Mon propos, dans cette réflexion sur le thème de ce personnage, ne consiste pas à en rajouter sur le plan de l’indignation. On ne tire par sur une ambulance, comme le font ses ex-amis et amies, qui ne s’aperçoivent pas qu’en le condamnant de la sorte, ils ne font que s’horrifier du miroir qu’il leur tend et où ils ne se reconnaissent que trop. En fait, ils ne font que ranimer l’antique figure du « bouc émissaire » si bien décrite par René Girard, croyant se délester de leurs propres ignominies en accablant celui, avec qui, hier encore, ils « dégageaient » joyeusement.

Car tout ce qu’ils peuvent reprocher à cet homme à terre (et qui, certes, a tout fait pour s’y retrouver et  y rester) ils pourraient se le reprocher : dans une nation où l’élite – politique, médiatique, artistique, voire juridique et universitaire, à de rares exceptions près – se vautre dans le culte de perversions érigées en art de vivre,  où la drogue circule quasi officiellement dans les lieux de pouvoir, où la promiscuité sexuelle et les pratiques les plus abjectes (on nous parle de pédophilie pour Palmade, en oubliant combien les réseaux pédophiliques et/ou de prostitution enfantine sont actifs et « protégés » chez nous) font oublier les exploits de Sardanapale, Néron, Tibère et Caligula réunis. Ainsi, dans un tel contexte, le cas Pierre Palmade ne constitue qu’une simple « péripétie » comme aimait à dire De Gaulle.

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La suite de réflexions que je vous propose ci-dessous, s’est imposée à moi lorsque j’ai (enfin) pris conscience que la Chandeleur et la Fête des Morts, entretenaient une sorte d’exacte symétrie : l’une tombe le 2 février, l’autre le 2 novembre.

Rapportées au langage astrologique ou pourrait dire (même si ce n’est pas tout à fait exact sur le plan strictement technique) qu’elles sont « au carré » (angle de 90°) l’une de l’autre. Or, le carré en astrologie, si on veut bien dépasser son aspect conflictuel apparent, évoque avant tout, la production d’une énergie indispensable à toute forme d’action, de création ou de production.

Certes, à travers ces deux fêtes chrétiennes – car c’est avant tout en Chrétien que j’écris tous mes articles – et leur rapport obligé, nous sommes interrogés sur le sens de la mort (Scorpion) et sur celui de la renaissance (Verseau). Le risque étant de poser ce rapport comme la contradiction de deux absolus ou, pire, comme deux moments qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Ce qui serait absurde, puisque le Zodiaque ne symbolise qu’une seule et unique énergie en ses douze métamorphoses : celle de la Vie.

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Suite à notre précédente correspondance, M. X… m’a fait parvenir le commentaire suivant :

Cher Monsieur,

Je vous remercie pour votre réponse; je viens de lire votre article. J’ai été impressionné par les études astrologiques que vous donnez. Bien sûr, c’est assez difficile à suivre, mais je me rassure en pensant que je ne dois pas être le seul dans ce cas. Cela doit être très intéressant de  pouvoir « accéder » à un thème tant aisance, mais ce n’est pas donné à tout le monde.

Pour ce qui est de l’aspect « sexuel » de Mauriac, il est possible que cela « se montre » dans les relations des parents du Guillou, pas de lui. Je me trompe certainement, mais je ne suis pas sûr que la définition de Wikipédia du sagouin puisse lui correspondre (pauvre gosse), mais  ‘est celle que l’on a voulu lui coller. D’après ma mémoire, je crois que c’était un enfant « attardé », donc dans l’impossibilité de se défendre. Il a été un souffre-douleur, un martyr, au point de se suicider, vers l’âge de 10 ans, suivi par son père, pour mettre fin ensemble à leur malheur. De mémoire (toujours), c’est son instituteur qui l’éveille à la « confiance », à un peu de bonheur. Quant à Drogo, sa vie se résume peut être à une quête vaine, toujours recommencée, comme celle de l’étoile de Don Quichotte de Jacques Brel.

Seule, peut être, la rencontre avec une personnalité hors norme, comme sœur Thérésa par exemple (Yalla), aurait pu infléchir leur destinée. Parce que là se trouve la compassion et la confiance absolue. Mais dans la majorité des cas, il faut se débrouiller avec les moyens du bord.

Merci encore pour votre réponse.

X…Y…

PS: Votre analyse sur l’homosexualité « cachée » de Mauriac, m’a fait penser à un de vos articles sur Hitler, qui aurait été dans la même situation et que peu de biographes évoquent (si je ne me trompe pas). Hadès évoque un cas similaire en la personne de Conan Doyle; ce que les biographies n’évoquent sans doute pas. Mais dans l’Angleterre de cette époque, on comprend qu’il ait préféré se cacher. Surtout si l’on se remémore, qu’encore en 1954, Alan Turing, génie des mathématiques, a été poussé au suicide.

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Comme le visiteur de ce site peut s’en douter, je reçois un courrier régulier soient des lecteurs des articles que j’y publie – pour ceux qui préfèrent les voies postales, à la rubrique « Commentaires » qui est à leur disposition à la fin de chacune de mes publications. Soient des lecteurs de mes livres. Courrier auquel je me fais un devoir de répondre aussitôt et aussi complètement que possible.
Certaines de ces correspondances, par leurs qualités, me paraissent avoir une portée qui mérite leur diffusion au plus grand nombre. C’est le cas de la lettre ci-dessous qui m’a été adressée par un consultant fidèle et fort porté à la réflexion philosophico-morale. Je la reproduis intégralement, entrecoupée de mes commentaires dans une autre couleur de texte pour en faciliter la lecture.
Bien entendu l’anonymat de ce genre de publication est total et non négociable, chacun peut donc m’écrire en toute confiance et, si la personne m’autorise à publier son texte, elle peut être assurée que, sans même avoir à le demander, son anonymat sera préservé.

De même que sera préservé l’anonymat des personnes ou personnages évoqués dans ces correspondances. Ce qui est le cas ici comme vous allez vous en apercevoir. Sauf pour ce qui est de François Mauriac, personnage désormais entré dans l’Histoire de la littérature française et dont on connaît la biographie en long et en travers étant données les nombreuses études et publications qui lui ont été consacrées. Lire la suite de cette entrée »

Deux articles, coup sur coup, consacrés à la « prévision » après avoir négligé mon blog pendant si longtemps en ne lui confiant quelque publication que de temps en temps !
On peut légitimement s’interroger. Sauf que ces deux articles n’ont pas la même nature et ne répondent pas au même objectif comme vous le verrez plus bas.
En fait l’explication de ce silence relatif sur mon blog, se justifie par une démarche professionnelle d’une grande simplicité.
Le Christ un jour a affirmé : « Je suis la voie, la vérité, la vie ». Et, parce que ces paroles étaient fondées dans l’Absolu, nous avons vu éclore, une civilisation magnifique. d’une très haute portée spirituelle, philosophique, morale et pratique, dont voulons oublier – au milieu de nos ténèbres actuelles – que nous sommes les usufruitiers apostats, infidèles, ingrats. Pas moi. Je m’efforce de rester fidèle au seul Homme de l’Histoire – et à la seule Femme, Sa Mère – qui méritent un respect, une confiance et une fidélité absolus. Je suis loin d’y parvenir en toutes circonstances, mais je m’y efforce du mieux possible.
D’un autre côté, je suis un praticien convaincu de l’astrologie. Non par caprice ou fantaisie, mais du simple fait que j’ai pu en apprécier toute la validité et l’utilité après plus de quarante ans de recherches et de pratique assidues.

Or, la vérité, même si elle se reflète de multiples façons dans notre monde terrestre, est néanmoins essentiellement UNE. Il était donc logique que je m’efforce d’établir les liens entre mes certitudes religieuses et mes choix philosophiques d’un côté, et, de l’autre, la pratique d’un art sans cesse ostracisé pour de très mauvaises raisons. Dont la principale réside dans la méconnaissance (soigneusement entretenue par le monde scientifique, universitaire et, en partie, clérical) de sa nature et de ses fondements [1].

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Bonjour à tous les visiteurs et visiteuses de ce blog et excellente année 2023 à toutes et à tous.
Dans un premier temps, je tenterai quelques conseils prévisionnels pour les douze Signes du Zodiaque puisque je sais que c’est ce que vous attendez d’un astrologue en début d’année.
Dans un second temps, je développerai quelques considérations sur la pratique de la prévision en Astrologie, sa nature et sa portée, ce qui intéressera peut-être quelques uns et unes d’entre vous qui désirent approfondir leur culture astrologique.
Cela fera l’objet d’un article distinct, donc publié dans les tout prochains jours.

Vous remarquerez que chacun des douze signes est accompagné de la reproduction d’une aquarelle que nous devons au talent d’une très fidèle et très assidue amie de l’Astrologie. Elle nous vient des Lettres Classiques dont elle fut un éminent professeur pendant des décennies et s’illustre maintenant dans la pratique des arts graphiques.

Il s’agit d’Élisabeth ROLLAND dont je vous communiquerai l’adresse courriel si vous voulez la contacter pour la féliciter.

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Bonjour à tous et à toutes,
J’ai le plaisir de vous informer que mon sixième ouvrage vient d’être édité.

Son titre se trouve en en-tête de cet article et il est dès maintenant disponible aux

ÉDITIONS DE L’AURIGE
5, rue des Alouettes
81200 AIGUEFONDE

Pour vous faciliter la lecture, je vous en reproduis – ci-dessous – la Quatrième de Couverture intégrale. Elle vous renseignera sur le contenu de cet Essai, qui se présente un peu comme une enquête que j’aurais menée auprès de quelques penseurs remarquables. Le propos consistant à analyser les conceptions que ces auteurs peuvent avoir sur le sens de la destinée humaine à la lumière de  la Sagesse Astrologique.
Je reste à la disposition de tous pour toute information complémentaire.

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