme.

On comprend que ce personnage porte au plus profond de son âme, le poids d’une sorte de péché originel lui interdisant de s’accepter, de se réaliser, d’être reconnu, de réussir, voire même de vivre. Une sorte de « fatalité » inscrite dans la trame de sa destinée et qui le voue à l’échec absolu comme il arrive si souvent dans la destinée des hommes politiques marqués par un Saturne en Maison X.   

D’où une profonde insécurité compensée par une avidité et un désir extrême de briller, de dominer, qui ne pouvait aboutir qu’à une catastrophe puisqu’au plus profond de lui même le sujet ne se sent pas autorisé à exister, à vivre, pas autorisé à se réaliser.

Bien sûr cet « exil » de Saturne est rendu d’autant plus nocif qu’il est accentué par d’autres « exils » dans le thème et par les configurations qu’il forme dans le thème. Mais on ne peut tout dire à la fois. Poursuivons donc méthodiquement.

D’ores et déjà, il faut comprendre que dans ce thème, SATURNE condense et résume la problématique centrale d’Adolf HITLER. Problématique que les circonstances et le cours de l’Histoire l’ont porté à résoudre en prenant le peuple allemand et l’humanité en otage.  Ce à quoi il ne serait jamais parvenu s’il n’avait su si bien incarner l’idéologie homosexualiste, homomilitante des milieux nazis qui en était imprégnée.

En effet SATURNE en X et en Lion, nous renvoie :

1/ à l’axe CANCER/ CAPRICORNE dont il est l’un des deux maîtres avec la LUNE

2/ à l’axe LION/VERSEAU dont il est aussi l’un des deux maîtres avec URANUS et le SOLEIL

3/ à l’axe des Maisons IV/X dans lequel il se situe et qu’il gouverne avec URANUS et le SOLEIL

4/ enfin à sa maîtrise sur la LUNE située en « exil » en CAPRICORNE en Maison III et associée à JUPITER, justement le maître de la Maison III par le SAGITTAIRE.

Compliqué ? Non. Avec un peu d’attention et pour peu qu’on possède bien le jeu des  relations qui unissent SIGNES/ETAPES et PLANETES/FONCTIONS  on prend vite conscience qu’il y a dans les positions que je viens d’énumérer un formidable réseau de tendances convergentes qui vont toutes dans le même sens : le poids d’un héritage familial – paternel surtout – extrêmement lourd à assumer et qui a proprement déséquilibré Dolfi.

Ce qui n’excuse rien bien sûr, car ce triste énergumène avait – comme nous tous qui sommes plus ou moins bien dotés sur le plan transgénéalogique – bien d’autres moyens d’assumer cet héritage et de réaliser une « résilience » positive, comme on dirait aujourd’hui.

Mais cela permet de mieux comprendre sa nature et son parcours et rend d’autant plus anecdotique l’analyse de E.E Schmitt.

Reprenons en essayant de faire très schématique.

a) L’axe CANCER/CAPRICORNE représente l’axe parental par excellence en anthropocosmologie. La LUNE assumant la fonction protectrice et nourrissante de la mère, SATURNE celle du « tuteur », de cette autorité – autrefois dévolue au père – qui nous aide à nous « élever », à nous « construire » celle qui nous détache, nous sépare de la fusion avec la mère pour que nous accédions au statut d’adulte mâture et responsable.

L’axe des MAISONS IV/X constitue sur le plan « terrestre » – c’est à dire individualisé – le correspondant de l’axe CANCER/CAPRICORNE (4e/10e étape) sur le plan universel.

b) Que constatons nous ? SATURNE (fonction paternelle) est en « exil » en LION : douloureusement bloqué dans sa capacité de rayonnement personnel et social (Maison X)

c) Le SOLEIL (maître de la Maison X : fonction paternelle) est en conflit avec URANUS, maître de la Maison IV (accentuation des difficultés familiales) et placé à l’Asc.

Traduction : Dolfi ne peut s’identifier à un père sans doute un peu borné (Taureau négatif) – hyper rigide (dissonance Soleil/Uranus). Il cherche une voie d’émancipation (Uranus) il  le rejette et se perçoit lui même comme en étant certainement rejeté, méprisé à son tour.

d) Ce père apparaît susceptible, ombrageux, cassant, peu compréhensif et malveillant. Le contexte évoque l’image d’un homme atteint d’une blessure narcissique douloureuse qu’il exprime probablement en humiliant son propre fils suivant le mécanisme bien connu qui consiste à faire subir à  nos enfants les blessures dont nous avons nous même été les victimes et à nous sentir fort en castrant plus faibles que nous.

e) Regardez le thème et constatez avec moi que je n’exagère pas en constatant que SATURNE ne se contente pas d’aspirer à briller sans y parvenir dans son exil solaire !

Il forme un carré extrêmement dur avec VENUS et MARS, en Maison VII.

Or, VENUS non seulement participe du pôle tendre, affectueux, amical et bienveillant de notre personnalité, mais, de plus, elle représente ici une expression essentielle du « moi » du sujet puisqu’elle est Maître de l’Asc BALANCE !

Elle est aussi – et cela n’arrange rien – le Maître de la Maison XII (les grandes épreuves) entièrement interceptée en Balance.

On sent les ravages que cette dissonance très dure, dissonance d’échec et de frustration affective, pourra provoquer dans les relations affectives et sociales du sujet, puisque nous sommes en Maison VII chez un individu porteur d’un Asc en 7e signe, donc plus que tout autre aspirant à une totale réalisation sur le plan relationnel et émotionnel.

Quant à la présence en Taureau elle contribue à orienter l’affectivité et la sensibilité « Balance » vers la sensualité, la sensorialité, le goût du plaisir, les attentes hédonistes de ce signe profondément érotique. Sans oublier le fait qu’en tant que vénusiens, ces deux signes signalent une nature plus féminine que masculine.

Rien n’est plus difficile à vivre sans doute qu’une Vénus démesurément valorisée comme elle l’est ici, affrontée à l’insensibilité, la froideur, l’hostilité même évoquée par un Saturne dissonant.  

f) Si nous n’avions eu affaire qu’à un carré VENUS/SATURNE, nous n’aurions probablement pas eu d’Hitler.

Malheureusement MARS participe du tableau clinique. Et il s’agit là d’une tout autre paire de manches.

MARS est la représentation paradigmatique de la force virile d’un être humain. Au niveau le plus immédiat il concerne tout ce qui lui permet de se mouvoir, de travailler et de se battre : ses muscles, ses grilles, ses dents. comme pour n’importe quel autre mammifère.

Bien sûr son expression première est d’ordre sexuel puisque –  sur ce plan précis – MARS représente aussi bien l’appareil génital masculin que la puissance fécondante du mâle ensemençant une femelle. A un autre niveau d’interprétation, MARS peut et doit représenter les qualités les plus hautes qui permettent à un être humain d’agir, d’imprimer sa marque sur le monde, de contribuer à le transformer. C’est le symbole de l’ACTION : construire un mur, creuser un sillon, planter un clou, réaliser une œuvre artistique, mais aussi défendre son pays ou sa famille, affirmer sa volonté ou exprimer ses idées et convictions, réagir à l’adversité….tout cela participe de l’énergie martienne.

Le symbolisme martien ne comporte aucune notion morale par lui même. Il est a-moral, la morale relevant du niveau de la conscience partagée entre Soleil, Mercure et Vénus. C’est l’ensemble du thème (et singulièrement le niveau de conscience du sujet) qui détermine le niveau de manifestation de MARS et donc sa plus ou moins grande qualité.

Le besoin d’action, le désir sexuel et, au-delà, l’ensemble de nos instincts primordiaux échappent à toute forme d’éthique : ils existent comme participant de notre nature incarnée et ils doivent être satisfaits. C’est le mode de canalisation de ces besoins primordiaux qui détermine que nous sommes en présence d’un être civilisé, voire cultivé à une extrême, d’un barbare à l’autre.

f) Et c’est là où le rôle de JUPITER et SATURNE intervient de façon déterminante et même dramatique.

Je ne vais pas développer outre mesure l’analyse des fonctions jupitériennes et saturniennes ici. J’y consacre plusieurs dizaines de pages dans l’ouvrage que j’ai rédigé sur la « Pratique de l’AnthropoCosmologie Comparée » que certains d’entre vous connaissent bien. Je n’y reviens pas.

Disons, pour faire simple que JUPITER est un facteur d’intégration et d’organisation harmonieuse de la personnalité, qui favorisera ensuite l’intégration harmonieuse de cette personnalité dans le tissu social où elle pourra déployer au maximum ses possibilités.

Quant à SATURNE, son rôle est de porter les différents éléments constitutifs de la dite personnalité à leur perfection. Le mot ici, ne doit pas être entendu dans le sens superlatif qu’on lui donne généralement et qu’on retrouve dans l’idée de « perfectionnisme » stérilisant, mais dans son sens véritable (et étymologique) de « recevoir son achèvement« [2]. SATURNE est ce qui porte les éléments de notre personnalité à leur achèvement c’est à dire à leur pleine efficience, à leur maturité, à leur maîtrise comme on dira d’un pianiste qu’il possède parfaitement sa technique instrumentale. Reste ensuite à la mettre au service de l’œuvre, ce qui ne dépend plus seulement de Saturne  car il y a des virtuoses brillants mais sans âme. Cette fonction évoque donc construction lente et patiente de la personnalité (c’est à dire obéissant à la vertu édificatrice du temps) pour arriver à son plein achèvement dans les limites qui sont les siennes. La présence d’une structure éducative, d’un  tuteur, d’un maître et avant tout d’un père qui saura faire profiter l’enfant de sa propre expérience, des bienfaits de sa propre maturité psychologique, émotionnelle, de son propre sens des responsabilités à assumer envers Dieu (s’il est croyant), envers la société (respect de la loi : soumission volontaire à un ordre de réalisation plus élevé, le « devoir d’état » pour un Chrétien, plus couramment le sens du devoir, la responsabilité en général) et envers nous-mêmes (morale, autocontrôle, maîtrise des désirs exagérés ou désordonnés, acceptation de la limitation et de la frustration) tout au long de ce difficile processus de croissance qui nous conduit de la dépendance de l’enfance au plein exercice de notre autonomie d’adulte. Plus profondément encore SATURNE nous prépare aux conditions mêmes de la vie spirituelle qui n’est jamais « acquisition » comme le croient les innombrables amateurs et consommateurs de « développement personnel« , mais au contraire détachement, renoncement, manque, vide qui seuls peuvent provoquer l’effusion de l’Esprit en nous venant prendre une place que nous avons libérée pour Lui. Sur le plan de la maturité psychologique et émotionnelle le rôle de Saturne est d’ouvrir notre conscience à la réalité; au fait qu’il existe un ordre des choses auquel nous devons nous adapter, en opposition avec ce monde de la toute-puissance ou de la toute-possibilité dans lequel nous baignons une bonne part de notre enfance…et dont certain ont tant de mal à sortir.

On pourrait résumer le rôle de JUPITER et SATURNE d’un mot très court en matière éducative :

         JUPITER nous apprend à assimiler toutes les règles utiles pour nous développer harmonieusement dans le tissu social.

         SATURNE nous apprend à assumer celles qui définissent nos devoirs, tant dans l’ordre collectif et que du point de vue de notre conscience.

Or ces deux indispensables opérateurs de la conduite harmonieuse des processus de développement et de structuration d’un individu qui nous sont fournis essentiellement par le monde familial (essentiellement), le monde éducatif et, plus largement, le monde culturel et social, sont totalement déficients dans le thème de Hitler.

C’est ainsi qu’ici SATURNE ne se contente pas de créer une insupportable frustration affective, un sentiment absolu de non-reconnaissance et d’échec comme décrit en « e » il s’attaque aux forces vives par lesquelles un être humain – un homme surtout – peut s’affirmer et laisser sa marque sur le monde : MARS.

C’est la traduction anthropocosmologique même de ce que les freudiens appelleraient un « redoutable complexe de castration« . L’image d’un conflit auquel le sujet doit s’affronter pour exister (conflit avec « le père », l’autorité, la loi, les interdits, le « surmoi », la « morale » et j’en passe….) et qui échoue.

André Barbault que je cite souvent lorsqu’il y a nécessité d’une approche psychologique écrit à propos des dissonances MARS/SATURNE[3] :  » Associe l’agressivité à l’avidité, les ressources destructrices aux calculs égoïstes; d’où des penchants plus ou moins immoraux ou du « mauvais » caractère. Plus souvent, détermine un conflit entre l’impulsion et l’inhibition, entre une tendance maniaque [MARS bien sûr] et une tendance mélancolique, ou entre un désir et un renoncement, une force et une faiblesse « 

Il y a d’innombrables remarques à faire sur ce conflit entre SATURNE en exil d’un côté et VENUS/MARS (celui-ci en « exil » aussi) de l’autre – conflit qui constitue, comme je le disais plus haut, le nœud stratégique de la personnalité d’Hitler – mais nous nous bornerons à l’essentiel

Remarquons pour commencer que la 1ère Maison du sujet recouvre largement le signe du SCORPION même si l’Asc tombe en BALANCE.  Conclusion : derrière le « moi » sensible, féminin, sensuel, porté aux excès d’un sentimentalisme dégoulinant puisque vénusien dissonant, se cache (comme un train se cache derrière un autre) le moi âpre, passionnel, hypersexuel, instinctif et agressif martien non moins dissonant..

Si bien que la férule saturnienne aura d’autant plus d’impact sur la personnalité du sujet qu’elle touche les deux expressions vitales, privilégiées du « moi » du sujet : affective, émotionnelle, instinctive et sexuelle : Vénus et Mars.

Comme je le disais plus haut SATURNE empêche les deux fonctions de se construire et de parvenir à leur plein achèvement.

Comment peuvent réagir les fonctions/planètes dans ce cas précis ?

De deux façons opposées et complémentaires et souvent alternatives :

1/ Soit par le renoncement :

     renoncement à aimer avec Vénus, blocage et refoulement des émotions, des sentiments par insécurité ou  immaturité affective, par peur de l’échec et de la souffrance

         renoncement à se battre et à s’affirmer avec Mars, incapacité développer sa virilité, à s’affronter aux obstacles physiques ou psychologiques, avec repliement sur soi-même, comportement de fuite voire de lâcheté, déclenchant rancœur, colère rentrée, envie, désir de revanche…etc….

2/ La deuxième attitude est beaucoup plus destructrice : Saturne ne pouvant construire, achever, perfectionner les fonctions en question, les libère sur un mode régressif, archaïque, destructeur :

Vénus se libérera alors sur le mode d’une sensualité inassouvie, de la promiscuité sexuelle, d’une sentimentalité de carton-pâte mais aussi (on l’a vu dans la description qui en est faite par certains témoins que nous avons passés en revue dans nos précédents chapitres) sur  celui de la séduction perverse, d’une propension à la veulerie, au mensonge, à la perfidie, à toutes sortes de compromission plus ou moins dégradantes :   « Faire sa pute » pour obtenir ce qu’on souhaite pourrait nous fournir l’expression – triviale certes – mais adéquate des comportements évoqués ici.

Quant à Mars, il se dégradera alors dans une sorte d’alternance entre l’agressivité et la soumission. Mais attention l’agressivité ne s’exprimera qu’envers les plus faibles que soi et la soumission envers les plus forts. L’image du chien qui aboie à perdre haleine (ce qui était le cas de Dolfi quand il s’embarquait dans un discours devant un public convaincu d’avance) pour vous intimider mais qui se sauve quand vous tapez du pied et revient vous mordre le mollet dès que vous avez le dos tourné, pourrait, là aussi, assez bien convenir à ceux qui aiment les images plutôt que les démonstrations théoriques.

Il est clair que l’homosexualité constitue une des voies d’expression privilégiée pour compenser la frustration affective et la dévirilisation martienne. Sans ignorer d’autres perversions possibles comme l’insensibilité à la souffrance des autres, la cruauté, la brutalité et j’en passe….

A travers ces dispositions astrales on comprend que papa Hitler n’a pas dû faire grand-chose pour aider son fils à développer une personnalité harmonieuse, saine et équilibrée sur le plan affectif et sexuel,  assez confiante en elle même vis-à-vis des autres (Maison VII) pour éviter de s’affirmer par l’arrogance et l’agressivité dans certains cas (pensez à toute la période « contestataire » et revendicative du sujet avant et après la guerre de 14, avant la naissance du « leader charismatique » de l’Allemagne éternelle…) ondoyante et veule à d’autres moments et envers les détenteurs d’une autorité ou d’une aisance financière qui pourraient le servir. Il a même dû faire entièrement le contraire et « massacrer » psychologiquement son fils…. parce qu’il avait été « massacré » lui même. Je vais y revenir dans un instant.

Il est temps de souligner maintenant une particularité propre à ce thème.

Les deux significateurs du « moi » échangent leur polarité. Je m’explique : on considère en astrologie globale et en anthropocosmologique comparée, que lorsque le maître de l’Ascendant – ici Vénus – est conjoint à une autre fonction planétaire – ici Mars – la première s' »identifie » (c’est à dire « prend les valeurs et adopte les comportements ») de la seconde. Traduction : la Vénus délicate et raffinée de la Balance, sensuelle et érotique du Taureau, cherche à se comporter comme Mars !

Quant à Mars (le 2e « moi » donc) il cherche lui aussi à s’identifier à Vénus !

On comprend mieux ainsi toute l’ambiguïté du personnage, dévirilisé, féminisé, inverti, adoptant les allures d’un matamore ou d’une sorte de moderne Siegfried pour ….tout en entraînant le minet le soir dans les ombres propices de la campagne munichoise.

Ce serait dérisoire si, dans ce cas précis, Vénus ne s’identifiait pas à un Mars tout à fait particulier : un MARS en « exil », je le rappelle et privé de toute forme de noblesse par Saturne dissonant.

Qu’est ce à dire ?

Par l’exil, toute la puissance offensive et positive de MARS, contrariée par les valeurs Taureau dans lesquelles elles doivent se manifester, se condensent, s’accumulent en une sorte de charge explosive qui  se nourrit de la frustration et de la colère du sujet. Un MARS en Balance (son autre signe d’exil) est un MARS désarmé, un Mars qui perd sa puissance offensive mais qui, dans le meilleur des cas, tend à s’humaniser à tenir compte des Autres.

Au contraire dans le Taureau, qui évoque les forces génésiques, l’instinct de conservation, la défense des valeurs vitales, les besoins du corps, l’attachement aux possessions, la manifestation des besoins les plus « animaux », Mars ne vit pas son exil sous la forme de la dévirilisation, de l’impuissance ou de la défaite, mais sous celle du déchaînement brutal, aveugle de passions aveugles qui ne demandent qu’à se déchaîner.

Alors quand, de plus, Saturne vient jouer le garde chiourme, il est évident que nous atteignons le point culminant des valeurs inférieures, régressives de l’astre de la colère, de la violence, des forces aveugles  du désir  brut, déshumanisé.

Il y a alors de la férocité, de la voracité dans ce Mars entièrement dévolu à satisfaire les passions animales du sujet. En fait, il s’agit d’une véritable configuration sado-masochiste.

Et c’est ainsi que derrière le « monsieur souriant et délicat, à la voix douce et modulée » que Traudt Junge – cette jeune secrétaire embauchée par Hitler à partir de 1942 et qui dactylographia ses discours, ses lettres, ses testaments privé et politique et qui l’accompagna jusqu’à la fin – se cache un véritable loup.

Voilà le mot lâché : « loup »

Hitler ne peut considérer les autres (ses semblables en général, ses amants bien sûr, ses amis, ses soutiens et son personnel civil et militaire, puis l’ensemble des autres peuples européens lorsqu’il aura le pouvoir) que sous la catégorie de proies destinées à satisfaire ses appétits.

Et la lâcheté du monde qui l’entoure, celle des démocraties occidentales en tout premier lieu, ne contribuera pas peu à libérer cette soif de conquêtes et de mort qui est l’ordinaire de la vie sauvage, celle qu’exalte par exemple Jack London (qu’Adolf a peut-être lu dans sa jeunesse) dans plusieurs de ses romans : Crocs-Blancs, L’Appel de la forêt etc….d’autant que – je le répète – le déchainement sadique est directement proportionnel à la passivité de la victime. C’est dire combien les « pacifistes » de l’époque ne faisaient que jeter de l’essence sur le feu infernal de ce « possédé » en croyant le calmer par des concessions déshonorantes.

D’ailleurs, Hitler lui même était parfaitement au clair avec cette nature de loup (inverti) qui était la sienne : « La Tanière du Loup » – Wolfsschanze – n’était ce pas le nom de code qu’il avait attribué à son grand quartier général – situé en Prusse Orientale – pendant la Seconde Guerre mondiale ? D’où d’ailleurs la perplexité qui nous habite lorsque nous découvrons qu’après la guerre (donc après la mort d’Adolf) on a choisi de renommer la ville qui avait été créée par le 3e Reich pour y bâtir l’usine Volkswagen : Wolfsburg, « La ville du loup ».

Lorsqu’il s’est agi, vers la fin de la guerre, de créer une unité de combat subversif prenant le maquis derrière la ligne de front et déterminée à faire feu de tout bois pour contrarier l’avance des alliés, quel nom choisit-on ? La « Werwolf » (loup-garou en allemand).

D’ailleurs, Hitler, dès son adolescence était appelé « Wolf » aussi bien par ses parents que pas ses copains. Et il garda ce surnom jusqu’à la mort puisqu’il fut repris par les membres de son parti. J’ai cité son grand quartier général de Prusse – Wolfsschanze – mais on peut en citer bien d’autres : le Q.G. du Werwolf, « Loup-garou », près de Winizas, le QG de Wolfschlucht, « Ravin du loup », à Brûly-de-Pesche, celui de Wolfschanze, « Repaire du loup », à Rastenburg (où Hitler faillit mourir en juillet 1944). Quant au bunker de la Chancellerie de Berlin où le Führer s’enferma avant son suicide, on lui donna le nom de Wolfloch « Trou du loup ». Encore, qu’à mon avis, cette fin fut plus celle d’un rat pris au piège que celle d’un loup.

D’ailleurs la plupart des ouvrages consacrés à la terrible saga hitlérienne sont d’accord sur ce point : Hitler s’assimilait en tout point à un loup….et se comportait comme tel.

A tel point lorsqu’il demandera à sa plus jeune sœur (seule survivante, avec lui, de la série de morts qui frappera la fratrie – voir plus loin) de changer de nom (pour des raisons de sécurité je pense) il lui fera prendre le nom de Paula WOLF !  

On comprend bien les mécanismes de cette personnalité à travers ses configurations anthropocosmologiques  rapportées à ce que nous savons de son existence.

On comprend aussi ce besoin de conquêtes pour répondre à cette sorte de rage aveugle, de férocité et d’avidité inextinguible que j’ai rapportée aux dissonances Vénus/Mars/Saturne

Mais comment se fait-il qu’au-delà de la rage et de la frustration tout azimut qui habitait le personnage, sa colère et la haine se soient particulièrement focalisées sur le peuple juif qui – en fait – ne constituait pas un ennemi ou un obstacle majeur à ses ambitions, à sa stratégie politique et militaire ?

C’est là où il nous faut revenir aux symboles paternels du thème : SOLEIL et surtout SATURNE.

Nous avons constaté combien ils étaient dévalorisés qualitativement dans le thème tout en y occupant une place prépondérante par leur situation angulaire (pour le Soleil) culminante (pour Saturne) sans oublier les aspects qu’ils forment l’un et l’autre, soit avec l’Ascendant soit avec les deux maîtres de l’Asc.

Le moins qu’on puisse dire c’est que si l’image paternelle évoque des relations franchement insupportables pour le fils, elle évoque d’abord une blessure profonde et douloureuse pour le père, sorte de nouvel Amfortas qui, s’il ne porte pas « la blessure de l’humanité » (cf le « Parsifal » de Wagner) apparaît comme marqué par une blessure « narcissique » inguérissable.

Or, que savons nous du père de Hitler ? Qu’il est un enfant naturel qui n’a jamais su vraiment qui était son père. Et là le roman familial nous donne deux origines possibles, tout aussi déstabilisantes l’une que l’autre.

Je résume aussi clairement que possible les imbroglios de la filiation de Aloïs (le papa de Dolfi) qui naît en 1837 et porte le nom de sa mère – Schicklgruber – jusqu’en 1877, c’est à dire jusqu’à 40 ans !

A cette date il en change et devient Aloïs HIEDLER. Que s’est-il passé ?

Tout simplement que sa mère a épousé un certain Johannes Georg HIEDLER en 1842 (quand Aloïs a 5 ans, donc). Evident ! penserez-vous : J.G Hiedler a reconnu l’enfant. Pas du tout. Il mourra (en 1857 : Aloïs à donc 20 ans) sans l’avoir reconnu. En fait les parents ne s’en sont pas occupés du tout. Ils l’ont confié au frère aîné de Johannes Georg, un certain Johannes Nepomuk qui va s’occuper du gamin. Et c’est lui qui fera les démarches nécessaires pour qu’Aloïs porte enfin le nom des Hiedler, vingt ans après la mort de son frère. Sans pourtant le reconnaître pour autant. De là à penser que c’est lui le vrai père, il n’y a qu’un pas que les nazis franchiront allègrement pour doter leur idole d’une paternité reconnue.

Las, la mère d’Aloïs n’a jamais voulu dire qui était le vrai père de son fils. Pourquoi ce mystère si l’un des deux frères l’avait vraiment été ?

L’autre version pourrait éclairer d’un  jour particulier la haine antisémite d’Adofl.

La mère d’Aloïs, Maria Anna Schicklgruber, de très pauvre origine, a été domestique dans une riche famille juive, les Frankenberger, durant toute la décennie 1830. Or Aloïs naît en 1937 de père inconnu. De là à imaginer qu’elle a été engrossée par un membre de la famille (voire par un des jeunes Rothschild qui visitaient souvent la famille Frankenberger, selon certaines versions) qui l’a ensuite laissée se débrouiller toute seule,  il n’y a qu’un pas. Franchi par certains qui croient dur comme fer aux origines sémitique de Hitler. Et, de toutes façons il est un peu tard pour songer à une analyse ADN, n’est-il pas ?

Homosexuel, né d’un père lui même né de « père inconnu » et éventuel petit-fils biologique d’un Juif qui a abusé de sa grand-mère, on avouera que cela fait beaucoup à intégrer dans le climat de l’époque. On comprend alors mieux ce délire racial dans lequel Hitler cherchera une surcompensation à la haine et au mépris de soi qu’il éprouve (sans doute en écho à la propre blessure de son père)  en s’érigeant farouche et ardent protecteur de la pureté de cette race aryenne qu’il place au dessus de toutes les autres.

Le pire, du point de vue transgénérationnel qui nous occupe ici, c’est que si Aloïs est bien le fils de Johannes Nepomuk qui lui a donné son nom, Adolf Hitler devient alors le fruit d’un inceste.

En effet, Aloïs qui semble assez porté sur la séduction et le goût du changement (Soleil/Mercure et Vénus en Gémeaux) ne trouve rien de mieux que d’épouser – en troisième noce et déjà largement pourvu d’enfants naturels ou légitimes – sa propre nièce, Klara Pölzl – dont il aura un seul fils : le divin Adolf.

Qui est Klara Pölzl ? La fille que Johanna Hiedler, elle même fille de Johannes Nepomukn,  a eu en justes noces d’un certain M. Pölzl.

Klara a d’abord rempli le rôle de domestique au foyer de son oncle, puis, lorsque celui-ci est devenu veuf pour la seconde fois, elle a remplacé la défunte et a été épousée par son gentil tonton !

Ainsi, il se trouve que Johannes Nepomuk est à la fois  l’arrière-grand-père maternel de Hitler mais aussi son grand-père paternel ! Or, s’il y a une chose que l’arbre familial n’aime pas, ce sont bien ces entrechocs générationnels et ces interférences dans l’ordre normal de la filiation. Mon expérience de psychogénéalogiste m’a apporté la preuve, à plusieurs reprises, de la nocivité de telles transgressions. Au demeurant tout le théätre grec en est une magnifique illustration.  

Notons encore qu’il apparaît clairement que le scénario oncle/nièce a encore favorisé ses relations vénéneuses, puisque la fameuse Géli Raubal dont nous avons parlé, n’est autre que la fille d’Angela, fille que le père d’Adolf a eu d’un premier mariage.

Au passage, je ne saurais expliquer (pour le moment) pourquoi on est passé de HIEDLER à HITLER mais ce n’est qu’un témoignage de plus de la répugnance qu’éprouvaient sans doute le père et le fils à porter un nom lourd de toutes les dérives charnelles et sexuelles ayant affecté les générations précédentes….et qui expliquent largement les configurations désolantes que nous avons étudiées ci-dessus.

J’ajouterais que l’homosexualité est souvent la solution que fournit l’inconscient familial à une lignée ou à une branche familiale qui n’a plus la force de réagir aux blessures que lui ont infligées les fautes, transgressions, dérapages de toutes sortes et qui préfère dépérir et s’effacer de l’Histoire. Il y en a de pires : la stérilité, la maladie, la folie, les suicides à répétition.

C’est assez caractéristique dans le cas d’Adof. Son père a eu deux enfants de sa première femme : Aloïs (qui porte le prénom de son père et le nom de famille de sa mère à sa naissance car son père n’est pas encore dégagé de son premier mariage) et Angela. Ces deux personnes semblent avoir mené une existence normale. Deux enfants chacun avec des destinées plus ou moins heureuses.

En revanche, de son mariage avec Klara, sa nièce, se révélera particulièrement mortifère. Tonton Aloïs donnera 5 frères et sœurs à Adolf :  Gustav mort à 2 ans, Ida morte à 2 ans, Otto mort dans sa première année, tous trois de la diphtérie. Edmund, mort à 6 ans de la rougeole. N’ont survécu qu’Adolf et Paula.

Deux enfants morts en bas âge sur trois, cela fait beaucoup, même pour l’époque qui comptait beaucoup de familles nombreuses.

A quoi il faut ajouter le suicide de Géli.

Aucune descendance : Paula meurt en 1960 à l’âge de 64 ans, quasi recluse et sans aucune descendance.

Quant à Adlof, la seule postérité qu’il nous ait laissée consiste en un gigantesque amoncellement de cadavres.

Comme quoi il est évident que lorsque les familles ou les sociétés défient trop l’ordre naturel et se complaisent dans les délices de la transgression…elles s’autodétruisent. Tout le théâtre grec est l’illustration de cette loi naturelle intangible. 

Et il est passionnant de constater combien ces transgressions généalogiques entraînant une effroyable nocivité et une stérilité absolue, sont bien rendues dans le langage tellement condensé mais profondément significatif de l’anthropocosmologie et de ces configurations…à condition de savoir l’interroger dans ses ultimes significations symboliques.

Et, puisque j’en reviens à l’anthropocosmologie après un long et inévitable détour par la généalogie de Hitler, qui seule pouvoir nous faire comprendre son mode de fonctionnement et ses choix de vie, je ne passerai pas sous silence la dernière configuration majeure de son thème laissée de côté jusqu’à présent : la conjonction Lune/Jupiter en Capricorne, au trigone du Soleil en Balance.

La conjonction LUNE/JUPITER est une des plus belles configurations qui soient. Sur le plan de l’existence, je crois qu’on pourrait la traduire par une très grande capacité à tirer du milieu social et culturel (Jupiter) tout ce qui est nécessaire à satisfaire nos propres besoins (Lune). Le sujet Lune/Jupiter est heureux de vivre et Jupiter lui indique comment tirer toujours plus de jouissance de cette vie. Le niveau de la demande étant dépendant de la qualité intrinsèque du sujet comme je l’ai déjà indiqué auparavant. Cela peut aller de cette capacité de goûter les petits plaisirs que la vie nous offre sans chercher à trop se compliquer l’existence, à une recherche de satisfactions beaucoup plus larges ou beaucoup plus hautes guidés par un idéal, un projet de dépassement de ses propres limites. Les LUNE/JUPITER, en fait, sont souvent d’heureuses natures; elles s’adaptent facilement aux circonstances, font preuve de pragmatisme, tirent toujours le meilleur de n’importe quelle situation, savent « nager dans le sens du courant« , contourner les obstacles, négocier les obstacles et affrontements inévitables de la vie . Ce qui en fait quelquefois de grands opportunistes. Leur arme n’est pas l’autorité, la grandeur, la noblesse d’attitude  ou le sens supérieur de la représentation comme les SOLEIL/JUPITER, ce serait plutôt celle de la diplomatie, de la sociabilité, voire de la séduction. Ils ont l’art de renvoyer une image positive à ceux qu’ils désirent séduire ou dont ils veulent obtenir le concours et finissent par obtenir ce qu’ils veulent tout en donnant l’impression qu’ils ont fait des concessions.

Sur le plan du caractère ou des comportements, elle évoque avant toute chose le désir de développer au maximum son propre potentiel comme de prendre la plus large place possible dans l’existence, d’aller aussi loin et aussi haut que possible et, dans un sens inférieur, d’obtenir, d’acquérir, de posséder le plus possible, de jouir le plus possible de la vie.

D’une manière plaisante je dirais que c’est la configuration des « gloutons » ou du « toujours plus » attitude bien connue des Types 7 en ENNEAGRAMME.. Mais on peut être « glouton » de nourriture, d’argent, de prestige, de reconnaissance sociale, de fonctions prestigieuses…. comme on peut être « glouton » de culture, de dévouement, du  besoin de servir une grande idée, la communauté ou quelque autre projet d’envergure. Auquel cas il faut bien sûr remplacer la notion de gloutonnerie par celle de générosité.

Belle configuration pour un personnage aussi coincé, aussi agressif, dur, malveillant qu’Adolf Hitler, me direz-vous. Vous aurez raison de vous étonner.

Mais c’est là où il faut faire de nouveau intervenir les notions d' »exil » et de « chute » puisque Lune et Jupiter, ici, sont en Capricorne.

La Lune en « exil » en Capricorne (j’en ai déjà parlé en analysant le thème de François HOLLANDE je crois) évoque un contact avec la vie peu accueillant, un apprentissage de l’existence qui se fait dans des conditions sévères, difficiles, où rien n’est donné sans contrepartie, où tout doit être mérité ou quasi hors de portée. Elle cherchera souvent une surcompensation dans une ambition sociale qui impliquera  acceptation de la frustration, concentration, repli sur soi, force intérieure permettant non seulement de résister au « terrain » contraire, mais d’arriver à le dominer. C’est le vilain petit canard qui veut devenir cygne…mais qui n’y parvient pas toujours.

Jupiter dont nous avons vu qu’il évoque capacité de développement, optimisme, confiance en soi, sens des opportunités, est complètement démobilisé en « chute » en Capricorne.

C’est peut-être là d’ailleurs la nuance entre « exil » et « chute » en anthropocosmologique :

         l' »exil » entraîne souvent surcompensation, tension, effort,  capacité à ramer dans le sens contraire du courant

         la « chute » évoque plutôt le « lâcher-prise », la dépendance totale aux circonstances extérieures. Au lieu de « ramer à contrecourant » comme je le disais plus haut, il faut faire la planche et se laisser porter par le courant car tout effort insolite devient contreproductif et entraîne les mêmes conséquences que l’agitation sur certains nœuds : plus on cherche à s’en libérer, plus ils se resserrent. Il faut donc savoir s’adapter, faire avec tirer le meilleur parti des circonstances.

Qu’il me soit permis d’ouvrir une parenthèse sur la maman  d’Hitler pour illustrer ce que je viens d’écrire sur la Lune et Capricorne en « débilité » et puisque la fonction maternelle implique la fonction lunaire et jupitérienne( en tant que nourricière surtout). C’est une femme issue d’un milieu très dur (parents petits cultivateurs) perdue au milieu de onze frères et sœurs, dont cinq seulement survivront. Sa vie ce sont les travaux des champs et les ménages…. jusqu’à ce que une « chance » se présente. Après avoir travaillé chez celui qui est sans doute son oncle, elle l’épouse lorsqu’il devient veuf et peut enfin (mais assez tard) échapper à l’existence de servitude qui est la sienne en devenant une petite bourgeoise. On ne pourrait mieux illustrer le rôle de Lune/Jupiter/Capricorne dans ce thème.

Mais il y a bien mieux.

Qu’est ce qui va enfin porter Adolf sur le devant de la scène et lui permettre d’entamer cette extraordinaire (et effroyable) carrière qui sera la sienne en justifiant la présence de cette configuration de succès, de popularité, de célébrité et de « réussite » sociale inouïe, dans son thème ?

Les malheurs et l’humiliation de sa mère justement. Pas ceux de la malheureuse Klara bien sûr mais ceux de sa Mère-Patrie.

Ce sont ses malheurs dont il se servira pour écrire son Mein Kampf et pour obtenir, sinon la gloire littéraire, du moins le prestige philosophique et politique en tant que défenseur et restaurateur de l’honneur et de la grandeur de l’Allemagne.

Observez que la configuration se trouve en Maison III (Jupiter étant Maître de la Maison III) celle des « productions mentales, des écrits, des discours… » et toutes choses du même ordre.

Et puisque vous y êtes, observez aussi que la conjonction Lune/Jupiter est au trigone du SOLEIL (lumière et prestige) angulaire en Maison VII : le rapport aux autres, et maître de la Maison X : les gloires et honneurs qui s’attachent à la carrière et à la position sociale. Maisons dans laquelle séjourne Saturne, 2e maître de la Maison III et de la conjonction sus-décrite.

On comprend combien la pensée et les idées de ce triste sire ont su coller à la situation de l’Allemagne d’après la Grande Guerre et répondre aux attentes de d’une large partie du peuple allemand puisque la Maison III, en matière politique, concerne aussi l’électorat.  Même s’il lui a fallu du temps pour donner la majorité au parti Nazi du fait des obstacles apportés par l' »exil » et la « chute » des deux compères Lune/Jupiter. Comme quoi il ne faut jamais se désespérer de nos configurations dites « négatives »….le tout est de savoir comment jouer avec cette négativité.

J’arrête là cet essai de réflexion sur le thème natal d’Adolf Hitler et je vais maintenant me concentrer sur une comparaison sommaire de ce thème avec celui de quelques uns des différents amants du personnage.

Comment établir l’attirance potentielle affective et sexuelle entre deux personnes ?

D’abord et avant par les rapports qui existent ou non entre les symboles individuels réciproques des deux thèmes.

Notons tout de suite que, dans ce cas, la notion « d’harmonies » ou de « tensions » entre les deux thèmes ne doit en rien préjuger de la qualité ou de la profondeur d’une relation. Les « harmonies » introduisent sans doute un climat plus équilibré entre les deux partenaires (avec le risque du ronron) tandis que les « dissonances » bien loin de compromettre la relation, la rendent souvent plus passionnée ou passionnelle (avec le risque inévitable des crises)..

Il faut bien noter enfin que les rapports anthropocosmologiques qualifient une relation; ils ne la créent pas. La réalité de l’amour que deux personnes se portent l’une à l’autre participera toujours du mystère de l’existence. Tout au plus peut-on essayer de comprendre comment cet amour se manifeste et sur quoi il repose en partie, ce qui pourrait la favoriser, ce qui pourrait entraîner tensions et obstacles. C’est tout et c’est déjà  beaucoup.

Les déterminants anthropocosmologiques.

 

Les Luminaires :

SOLEIL = admiration, fascination, confiance, accord des volontés

LUNE  = entente plus intime, plus intérieure, climat commun, communauté de ressenti, affinités naturelles et spontanées.

Après les Luminaires vient :

L’anthropocosmologie traditionnelle insiste sur les rapports croisés entre le SOLEIL de la dame avec la LUNE du monsieur, complémentarité idéale entre l’animus de l’une et de l’anima de l’autre, chacun représentant une sorte d’idéal pour l’autre. Cela ne suffit pas bien sûr mais constitue une base concrète pour établir une relation.      

MERCURE : certes ce n’est pas un élément déterminant pour l’amour et le désir mais les rapports réciproques peuvent créer intérêt intellectuel, besoin d’échanger, de communiquer, voire de discuter et de polémiquer. Ce qui met du piment dans la relation, n’est-il pas ?

Viennent maintenant les correspondants affectifs et sexuels proprement dit.

VENUS : magnétisme sexuel, attirance et séduction, sensualité, érotisme, à un degré supérieur : affection, tendresse, amour

MARS : désir actif, besoin de conquérir, de pénétrer, de féconder….

PLUTON : va dans le même sens d’une manière beaucoup plus secondaire.

En règle générale : PLUTON – NEPTUNE et URANUS, parce qu’ils échappent aux fonctions civilisatrices et éducatives de JUPITER et SATURNE, sont souvent présents dans toute les formes de transgressions. Et avant tout dans l’homosexualité bien sûr.

URANUS cherche à échapper au déterminisme sexuel et à affirmer l’indépendance de son désir en se fixant sur « le même ». Passions intenses et brèves. L’Uranien cherche avant toute chose à s’aimer Lui Même dans l’Autre. Bien entendu il est toujours déçu.  Rôle déterminant en matière de narcissisme.

NEPTUNE cherche, au contraire, à échapper au déterminisme sexuel en le dépassant, en en débordant les limites naturelles. C’est le symbole même de la confusion des sexes, des rôles, des sentiments. Dans le pire des cas c’est celui de l’indifférenciation morale, du laisser-aller,  de la promiscuité. Alors que Uranus était plutôt celui du fantasme dominant, de l’obsessions unique, du fétichisme.

PLUTON, lui, adore la transgression pour la transgression. D’ailleurs la notion de transgression qui ne peut se concevoir que par rapport à une norme à transgresser – une norme morale par exemple – lui est totalement étrangère. L’origine des pulsions plutoniennes est si profonde et obscure, qu’elle méconnait les classifications ou les normes, sexuelles ou autres. Seul parle l’instinct primordial, pur, sans tabou. Et quand on sait que les instincts primordiaux, liés aux mécanismes de survie de l’espèce, se résument à deux ou trois injonctions : manger, copuler, détruire et tuer ce qui mettrait en danger notre survie ou ce qui constituerait une entrave à la satisfaction de nos besoins et désirs, on comprend qu’on retrouve Pluton très présent dans tous les cas de sadisme.  La plupart du temps associé aux deux autres d’ailleurs.

N’épiloguons pas. Il s’agit, ici, de fixer quelques grands traits dans un domaine très complexe, celui de la sexualité humaine et non d’atteindre à la vérité absolue en ce domaine.

Les Signes/Etapes qui viendront favoriser les dynamiques de  l’attirance affective et du désir sexuel sont faciles à deviner :

         Les signes vénusiens dans le premier cas, Taureau, Balance, Poissons (recherche de la fusion et de la communion affective et sexuelle)

         Les signes martiens dans l’autre cas : Bélier (appétit de conquête, explosivité des besoins) et Scorpion, le signe même de la rencontre sexuelle, de la copulation, de l’expression sexuelle, avec toute sa force et ses exigences mais avec toutes es dérives possibles aussi.

Nota : Les Signes Ascendants et les « maîtres » des Ascendants sont à considérer eux aussi avec attention, mais hélas, en ce qui concerne les petits amis du Gay-Führer nous ne possédons pas les heures de naisses. Nous ne pouvons donc déterminer leurs Ascendants et Maîtres d’Ascendant.

Au demeurant il est évident que chaque Signe/Etape possède sa propre affectivité, comme il possède sa propre forme d’esprit, sa propre logique, sa propre manière d’agir et, en ces domaines, il faut fuir ce déplorable esprit analytique qui consisterait – comme je le disais plus haut – à affecter telle composante de la personne humaine à tel signe exclusif. Nos dispositions fondamentales relèvent de l’ensemble du zodiaque dans son insécable unité, mais il est évident que chacune des étapes de ce zodiaque est plus prédisposée à exercer prioritairement telle ou telle fonction plutôt que telle autre. Si la séduction, la diplomatie et l’art du compromis sont facilement attribuables à la Balance, il est évident que prêter ces caractéristiques au Capricorne ferait sourire n’importe qui (d’un peu avisé). Ce qui ne veut pas dire que les Capricornes sont absolument dénués de séduction, de diplomatie et du sens des compromis. Mais ce n’est pas leur priorité. Je n’insiste pas, je pense qu’on m’aura compris.

 

Tentatives de Synastries ou, plus simplement, de Comparaisons.

 

KUBIZEK August - 03.08.1888 - H.I - Linz - Aut.Thème N° 1 – August KUBIZEK – 03.08.1888 Linz –  (cf le tout premier article de la série)

MARS de A.K à 7° du Scorpion forme une large conjonction au SOLEIL/VENUS/MARS en Taureau

VENUS à 18° du LION forme un carré quasi exact à la conjonction VENUS/MARS de A.H

Tout ce qu’il faut pour exercer une violente attirance physique, érotique entre les deux jeunes hommes.

Remarquons aussi, le climat identique de frustration et de manque affectif avec les dissonances les dissonances de ces fonctions planétaires à SATURNE dans les deux thèmes.

HANISCH Reinhold - 27.01.1884 - H.I - Grunwald-Thème N° 2 – Reinhold HANISCH – 27.01.1884 – Grünwald près de Gablonz (TCK) –  (cf le 2e article de la série)

Un festival:

Sa LUNE natale – 28° CAPRICORNE  – au carré de MERCURE/SOLEIL de A.H (dissonance qui pourrait évoquer leur mésentente à propos de leurs différents commerciaux)

MARS 14° LION, conjoint SATURNE 14° LION de A.H (désir et frustration, configuration qui laissait entrevoir le conflit et la rupture)

MARS 14° Lion, carré VENUS/MARS  17° Taureau : voilà qui est extrêmement « hot » comme diraient nos drogués du franglais.

NEPTUNE 18° TAUREAU à la conjonction de VENUS/MARS au même endroit : fusion, fantasmes partagés, exaltation émotionnelle et sexuelle, illusions et tromperies..

On remarque des aspects mineurs qui ont dû jouer leur partition dans la relation : une conjonction de SATURNE du premier sur le PLUTON du second (aspect punitif, conflit d’intérêts ?)

JUPITER du premier au carré de la conjonction SOLEIL/MERCURE du second. Cela confirmerait peut-être la manipulation commerciale du second au profit du premier.

 

HAUSLER Rudolf - 15.12.1893 - H.I - ASPANG - ALL.Thème N° 3 – Rudolf HAUSLER – 15.12.1893 – Aspang (All) – 

MARS/URANUS de Rudolf, à 19° et 14° SCORPION opposé à la conjonction VENUS/MARS Taureau d’Adolf

JUPITER (le grand jouisseur) à 23° TAUREAU sur cette même conjonction.

SOLEIL à 24° SAGITTAIRE au trigone de MERCURE (SOLEIL pas très loin) d’Adolf à 26° BELIER.

L’entente sexuelle et affective (voir le paragraphe qui est consacré à Rudolf) s’associe à la confiance et une certaine fascination. A des goûts partagés (Jupiter) en matière artistique et musicale.

Mais la présence d’URANUS, si elle introduit une intense composante passionnelle dans la relation,  la compromet par ses exigences mêmes  et Rudolf, lassé de la domination d’Adolf « qui veut toujours avoir le dernier mot »  préfère reprendre sa liberté.

 

Thème N° 4 – Ernst SCHMIDT – 16.12.1889 – Wurzbach (All.) –

 SCHMIDT Ernst - 16.12.1889 - H.I - Wurzbach - All.J’écrivais, à propos de la relation Ernst/Adolf  en reprenant le texte du Pr Machtan :

Trente ans d’amitié sans nuage.  « Il est d’autant plus difficile de croire que cette amitié ne fut pas une relation amoureuse que nous ne relevons aucune trace d’aventure féminine de Schmidt ou d’Hitler pendant qu’ils étaient sous les drapeaux. Schmidt ne manifesta pas plus d’intérêt pour les femmes après la guerre, et reste célibataire jusqu’en 1935« . (p.108)

C’est tout à fait, l’image que nous donne la comparaison des deux thèmes.

Une seule configuration passionnelle : MARS de Ernst à 21° Balance sur le URANUS d’Adolf au même endroit. L’amour unique ? en tout cas c’est intense et assez explosif.

Mais, une autre configuration évoque une relation affective solide et stable :

JUPITER d’Ernst à 14° CAPRICORNE est au trigone de la conjonction VENUS/MARS d’Adolf à 16° TAUREAU. L’exacte configuration qui – paraît-il – fait les mariages heureux !

Et le reste est de la même eau :

le SOLEIL et MERCURE d’Ernst à la fin du SAGITTAIRE sont harmoniques à MERCURE et au SOLEIL d’Adolf, à la toute fin du BELIER et au tout début du TAUREAU : accord des volontés, des conceptions, des intentions, adhésion pleine et entière.

VENUS d’Ernst est au trigone de SATURNE d’Adolf : fiabilité, fidélité, probité dans la relation

SATURNE d’Ernst est au trigone de LUNE/JUPITER d’Adolf : soutien et confiance indéfectibles. Capacité à construire ensemble à cimenter une relation dans le temps.

De plus, ils souffrent tous deux de la même blessure affective : VENUS est au carré de SATURNE dans les deux thèmes. Ce qui ne peut que créer des affinités supplémentaires.

A la lecture de ces lignes on conçoit comment peut se présenter un mariage idéal en anthropocosmologie dans des circonstances normales…….

Mais surtout on comprend pourquoi HITLER a tout fait pour ne pas être affecté dans une autre unité où il aurait pu prendre du grade. Il a préféré passer ses quatre ans de guerre sans être séparé d’Ernst. Et, libérés, ils ont continué à partager leur pitoyable existence jusqu’à ce que la nécessité de gagner leur vie leur imposât une séparation. Séparation dans l’espace qui n’a jamais compromis la solidité des liens amoureux qu’ils avaient noués.

C’est un cas unique dans la vie de notre Gay-Führer…. et assez exceptionnelle pour beaucoup de « gays » tout court dont la constance et la fidélité ne semblent pas représenter des dispositions majeures de leur nature amoureuse.

 

Thème N° 5 – Ernst ROHM – 28.11.1887 – Munich –

ROHM Ernst - 28.11.1887 - H.I - Munich - all.La LUNE de Rohm à 12° TAUREAU, recouvre la conjonction VENUS/MARS d’Adolf : attirance magnétique, sensualité, érotisme, « tendresse » (si on peut dire de la part de ces partisans enragés de la « virilité militaire » !)

JUPITER/MERCURE à 18/21° SCORPION s’oppose à cette même conjonction. Cela révèle attirance, intérêt réciproque, affinités. Pas seulement sexuelles bien sûr mais aussi sociales, intellectuelles, idéologiques.

La conjonction VENUS/URANUS à 16/19° BALANCE du général est conjointe à l’URANUS du 1ère classe : affinités évidentes, passionnelles, goûts communs, même volonté transgressive (les rapports VENUS/URANUS et MARS/URANUS sont très présents généralement dans les rapports homosexuels pour les raison que j’ai exposées ci-dessus).

Les deux personnages éprouvaient une très réelle fascination l’un pour l’autre et cela explique que le tendre Adolf ait hésité deux jours entiers avant d’accepter qu’on « liquide » Rohm dans sa prison d’une balle dans la tête, après la « nuit des long couteaux« .

 

Theme N° 6 – Dietrich ECKART – 23.03.1868 – Nuremberg (All) – 

ECKART Dietrich - 23.03.1868 -  NurembergTrès symptomatiques sont aussi les aspects qui relient le thème de ce délicat bohème, intellectuel et écrivain raté, plus ou moins oisif, morphinomane, qui se sent « attiré par toute la nature » d’Hitler, qu’il appelle « mon Adolf » et qui en est appelé « mon étoile polaire« . Précieux esthète tout aussi faux-cul que son célèbre amant puisque d’une part il proclame sa haine des « apôtres de la sodomie » alors que de l’autre il écrit de merveilleux poèmes d’amour à son ami de jeunesse, comme nous l’avons vu dans la partie qui lui est consacrée dans l’article N° 2.

Bref.

La conjonction VENUS/PLUTON (une des plus passionnelles et des plus sexuelles qui soient, ouvrant d’ailleurs la voie à toutes les transgressions et perversions possibles dans un thème déséquilibré, et celui de Dietrich l’est particulièrement) tombe pile-poil sur la fameuse conjonction VENUS/MARS en TAUREAU d’Adolf. ON ne peut rêver mieux pôur l’attirance et l’entente sexuelle, surtout si on constate que le MARS de Dietrich à 15° POISSONS est, lui aussi, au sextile de la dite conjonction.

Cet aspect des choses est renforcé par des configurations qui montrent des affinités intellectuelles, morale et politiques très réelles quoique secondaires :

Dietrich naît sous une large conjonction SOLEIL/LUNE/JUPITER,

Adolf possède un trigone LUNE/JUPITER/SOLEIL

De plus cette entente est encore renforcée par le trigone que forme le MERCURE DE Dietrich à LUNE/JUPITER du futur dictateur.

Ces deux là étaient vraiment faits pour s’entendre…et plus si affinités.

Thème N° 7 – Rudolf HESS – 26.04.1894 – 10.00 – ALEXANDRIE (Egypte) – 

HESS Rudolph - 26.04.1894 - 10.00 - Alexandrie (Egypte)L’Histoire a conservé l’heure de naissance de ce doux illuminé, tellement viril qu’on l’appelait Fräulein Hesse, non seulement dans l’entourage du Führer mais déjà à Alexandrie sa ville natale.

D’abord Rudolf est TAUREAU comme HITLER (leurs anniversaires tombent à 6 jours d’intervalle, ce qui crée sans doute des affinités).

VENUS en Poissons du premier (osmotique, fusionnelle et sensuelle) est au sextile de la conjonction VENUS/MARS du second.

MARS à 20° VERSEAU tombe extérieurement au trigone de URANUS d’Adolf à 20° Balance (le coup de foudre ?)

Les MERCURE des deux protagonistes sont tous deux situés en BELIER. Aussi impulsifs et irréfléchis l’un que l’autre ? Quand on considère l’initiative du premier partant seul pour l’Angleterre, sur un coup de tête, avec le projet de marier Churchill avec son führer et quand on observe l’idée tout aussi folle et irréfléchie d’envahir la Russie qui germa dans le cerveau enfiévré du second, on se dit qu’ils étaient faits pour accomplir les pires c.……s ensemble.

 

Emil MAURICE – 19.01.1897 – WESTERMOOR (All) – Thème N° 8

MAURICE Emil - 17.01.1897 - H.I - Westermoor - All. Assez peu d’analogies entre les deux thèmes ou peu significatives :

La conjonction SATURNE/URANUS (principes rigides, inflexibilité du caractère) opposé à la conjonction  NEPTUNE/PLUTON d’Hitler qui n’a d’intérêt que parce qu’elle tombe dans sa Maison VIII et qu’elle attire l’attention sur les abîmes mystérieux de sa sexualité.

Cette conjonction a bien d’autres significations sur le plan collectif mondial quant à la crise majeure que le  monde moderne allait avoir à affronter, dont il n’est pas encore sorti et dont Hitler, Mao, De Gaulle, Franco, Mussolini ont été quelques uns des agents actifs. Mais je n’aborderai pas ce côté des choses ici.

On trouve encore une LUNE en LION extérieurement posée sur le MC d’Hitler et une VENUS POISSONS, au sextile de VENUS/MARS de AH.

Assez peu de choses en fait. Je soupçonne fortement Emil MAURICE d’avoir préféré la nièce au tonton…..ce qui a fini par le rendre insupportable à celui-ci.

Et, puisque nous parlons « nièce » voyons le thème de cette malheureuse enfant.

 

Géli RAUBAL – 04.06.1908 – LINZ (Aut) – Thème N° 9

RAUBAL Géli - 04.06.1908 - LINZ - (Autriche)Ce sont des rapports assez heurtés qu’on découvre dans la comparaison des thèmes nièce/tonton.

La chaude et généreuse conjonction ouverte à la vie et au bonheur LUNE/JUPITER, assez exubérante,  que possède Géli en LION tombe exactement sur le SATURNE du tonton. Comme aspect frustrant et répressif, on fait difficilement mieux.

C’est la glace sur le feu.  La froideur et la fermeture intérieure opposées à chaleur des sentiments. Eventuellement le devoir à l’amour…etc…

On trouve ensuite une conjonction MARS/MERCURE(NEPTUNE) – assez réactive et rebelle, un rien exaltée – chez Géli tombant à l’opposition LUNE/JUPITER de tonton: défense et révolte, à la fois contre l’autorité du barbon (ou presque barbon) contre les conventions sociales (pensez elle aime le chauffeur de son oncle) mais surtout contre le  rôle de « leurre » qu’on lui fait jouer au profit de la carrière politique de son geôlier, le scénario dans lequel on voudrait étouffer sa personnalité, sa jeunesse, sa soif de vivre au seul profit de l’ambition du susdit.

URANUS de Géli n’est pas très loin de LUNE/JUPITER d’Adolf et vient encore exacerber les tensions revendicatrices de la jeune femme pour échapper à la tyrannie d’une situation totalement fausse. Mais c’est compter sans le fanatisme du tonton : la seule issue possible – violente car URANUS et MARS participent du conflit – sera le suicide….surtout si on a un peu aidé cette pauvre jeune fille. Allez donc savoir ce qu’une jeune fille amoureuse pourrait inventer contre un oncle qui s’envoie le petit ami qu’elle voudrait épouser…et qui y aspire aussi semble-t-il.

Nous trouvons aussi une tendre conjonction VENUS/NEPTUNE (amour fusion, amour sacrifice, amour dépossession de soi, à l’origine de la vocation d’infirmière de cette généreuse jeune femme) tombant au carré de l’URANUS du tonton : on se heurte à un rejet sec et définitif sans aucun souci de tenir compte  de ce qu’on peut éprouver de plus profond.

Et le sextile que cette conjonction forme avec celle du tonton, si elle peut justifier l’affection que la nièce porta à son oncle (sans doute avant de le connaître vraiment) et qui a pu être réciproque pendant un temps, elle ne peut, à la lumière du reste, évoquer une quelconque relation amoureuse véritable.

Terminons par celle qui vécut aux côtés du Führer, tint le rôle de « leurre » que Géli ne put supporter – mais en s’octroyant quelques « compensations » (avec qui ?) – et mourut en portant son nom.  Je veux parler de celle qui ne fut ni sa « femme » au sens propre, ni même sa veuve…

 

Eva BRAUN – 06.02.1912 – 05.30 – MUNICH (All)

BRAUN Eva - 06.02.1912 - 05.30 - MunichComme pour Hess, nous connaissons l’heure de naissance du personnage. Ce qui nous donne un super VERSEAU Asc. CAPRICORNE. Avec une pauvre Vénus d’hiver à l’Ascendant au trigone de SATURNE en Taureau (vous remarquez que Vénus et Saturne échangent leur domicile réciproque).

Si la combinaison favorise – dans les cas supérieurs – la concentration, la vie intérieure, la réflexion, la recherche du principe des choses (intelligence philosophique ou morale). Si la volonté est souvent marquée par le détachement, la sagesse, voire le renoncement. Si, en matière affective, on peut évoquer la probité, la fidélité, la solidité, en revanche on ne peut pas dire qu’elle suggère chaleur humaine, sensualité, érotisme et désir. On est plutôt du côté de la Princesse de Clèves que de celui de Brigitte Bardot. Dans le meilleur des cas bien sûr. Car le peu que je sais d’Eva me fait penser qu’on est plutôt du côté de la midinette que de la Dame à la licorne.

Voyons les rapports entre les deux thèmes.

L’ASC et VENUS d’Eva tombe sur la conjonction LUNE/JUPITER d’Adolf. Excellent facteur de cohésion affective, très favorable aux conditions d’un mariage heureux et une bonne entente sur la gestion du ménage et les conditions pratiques de la vie sociale.

SATURNE d’Eva tombe sur VENUS/MARS d’Adolf : l’étouffoir sur la chandelle.  Disons que la relation conjugale semble plus favorisée par l’abstinence et la chasteté que par les débordements du kama sutra.

MARS à 2° GEMEAUX sur la conjonction NEPTUNE/PLUTON d’Adolf. Dans le contexte je suggèrerai qu’Eva adhérait pleinement aux orientations idéologiques de son compagnon.

MERCURE/URANUS au carré du SOLEIL : il semble qu’Eva disposait des moyens nécessaires pour résister à l’obstination d’Adolf et affirmer sa propre façon de penser ou de vivre.

SOLEIL en VERSEAU au carré de VENUS/MARS : on ne pourrait mieux symboliser la différence totale de « libido » entre les deux personnages. Les valeurs essentiellement cérébrales de la première, entrent en conflit avec le pôle le plus « animal » et instinctif du second : l’innocent Petit Chaperon rouge affronté aux ardeurs du méchant loup bouffeur de grand-mère !!!

Qu’on se rassure : chacun dans ce « ménage » savait exactement le rôle qu’il jouait dans la vie de l’autre, ce qu’il en attendait et ce qu’il pouvait lui demander. C’est pour cela que le « couple » a marché et que ces deux « conjoints » très spéciaux ont pu faire le grand saut dans le néant ensemble.

Nous voilà arrivés au terme de ce parcours consacré à quelques aperçus anthropocosmologiques sur le thème natal et la biographie d’un des plus grands criminels de l’Histoire.

Qu’il fût homosexuel avéré mais non avoué (à l’inverse de Néron, Tibère ou Caligula, autres homos criminels en série qui ne s’en cachaient pas) ne fait aucun doute pour qui s’intéresse de près aux faits car ils sont rien moins qu’éloquents.

Que les garçons qui ont partagé sa vie à tel ou tel moment et dont nous avons comparé le thème de naissance au sien, lui aient été liés par des relations érotiques et sexuelles, ne peut raisonnablement pas être mis en doute au terme de cette étude (et après lecture de celle du Pr Machtan).

Que cette homosexualité, facteur de haine de soi et de honte avant la Grande Guerre, soit devenue après la Guerre, dans le courant des années de décadence morale de l’Allemagne vaincue des « années folles », un élément de promotion et de succès dans les milieux du national-socialisme épris d’un amour exclusif de la « virilité » au détriment de la « féminité » rejetée et méprisée, est évident.

Et que cette homosexualité – indépendamment de ses qualités très réelles de tacticien politique et de tribun – constitue le fil rouge de l’incroyable carrière du personnage, tant sur le plan des motivations  inconscientes que sur celui des opportunités, constitue une information décisive qui doit prêter à réflexion pour notre temps.

Chacun en tirera la leçon qu’il voudra, car la pensée et la réflexion sont libres.

Mais, pour ceux des lecteurs et lectrices qui se sentent profondément indignés, voire meurtris, par les lois ignobles qu’un gouvernement socialiste de rencontre (l’Invertébré de l’Elysée représente moins de 30% du corps électoral et la « majorité » parlementaire, moins de 22%) nous impose. Pour ceux qui n’acceptent pas qu’une poignée de lobbyistes déjantés mais bien placés aient pu entraîner notre pays non pas dans « un changement de civilisation » comme je l’entends dire ici ou là, mais dans un véritable « renoncement à la civilisation« , pour tous ceux là il était bon qu’ils connussent la « face cachée » du père du nazisme et du fascisme (encore que ce ne soit pas extérieurement la même chose).

A chaque fois qu’eux mêmes se feront traiter de « nazis et de fachos »  par les sodomites enragé(e)s et leurs ami(e)s parce qu’ils défendent les valeurs de la famille et veulent assurer la protection morale et spirituelle de nos enfants contre les dérives dégradantes qui s’annoncent au sein du Décervelage National de M. Peillon (auquel je vais consacrer une petite étude)  ils sauront désormais quoi répondre : le nazisme a une origine et une philosophie ne sont que des figures de l’homosexualisme militant.

Ce qui n’est que pure logique.

Substituer la division homo/hétéro à la complémentarité homme/femme constitue un acte de distorsion haineuse et artificielle – proprement luciférienne – qui ne peut aboutir qu’à la tyrannie. On ne peut jamais aller contre l’ordre naturel sans coercition, et plus l’ordre naturel est  nié, contrarié,  plus il manifeste ses exigences en retour. Ce qui amène à une coercition encore plus grande. Et ainsi de proche en proche jusqu’à la culmination dans la tyrannie absolue (le nazisme en l’occurrence) avant l’explosion (Allemagne nazie) ou l’implosion (Régimes soviétiques) finales, pour laisser place à une figure nouvelle du Bien Commun respectueux de l’ordre naturel.

Actuellement nous en sommes en France à une forme de dictature sournoise, qui s’exerce essentiellement par la propagande, en attendant les persécutions, judiciaires ou autres (5). On assiste, depuis une quarantaine d’années à l’instauration progressive d’une pensée unique (libertaire, relativiste, progressiste et transgressive) sur les médias, la Justice (voir « le mur des cons » du S.M), l’Enseignement, la Culture, d’une partie de la police et de l’intégralité du monde politique. Ce qui aboutit, si je ne me trompe pas à un régime totalitaire.

Nous ne sortirons sans doute pas (si nous en sortons, mais il faut toujours garder l’Espérance au cœur) de l’égout hollandais et des champs d’épandage taubiratiers sans casse. Ce sera le prix à payer pour, enfin, respirer un air plus pur et retrouver notre dignité de citoyens et d’êtres humains créés « à l’image et à la ressemblance de Dieu » et reprendre la marche de notre civilisation bimillénaire.


(1) Que le lecteur n’imagine surtout pas que les travaux du Pr Machtan sur lesquels je m’appuie pour conforter ma propre analyse du thème et de la personnalité de Hitler, soient les seuls à faire entendre le son de cloche des rapports constitutifs de l’ homosexualisme militant et du nazisme. Il leur suffira de taper les trois mots « HITLER NAZISME HOMOSEXUALITE » dans Google pour voir apparaître une floraison d’études sur le sujet. la plupart du temps en anglais malheureusement, mais avec un bon dictionnaire…..L’image qui illustre le présent article est elle-même empruntée à une de ces études (dont je remercie ici les auteurs…sans les connaître) intitulée « The Homosexual Roots of the Nazi Party, from « The Pink Swastika« . De son côté l’excellent blogue « Nouvelles de France » a fait paraître, en date du 11 septembre 2012,  un court article intitulé :  » Hitler était homosexuel et le parti nazi, à ses débuts, un club social gay et pédophile  » …qui nous donne d’ailleurs d’autres noms d’amants du Führer qui ne sont pas évoqués dans mon propre article. Bref, pour ceux qui veulent vraiment savoir de quoi il retourne (sans jeu de mots) il n’y a que l’embarras du choix.

 [2] Eric-Emmanuel SCHMITT – « La Part de l’Autre » – Le Livre de Poche, octobre 2011,  503 p.

[3] Jean BORELLA, « Amour et Vérité« , L’Harmattan, Coll. Théöria, 361.p. –  p.270

[4] « Traité Pratique », Le Seuil, 4e trim. 1961, 359 p., p.206

(5) A ce sujet, vous trouverez grâce au lien ci-après, le texte de l’intervention de Grégor Puppinck, directeur du European Center for Law and Justice-ECLF (Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice) devant le Conseil des Droits de l’Homme de l’O.N.U qui siège à Genève,  texte par lequel le dit Conseil a été saisi le 4 juin dernier, lors de sa 23ème session régulière,  des violations des droits de l’homme et des actes de répression illégaux et injustifiés à l’encontre les opposants à la loi Hollande/Ayrault/Taubira. Nous devons la reproduction de cette intervention grâce à l’excellent portail de réinformation « RIPOSTE CATHOLIQUE ». Que ses animateurs en soient ici remerciés.

4 réponses à to “UN GAY-FÜHRER POUR NOTRE TEMPS – Fin – Le Thème d’Adolf comparé à celui de ses Gitons.”

  • Mélusine7:

    J’aimerais vous relater certains faits disons « bizarres » de ma vie (synchronicités,…). Mon ex compagnon juif est né le jour que la mort d’Hitler (de là à imaginer la même heure…) et la mère de mon compagnon actuel (lozérien), morte dans un accident de voiture en 1965 (journaliste au Canard enchaîné, circonstances troubles car elle possédait des documents dangereux pour l’Etat français) est née le même jour que la conception de ma mère. Et comme elle, je m’appelle Michèle.

    • Très honnêtement, je ne vois là que des coïncidences sans aucune signification.
      A force de vouloir faire parler les faits à tout prix, comme le faisait Freud et comme le font les psychanalystes en général, on aboutit à des conclusions infondées.
      Ces correspondances (relatives) de date (en admettant qu’on puisse réellement connaître la date de conception de quelqu’un, ce dont je doute fort) auraient pu avoir quelque signification à l’intérieur d’une histoire familiale. Mais franchement, voir un « signe » entre le jour de la mort de Hitler et la date de naissance de votre compagnon, ou entre la mort de votre ex-belle-mère et celle « de la conception ! » de votre mère, c’est presque de la mythomanie.
      Pardonnez ma franchise, mais comme vous me dite que vous l’appréciez…..

  • Mélusine7:

    Je ne suis pas tout à fait d’accord avec votre définition de Pluton. PLuton est d’origine romaine mais est directement lié à Hadès (divinité chtonienne, donc liée à la terre et aux enfers). C’est le mythe d’Orphée, ce qui est caché à la face du monde (la caverne de Platon). Certains l’associent au stade sadique-anal (Barbault), d’autres à la lame de fond de l’inconscient collectif et l’associeraient à Dieu.

    • Je connais parfaitement les tenants et aboutissants de la signification de Pluton et n’ignore rien de ce qui le relie à Hadès.
      J’ai beaucoup écrit sur le sujet en d’autre circonstances (notamment dans mes cours) et je ne peux m’étendre ici.
      L’explication orphique ou sadique-anale reste à la surface des choses et ne traduit pas le sens réel de Pluton/Hadès. Quant à l’assimiler à Dieu, non seulement il faut ne rien y avoir compris, mais, en plus, être quelque peu « délirant ». Hélas l’astrologie est un domaine qui a attiré beaucoup de délirants.

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